Grand Canal by France Inter

What's Grand Canal about?

Chaque soir, Eva Bester propose un nouveau rendez-vous dédié aux mondes de la culture et des idées. Une heure d’entretien avec des artistes, des philosophes, des scientifiques, pour comprendre leur oeuvre, leur parcours et leur réflexion Rendez-vous sur l'application Radio France pour découvrir tous les autres épisodes.

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Grand Canal episodes:

Les virtuoses du classique : Sol Gabetta : "Les Stradivarius sont des instruments définitivement habités"

Les virtuoses du classique : Raphaël Pichon : "Schubert a peut-être écrit la musique la plus fragile qui soit"

Les virtuoses du classique : Alexandre Tharaud : "On raconte une histoire avec nos instruments, à chacun de l'interpréter"

Les virtuoses du classique : Shani Diluka : "La force de la musique c'est d'exorciser nos obscurités"

Dominique Goblet : "À travers le paysage, je parle d’érotisme"

Jean-Paul Dubois : "La dépression est une composante de la vie"

Philippe Charlier : "La vraie mort, c'est l'oubli"

Sébastien Lifshitz : "Les infirmières ne sont pas en béton armé"

Boris Charmatz : "Le sol fait partie de l'ADN du danseur contemporain"

Ryōko Sekiguchi : "Changer d'identité par le parfum est une joie pure"

Jean-Miguel Pire : "L'otium est le nom du temps nécessaire pour réfléchir"

Clotilde Hesme : "L'injonction qu'on nous fait d'être calme est d'une grande violence"

Thomas de Pourquery : “Je suis un cœur et j’adore l’artichaut”

India Mahdavi : "J’aime bien quand les couleurs se foutent sur la gueule"

Tanguy Viel : "C’est difficile de se promener dans l’existence quand on n’est pas solide"

Nathanaëlle Herbelin : "C'est une chance de pouvoir me fuir moi-même par la peinture"

Paolo Roversi : "Je rêve de photographier les rêves"

Christine Angot : "Juger ne m'intéresse pas, je veux montrer ce qui est"

Flavien Berger : "Le Léviathan, c'est un monstre musical que j'essaie de caresser quand je plonge"

Stéphane Brizé : "Je nous trouve tous héroïques d’être au monde"

Annette Messager : "J'ai toujours aimé avoir des identités multiples"

Brecht Evens : "Le complotisme est dans tous les films d'aventure"

Xavier de Lauzanne : "Je voulais proposer une alternative aux images d'actualités"

Lydie Salvayre : "Il y a quelque chose en moi qui trépigne du côté de l'indocilité"

Valérie Zenatti : "Je milite secrètement pour la réhabilitation du slow"

À propos de Thomas Ligotti : "Pour lui, chaque humain est un faux-semblant"

Justine Heynemann : "Cookie Mueller fait comme si elle ne savait rien mais elle a réponse à tout"

Sidi Larbi Cherkaoui : "il faut bouger comme un serpent dans le désert, si on arrête de bouger, on meurt"

Nurith Aviv : "Je dis toujours que je suis analphabète en 4 langues"

Victor Malzac : "Si j'avais un fils masculiniste, il se foutrait de moi"

Thomas Jolly : "Je crois qu'il n'y a pas de populaire sans exigence"

Ariane Ascaride : "Les futures Gisèle Halimi sont en préparation, elles vont arriver"

Les traducteurs 2/4 : André Markowicz : "Tout ce que je fais dans la vie, c'est traduire la bibliothèque de ma grand-mère"

Les traducteurs 1/4 : Leili Anvar : "La poésie amoureuse et son rêve d'harmonie sont aujourd'hui réprimés"

Les traducteurs 4/4 : Brice Matthieussent : "Nabokov affirmait que Lolita était une victime absolue"

Les traducteurs 3/4 : Josée Kamoun : "Tant qu'on n'a pas lu Sur le chemin, on n'a pas lu Kerouac."

Hélène Delprat : "On n'apprend que de la peur"

Hiam Abbass : "La poésie m'a plus permis d'avoir accès à la vie que la société"

Lorraine de Sagazan : "Le silence est la possibilité d’un changement radical"

Marie Darrieussecq : "Ce livre doit beaucoup à ma propre enfance, à mes propres rages"

Robert Badinter : "Une prise de conscience générale doit intervenir en Europe"

Jan Kounen : "C'est dans l'espace nauséeux que les visions s'ouvrent"

Raphaël Pichon : "Schubert a peut-être écrit la musique la plus fragile qui soit"

Raphaël Gaillard : "Avec l'augmentation du cerveau, on perd l'harmonie de l'Homme"

Anaïs Demoustier : "Ce film est comme prendre un cachet et se retrouver dans la tête d’un artiste un peu fou"

Bertrand Belin : "Peut-être que les oiseaux en ont marre de voler"

Jonathan Glazer : "Nous permettons aux bourreaux de perpétrer des atrocités"

Gérald Bronner : "Nous sommes traversés par un flux de croyances permanent"

Xavier Darcos : "J'ai toujours des surprises en lisant Ovide"

Damien MacDonald : "J’ai un faible pour la déréalisation qu’offre le noir et blanc"