Share Ma belle-mère bien-aimée, le podcast qui explore l'univers des Familles Recomposées.
Share to email
Share to Facebook
Share to X
By Ma Belle-Mère Bien-Aimée
The podcast currently has 20 episodes available.
Belle-mère de famille recomposée : faire de nos vulnérabilités une force, c'est d'abord avoir la force d'en parler, de les partager. C'est aussi une façon de ne plus se sentir seules, de se donner du courage, de se reconnaître et peut-être appartenir à une communauté, qui sera capable d'entendre sans juger et de soutenir.
Anaïs et Justine ont toutes deux déjà pris la parole et dressé un tableau idyllique de la famille recomposée. A l'écoute de leur histoire, elles ne se reconnaissent pas et parfois leur entourage proche non plus.
Elles décident, dans un entretien clairement sans filtre, de revenir sur des sujets tels que : leur rôle et leur légitimité, l'ex que l'on croise ou non, les vacances et les plannings, l'argent que l'on donne surtout, le rôle et attitudes du conjoint, parfois épique...
J'aimerais les soutenir, car prendre la parole sur le sujet de la co-parentalité est encore trop rare et exprimer son ras-le-bol ne l'est pas assez, alors que merde, "on garde vos enfants" #bellemeremaispassorciere
Dans cet épisode, on parle du livre de Fiona Schmidt "Comment de pas devenir une marâtre", du podcast Belles-mères dans lequel a été interviewé Justine, de Camille et de son herboristerie Mémé dans les orties.
Je vous souhaite une excellente écoute !
Dans la première saison j’ai souhaité donné la parole à de nombreuses belle-mamans, de toutes les couleurs, cultures ou religions évidemment vous êtes très nombreuses et je sais qu’il existe autant de belle-mères que de formes de familles recomposées, j’espère que cette 1ère saison vous a plus. N’oubliez pas de me laisser 5 étoiles sur Apple Podcast de vous abonner et aussi de partager les épisodes autour de vous pour m’aider à libérer la parole !
Dans cette 2eme saison, changement de décor, je donne la parole aux autres acteurs de ces Nouvelles Familles.
(Je me garde toutefois la possibilité d’enregistrer quelques épisodes bonus, vos histoires sont trop passionnantes)
Aujourd’hui, je reçois Liana, femme, maman et enfant de famille recomposée. Sur le sujet des belles-mères elle en connait un rayon, elle en a vu tellement défiler. Elle revient sur son enfance, les souvenirs sont parfois flous mais les émotions encore bien présentes. A chaque rencontre c’est une nouvelle adoption du co parent et aussi une surprise bonne ou mauvaise. Quelle richesse en a -t -elle tiré ? quel investissement à chaque rencontre et surtout comment vit-elle les ruptures ? Je vous laisse en compagnie de Liana et son regard de jeune fille sur la famille recomposée et les belles mères qui ont changé sa vie.
Camille s'est retrouvée belle-mère à 27 ans d’une ado de 14 ans.
Être belle-mère quand on ne veut pas d’enfant, trouver sa place, entre la super confidente et l’adulte référent qui a aussi son mot à dire sur ce qui se passe à la maison...pas du tout évident pour Camille. D’autant que l’ex lui en fait voir de toutes les couleurs.
Consoler encore et toujours son conjoint que la culpabilité ronge de l’avoir choisi, elle. Sans expérience par rapport aux enfants, ni légitimité (selon elle), elle marche constamment sur des œufs malgré tout le tact, l’honnêteté, la sincérité et la gentillesse qu’elle veut bien y mettre. Camille nous explique aujourd’hui ce qui lui permet de tenir, de s’évader et surtout à quel moment elle a décidé de s’écouter.
J’espère que ce 17e épisode vous plaira, je reviens très vite pour la saison 2 et d’autres projets.
N’oubliez pas pour me soutenir de noter 5 étoiles (de préférence) et de laisser un commentaire sur la Apple podcast. Je vous souhaite une excellente écoute.
Si vous souhaitez également soutenir Camille dans son projet d’herboristerie « mémé dans les orties » rdv dans la boutique qui ouvre mi-mai à Mouscron en Belgique (proche de Lille, Tournai et Courtrai).
Musique : AaRON, Ultrarêve.
Il y a des sourires, des visages, des personnes qui rayonnent. La femme que je reçois aujourd’hui est une femme pas comme les autres, c’est une combattante, une survivante même. Derrière sa joie, sa réactivité, sa bonne humeur constante, j'étais loin d’imaginer les drames qu’elle a vécu et qu’elle surmonte encore au quotidien. Comme beaucoup de familles l’annonce d’une grossesse gémellaire est à la fois une surprise, un choc, puis un immense bonheur. Malheureusement certaines familles traversent des épreuves si douloureuses quand un des bébés est porteur d’une maladie, les médecins sont unanimes, mais la difficile décision de l'interruption sélective de grossesse leur appartient.
Je vous présente le 16ème et dernier épisode de la saison 1 !
Je reçois Tiphaine, maman de Jeanne et mamange de Marius. Elle a une force incroyable, une empathie et une générosité qui forcent le respect.C’est aussi une putain de cancer fighteuse...oui la vie de l’a pas épargnée.
--> Warning : cet épisode comporte des passages qui peuvent heurter si vous êtes fragile ou enceinte.
Musique : fais-moi une place, Julien Clerc.
Episode 15, Johanna, c’est un rôle schizophrène, je dois m’adapter sans cesse
Le défi des familles recomposées, c’est juste une équation avec un peu trop d’inconnues...on compose tellement et à tous les niveaux. Les sujets qui nous semblent indiscutables et fluides, deviennent un défi au quotidien. Prenons l’éducation : sortir de table avant la fin du repas, dormir dans le lit des parents, punition ou pas punition, entrer sans frapper... des petites choses a priori évidentes pour vous peuvent engendrer des conflits, des ressentiments, de la colère. La communication et le partage des valeurs et règles éducatives sont essentiels, et ce, dès le début de la relation, mais soyons honnête, la stratégie de l’évitement c’est aussi une pratique largement utilisée...je parle de mon expérience. Je pense qu’on a beau tout préparer, anticiper, on apprend aussi en marchant.
Dans ce 15e épisode, j’échange avec Johana mère de Chiara 10 ans et belle-mère d'une petite fille de 10 ans, en famille recomposée et mixte. Si on pouvait parler de degré de difficulté dans la famille recomposée, je pense que celui-ci est quand même sur le haut du panier. Quand culturellement vous avez baigné dans un modèle éducatif et parfois religieux différent, il faut une bonne dose de résilience, de patience, de légèreté pour se concentrer sur l’essentiel, le couple, ciment de la famille recomposée.
Je vous souhaite une excellente écoute.
Musique : Muetse, Olivier N’Goma
Dans ce 14e épisode, je vous fait traverser le globe, direction l’Australie, en plein bush, j’échange avec Caroline. Une française (lyonnaise) basée en Australie depuis 8 ans. La notion de "constellations affectives" Caroline l’a comprise, la boule au ventre quand elle doit confier sa fille à son père… et sa nouvelle amie. Elle évoque la jalousie, la difficile réalité de la séparation, de l'accueil dans son coeur et dans ses murs de nouveaux arrivants. J’ai aimé sa franchise, quand elle raconte l’arrivée de "Jeff l’américain" son nouveau conjoint, ses ados & leurs écrans, leur amour pour la viande, quand elle, n’en mange presque plus :)
Je vous souhaite une excellente écoute. N’oubliez pas de laisser un avis et de noter de préférence 5 étoiles sur Apple podcast pour me soutenir et encourager ! Je vous donne aussi rdv sur le compte instagram @ma.belle.mere.bien.aimee
Source : D’Amore, Salvatore. Les nouvelles familles. Approches cliniques. De Boeck Supérieur, 2010, Musique : Dust in the Wind, Kansas.
Quels défis pour les familles homoparentales et recomposées ? Ces familles se trouvent confrontées aux préjugés, à un stress sans nom et un regard de la société encore ouvertement homophobe, surtout quand l’un des conjoints a eu une vie hétérosexuelle auparavant. Faire le deuil de son schéma familial n’est jamais chose simple.
Comment accepter que le modèle traditionnel dans lequel nous avons presque toutes et tous été bercé, ne ressemble pas aux modèles des familles d’aujourd’hui ?
Solène rencontre Marie, mariée avec 3 enfants, une vie « bien rangée » comme on dit. Seulement, c’est une révélation pour Marie et une évidence voire une urgence de vivre ensemble pour le couple. Solène, encore étudiante, est propulsée dans la vie de famille nombreuse une semaine sur deux, elle nous raconte son expérience, sa « danse avec l’inattendu ».
Je vous souhaite une excellente écoute 💫✨
Solène fait partie du collectiffamilles.com qui œuvre pour accompagner et faire rayonner les familles LGBTQIA+ et leurs allié.e.s au travers d’actions comme la création de contenus inclusifs, la mise en lien des personnes ou la création d’événements 🌈
La plupart des femmes, sont éduquées pour devenir des êtres en charge de maintenir un environnement et un climat chaleureux.
Vous connaissez certainement la charge mentale, sommes de toutes les tâches domestiques invisibles supportées dans les couples hetérosexuels par la femme. Le concept de charge mentale a été décrit pour la première fois par une sociologue française Monique Haicault, concept plus largement diffusé et que j’ai connu personnellement via Emma l’auteure de la BD "Fallait demander..” Cette même auteure a également décrit dans un autre ouvrage “la charge émotionnelle et autres trucs invisibles”, un concept identifié en 1983 par Arlie Russel Hochschild dans son ouvrage “Le prix des sentiments”. La charge émotionnelle c’est cette culpabilité constante, ce souci permanent du confort émotionnel de ces proches et qui pèse surtout sur les femmes.
On pourrait penser que la famille recomposée et l’augmentation des gardes alternées résout en partie ce problème, non c’est encore loin d’être le cas. Les femmes prennent la charge mentale et émotionnelle de leurs enfants si elles en ont mais également, celle des beaux-enfants, de l’ex, avec pour seul but tout anticiper pour que tout fonctionne et enfin “réussir sa famille recomposée”
Dans ce 11e épisode, j'échange avec Sandrine, belle-mère de trois enfants dès l'âge de 29 ans. Je vous préviens, elle ne mâche pas ses mots. Elle parle avec les tripes, elle peut en effrayer certaines, je pense qu’elle a aussi une forme de sagesse, et un message à transmettre.
Je vous souhaite une excellente écoute
Pensez à noter l'épisode et à laisser un commentaire si vous souhaitez soutenir l'épisode.
Musique JJ Goldman, Famille
Belle-mère une semaine sur deux et la moitié des vacances scolaire, Anne-Lise a réussi à prendre ses marques et s’est engagée petit à petit. Elle nous raconte comment elle a trouvé sa place sans déséquilibrer un rythme et une vie qui a déjà eu de la peine à se stabiliser. Comment faire comprendre à la personne que l’on aime que son désir d’enfant à évolué, qu’il est là, de plus en plus présent, il a progressivement fait son chemin.
Dans cet épisode Anne-Lise, fondatrice du média @avoirunenfanta40ans revient sur ses débuts de belle-maman, mais également sur l’arrivée dans la vie de cette famille de leur premier enfant commun. C’est une discussion sans filtre, transparente et pleine de générosité comme Anne-Lise 🥰🙌🏽
Réf citée : https://avoir-un-enfant-a-40-ans.fr/
Musique : Lake of fire, Nirvana.
The podcast currently has 20 episodes available.
0 Listeners
53 Listeners
77 Listeners
0 Listeners
4 Listeners