Vous tenez le bon bout !
Voici un condensé du podcast que vous pouvez écouter en live (bouton PLAY ▶️ en haut de la page) ou télécharger en cliquant sur ce lien >>>.
Bonjour et Bienvenue ! C’est Sylvain du blog courir comme un pro.fr
C’est l‘épisode 10 sur 12 dans ma première série de podcasts que j’ai dédié à votre accompagnement dans votre préparation pour le marathon de Paris.
Pour résumer la semaine qui commence, j’ai envie de vous dire : vous tenez le bon bout !!!!
En effet, c’est la dernière semaine du cycle « Spé marathon ». Et déjà vous allez voir que la charge s’allège.
Les 2 semaines restantes composeront la dernière période de la planification : ce sera le cycle de relâchement.
La semaine d’entraînement
Alors, voyons sans plus attendre comment se compose la semaine d’entraînement.
Mardi vous avez tous une séance « AS42 ». Et bien c’est la dernière grosse séance du plan ! Celle ci-fait entre 9.000 et 10.000 mètres de volume suivant votre plan. On reste toujours à l’allure cible !
Du côte de la VMA, j’estime qu’en 3 semaines on ne perdra presque rien. Donc c’est terminé aussi pour les séances de VMA courtes ou longues sur la piste.
Et enfin, pour la Sortie Longue c’est aussi la dernière. Il faut jouer la sécurité et laisser maintenant à l’organisme le temps de se régénérer et d’assimiler tout le travail accompli !
La semaine prochaine, c’est le dernier mésocycle qui commencera. Il est consacré à la récupération et à l’assimilation, avec l’objectif est de faire le plus de fraicheur possible.
Bonus #1
Cette semaine en bonus, on va poursuivre le thème de la semaine dernière. Nous avions abordé le petit déjeuner.
Entre le petit-déjeuner et le départ du marathon, il ne faut surtout plus rien manger. Le risque, c’est de déclencher une hyper-glycémie, puis une typo-glycémie réactionnelle.
En revanche, on peut siroter une boisson d’attente qui aura pour rôle d’éviter le puiser dans les réserves avant l’épreuve, à cause du stress par exemple.
Car quand on dit que le stress ça nous vide, ce n’est pas une simple métaphore. La libération d’hormones comme l’adrénaline accélère le métabolisme et consomme réellement plus de calories.
Donc cette boisson ne devra pas faire monter le taux de sucre dans le sang. L’idéal c’est donc de consommer une boisson à base de fructose.
Alors comment se faire une boisson d’attente légèrement fructosée ? Essayez ma recette préférée : mettez une poignée de raisins secs biologiques à tremper la veille au soir dans 1 litre d’eau minérale. C’est fini