Une mère (Marijosé Alie) et ses deux filles : trois générations de femmes de la diaspora. Trois mémoires individuelles, mais une seule histoire née dans le même creuset de la Caraïbe. Tous les sangs du monde sont mêlés en elles, mais c’est l’Afrique qui de loin domine, d’abord dans la musique qu’elles pratiquent toutes, mais aussi à travers la littérature, la peinture et le cinéma. De la calenda, danse clandestine et érotique née dans la servitude, au film Zumbi, du nom du chef rebelle le plus fameux du Brésil colonial, on voit surgir la quête de la liberté par la révolte, mais aussi l’amour. Amnésie, mélancolie, découverte de l’Afrique et construction de soi-même, telle est la diaspora vue et vécue par Marjosé Alie et son groupe.

Une mère (Marijosé Alie) et ses deux filles : trois générations de femmes de la diaspora. Trois mémoires individuelles, mais une seule histoire née dans le même creuset de la Caraïbe. Tous les sangs du monde sont mêlés en elles, mais c’est l’Afrique qui de loin domine, d’abord dans la musique qu’elles pratiquent toutes, mais aussi à travers la littérature, la peinture et le cinéma. De la calenda, danse clandestine et érotique née dans la servitude, au film Zumbi, du nom du chef rebelle le plus fameux du Brésil colonial, on voit surgir la quête de la liberté par la révolte, mais aussi l’amour. Amnésie, mélancolie, découverte de l’Afrique et construction de soi-même, telle est la diaspora vue et vécue par Marjosé Alie et son groupe.

De l’Asie aux Amériques, en passant l’Europe, partout où les Africains ont été emmenés de force, les mémoires de l’esclavage sont présentes parfois visibles, mais souvent refoulées volontairement ou non. Sait-on, par exemple, que le tango argentin vient tout droit du pays kongo en Afrique centrale ? Beaucoup de Parisiens ignorent que, parmi leurs premiers maires, figure « un homme de couleur », Severiano de Heredia né à Cuba en1836-1901. En Guyane, comme dans la Caraïbe, les communautés marronnes nées de la résistance à l’esclavage restent encore marginalisées.

Avec Dom Pedro (réalisateur de Tango Noir) et Nicola Lo Calzo, auteur d’œuvres photographiques consacrées notamment au Suriname et à Cuba.

De l’Asie aux Amériques, en passant l’Europe, partout où les Africains ont été emmenés de force, les mémoires de l’esclavage sont présentes parfois visibles, mais souvent refoulées volontairement ou non. Sait-on, par exemple, que le tango argentin vient tout droit du pays kongo en Afrique centrale ? Beaucoup de Parisiens ignorent que, parmi leurs premiers maires, figure « un homme de couleur », Severiano de Heredia né à Cuba en1836-1901. En Guyane, comme dans la Caraïbe, les communautés marronnes nées de la résistance à l’esclavage restent encore marginalisées. Avec Dom Pedro (réalisateur de Tango Noir) et Nicola Lo Calzo, auteur d’œuvres photographiques consacrées notamment au Suriname et à Cuba.

L’histoire de l’Afrique ne se limite pas au seul continent africain : les traites esclavagistes d’autrefois et les migrations contemporaines ont conduit des millions d’Africains loin de leurs terres, en particulier aux Amériques et en Europe. Les romanciers ont su, depuis longtemps, aborder sous tous les angles les aspects contradictoires de ces émigrations forcées ou volontaires. Il ne suffit pas de se demander comment la diaspora est vue d’Afrique. Il faut aussi dire comment l’Afrique, avec ses contradictions, est vue par la diaspora. Deux regards de romanciers, deux regards décapants : avec le Togolais Sami Tchak (Filles de Mexico, 2012 et La prostitution à Cuba, 2013) et le Sénégalais Elgas, (Un dieu et des mœurs, Présence Africaine, 2016).

L’histoire de l’Afrique ne se limite pas au seul continent africain : les traites esclavagistes d’autrefois et les migrations contemporaines ont conduit des millions d’Africains loin de leurs terres, en particulier aux Amériques et en Europe. Les romanciers ont su, depuis longtemps, aborder sous tous les angles les aspects contradictoires de ces émigrations forcées ou volontaires. Il ne suffit pas de se demander comment la diaspora est vue d’Afrique. Il faut aussi dire comment l’Afrique, avec ses contradictions, est vue par la diaspora. Deux regards de romanciers, deux regards décapants : avec le Togolais Sami Tchak (Filles de Mexico, 2012 et La prostitution à Cuba, 2013) et le Sénégalais Elgas, (Un dieu et des mœurs, Présence Africaine, 2016).

En Afrique, dès que l'on touche à la musique, tout change, tout devient clair et limpide ! Voyez « Congo Square » à La Nouvelle-Orléans, aux USA. Un lieu extraordinaire de créativité ! Un espace incroyable. Depuis le temps douloureux de la traite négrière et de l'esclavage, on a vu se rencontrer et se féconder ici les musiques trépidantes de l'Afrique centrale avec les douleurs inouïes de l'esclavage. Avec Ray Lema, président de la « Coalition des Artistes pour la Promotion de l'Histoire Générale de l'Afrique ». Avec lui, la chanteuse Helmie Bellini, occupée aujourd'hui à faire connaître « Congo Square », le fameux quartier de La Nouvelle-Orléans qui a vu naître et fleurir en Amérique du Nord la musique noire américaine.

En Afrique, dès que l'on touche à la musique, tout change, tout devient clair et limpide ! Voyez « Congo Square » à La Nouvelle-Orléans, aux USA. Un lieu extraordinaire de créativité ! Un espace incroyable. Depuis le temps douloureux de la traite négrière et de l'esclavage, on a vu se rencontrer et se féconder ici les musiques trépidantes de l'Afrique centrale avec les douleurs inouïes de l'esclavage. Avec Ray Lema, président de la « Coalition des Artistes pour la Promotion de l'Histoire Générale de l'Afrique ». Avec lui, la chanteuse Helmie Bellini, occupée aujourd'hui à faire connaître « Congo Square », le fameux quartier de La Nouvelle-Orléans qui a vu naître et fleurir en Amérique du Nord la musique noire américaine.

Octobre 2015 : une cérémonie unique en son genre a lieu au siège de l’Unesco à Paris. Le lancement de « La coalition des Artistes pour la promotion de l’Histoire Générale de l’Afrique ». Une coalition présidée par Ray Lema, musicien aux talents illimités, créateur et maître de l’innovation, rassembleur des talents multiples et sans cesse renouvelés des artistes du continent. Voici donc une convergence inédite, exceptionnelle entre, d’un côté, les scientifiques et, de l’autre, les artistes de l’Afrique et de la diaspora africaine. Tous partagent la même volonté : promouvoir l’« Utilisation pédagogique » de cette Histoire Générale, voulue par les Etats Africains et par l’Union Africaine : une condition nécessaire de la « Renaissance africaine ». Avec Ray Lema.

Octobre 2015 : une cérémonie unique en son genre a lieu au siège de l’Unesco à Paris. Le lancement de « La coalition des Artistes pour la promotion de l’Histoire Générale de l’Afrique ». Une coalition présidée par Ray Lema, musicien aux talents illimités, créateur et maître de l’innovation, rassembleur des talents multiples et sans cesse renouvelés des artistes du continent. Voici donc une convergence inédite, exceptionnelle entre, d’un côté, les scientifiques et, de l’autre, les artistes de l’Afrique et de la diaspora africaine. Tous partagent la même volonté : promouvoir l’« Utilisation pédagogique » de cette Histoire Générale, voulue par les Etats Africains et par l’Union Africaine : une condition nécessaire de la « Renaissance africaine ». Avec Ray Lema.