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Soyons honnêtes : si vous êtes en train de lire cet article, ce n’est pas parce que vous manquez de motivation. Ce n’est pas non plus parce que vous êtes « paresseux », « nul en langues », ou « incapable de vous y tenir ». Non, rien de tout ça.
On vous a peut-être dit qu’il fallait se lever à 6h du matin pour apprendre l’anglais avec un café à la main. Ou que seule une immersion totale dans un pays anglophone pouvait faire de vous un vrai bilingue. Ou encore que sans un cours structuré avec un prof natif, vous perdiez votre temps.
Spoiler : c’est faux.
Ce que personne ne vous dit, c’est que la motivation ne précède pas l’action. Elle en est souvent la conséquence. Autrement dit : ce n’est pas parce que vous êtes motivé que vous allez passer à l’action. C’est parce que vous commencez à faire, même un tout petit peu, que votre cerveau commence à aimer ça et à en redemander.
La clé n’est pas dans la discipline pure, mais dans un système intelligent et flexible.
Posez-vous cette question : si vous deviez apprendre l’anglais sans jamais vous forcer, comment feriez-vous ? Vous verriez que c’est possible. Il suffit de quelques ajustements simples dans votre quotidien pour transformer l’anglais en une habitude et non une corvée.
Et c’est exactement ce que nous allons construire dans la suite de mon article.
Cet article participe à l’événement interblogueurs « Vos secrets pour passer à l’action ». Cette initiative est proposée par le blog Mon Bagage Culturel, qui propose des contenus pour développer sa culture générale.
Ah, cette phrase magique… “Demain, je m’y mets sérieusement. Fini de procrastiner.”
Et pourtant, demain devient aujourd’hui, puis aujourd’hui devient “la semaine prochaine”, et finalement… rien ne change. Si vous vous reconnaissez là-dedans, respirez : vous n’êtes pas seul. Le fameux syndrome du “je m’y mets demain” est un piège mental que 90 % des apprenants tombent dedans au moins une fois. Et souvent, encore et encore.
Mais pourquoi ? Pourquoi remettre systématiquement l’apprentissage de l’anglais à plus tard, alors qu’on sait que c’est important pour voyager, bosser, valider un diplôme ou ne plus paniquer en réunion Zoom avec un client étranger ?
Apprendre l’anglais, c’est typiquement ce qu’on appelle une “tâche à bénéfices différés” :
Résultat ? Le cerveau l’étiquette comme “à éviter pour l’instant”, au profit d’activités plus faciles : Netflix, Insta, la vaisselle (oui, même ça devient attirant face à un cours d’anglais).
Mais voici la bonne nouvelle : ce n’est pas une fatalité. On peut totalement hacker ce mécanisme. Le premier pas, c’est de comprendre que l’action crée la clarté. Le simple fait de faire 5 minutes d’écoute active, de noter un mot inconnu ou de répéter une phrase entendue vous sort immédiatement du brouillard.
L’autre astuce consiste à ne jamais dire “je vais apprendre l’anglais”. C’est trop vague. Préférez des verbes concrets :
L’anglais ne se décide pas. Il se pratique. Un tout petit peu, chaque jour.
“Je suis nul en langues.”
Ces pensées sont puissantes car elles vous donnent une excuse “logique” pour ne rien faire. Mais la vérité, c’est qu’elles sont basées sur des généralisations et des mauvaises expériences passées, pas sur des faits.
Prenons-les une par une, et explosons-les :
Non. Vous n’avez probablement jamais appris l’anglais avec une méthode adaptée à votre cerveau. Être “nul”, ça n’existe pas. Il y a juste des approches qui ne vous correspondent pas. Peut-être que vous êtes visuel, peut-être auditif. Peut-être que les listes de vocabulaire vous endorment, mais que les dialogues de séries vous motivent. Il suffit de trouver le bon angle.
Et alors ? L’école a ses limites. Elle n’enseigne pas toujours la vraie communication, ni le plaisir de comprendre une chanson ou une série en VO. Ce que vous apprenez aujourd’hui n’a rien à voir avec vos bulletins de 3e.
FAUX. Les recherches en neurosciences sont claires : le cerveau reste plastique toute la vie. Ce qui change avec l’âge, ce n’est pas la capacité à apprendre, mais la manière de le faire. Et vous avez un énorme avantage : la motivation adulte. Vous savez pourquoi vous apprenez.
Faites le test : regardez votre temps d’écran sur votre téléphone. Vous avez probablement 20 à 40 minutes par jour de “scroll” ou de “vidéos inutiles” que vous pouvez convertir en mini-séances d’anglais. Pas besoin de 2h par jour. 10 minutes bien placées valent mieux que 1h qu’on ne fera jamais.
Le vrai blocage n’est pas un manque de capacité. C’est un excès de fausses croyances.
Et dès que vous les repérez, que vous les confrontez à la réalité… elles perdent leur pouvoir.
La suite logique est maintenant le passage au « déclic » personnel :
Si je devais désigner LE moment où tout a changé pour moi dans mon apprentissage de l’anglais, ce serait celui-là :
Vous voyez la différence ?
Le cerveau humain est programmé pour bouger quand il a une cible bien définie. C’est ce qu’on appelle un objectif concret émotionnel. Pas une obligation académique. Pas un truc pour faire plaisir à votre ancien prof d’anglais. Non : un vrai moteur intérieur.
Voici la petite recette que j’utilise encore aujourd’hui, et que je recommande à 100 % :
Exemple :
Parce que chaque action que vous faites ensuite (regarder une vidéo, écouter un podcast, noter un mot) prend un sens immédiat. Vous n’êtes plus en train d’apprendre “juste parce qu’il faut”, mais parce que vous avez une mission claire à accomplir.
Et ça change tout.
On va être clairs tout de suite : si vous avez déjà tenté de vous faire un planning d’enfer type
C’est juste que les plannings rigides ne fonctionnent pas sur le long terme, surtout quand on a une vie chargée, un travail, des études, des enfants ou juste… un cerveau humain qui n’a pas envie d’apprendre l’anglais à heure fixe tous les jours
Au lieu de planifier de longues sessions à heure fixe, j’ai adopté un concept tout simple, mais révolutionnaire : la micro-habitude flexible.
Exemple concret :
Ça ne me prend presque aucun effort mental. Et pourtant, à force de répétitions, ces petites actions créent une vraie exposition régulière à l’anglais. Résultat ? Je progresse, sans forcer.
Le secret, ce n’est pas d’en faire beaucoup. C’est d’en faire un peu chaque jour, quoi qu’il arrive.
Et quand ce “un peu” devient une habitude, vous entrez en mode pilote automatique. Vous n’avez même plus besoin de vous dire “allez, aujourd’hui je m’y mets”. Ça devient juste… votre routine.
Si vous avez toujours associé l’apprentissage de l’anglais à une salle de classe grise, un prof qui récite un PowerPoint et un manuel scolaire avec des dialogues chelous du type “Where is Brian? Brian is in the kitchen”… je comprends que vous n’ayez jamais eu envie de vous y remettre.
Mais laissez-moi vous dire un truc simple et libérateur :
Vous n’avez pas besoin d’aimer l’anglais pour apprendre l’anglais. Il vous suffit d’aimer ce que vous faites en anglais.
Et ça, ça change TOUT.
Au lieu de m’imposer des exercices classiques, j’ai fait un tri radical :
Voici ce que j’ai intégré à ma routine (et que vous pouvez copier dès maintenant) :
Parce que vous apprenez sans souffrir. Vous restez exposé à l’anglais dans un contexte de plaisir, pas de contrainte. Vous vous surprenez à comprendre une phrase entière dans une vidéo, à deviner un mot sans traduction, à capter une blague dans une série.
Et ce genre de victoire, même minuscule, donne une énergie de dingue pour continuer.
En anglais comme ailleurs, le plaisir est le meilleur carburant de la régularité.
Vous connaissez ce sentiment où vous avez l’impression d’apprendre plein de choses… mais que tout s’évapore ? Ou pire : cette sensation de stagner malgré tous vos efforts ?
Tenir un mini-journal de mon apprentissage.
Pas un gros carnet de développement personnel façon “dear diary”, hein. Juste quelques lignes rapides après chaque mini-session d’anglais. Ce petit geste m’a littéralement rebranché sur ma progression.
3 choses, et pas une de plus :
Exemple :
Aujourd’hui, j’ai appris “get over it” = passer à autre chose. Je l’ai entendu dans une série. J’ai galéré à capter l’accent australien. Demain, je teste avec une vidéo d’un prof américain pour comparer.
Parce que ce petit exercice :
Et surtout… il vous donne la sensation d’être acteur de votre apprentissage, et pas juste spectateur d’une appli ou d’un cours.
Observer son apprentissage, c’est comme regarder son GPS en pleine randonnée : même si vous n’êtes pas encore arrivé, vous voyez que vous avancez.
On ne va pas se mentir : vous pouvez avoir la meilleure intention du monde, la méthode la plus simple, et des contenus ultra motivants…
La vérité, c’est que la réussite ne dépend pas uniquement de votre volonté, mais surtout de votre cadre.
C’est pour ça que j’ai fait un truc radical (mais hyper efficace) : j’ai sécurisé mon environnement d’apprentissage. Comme on sécurise une maison. Sauf qu’ici, c’est votre attention qu’on protège.
Instagram, TikTok, YouTube (sauf pour les vidéos d’anglais), notifications WhatsApp non urgentes… Tout ce qui vole de l’attention inutilement, dehors. Le but ? Éviter le réflexe automatique qui vous fait “juste jeter un œil”… et perdre 30 minutes.
Je me suis bloqué 15 minutes par jour, dans un moment calme. Même si c’est le matin dans la cuisine avec mes écouteurs, ou le soir avant de dormir. Pas de multitâche. Juste vous + l’anglais + le calme.
Au lieu d’avoir des applis chronophages en premier plan, j’ai mis :
Résultat ? Quand j’ouvre mon téléphone, c’est l’anglais qui m’attend, pas les dramas d’Internet.
Parce que vous réduisez le nombre de décisions à prendre. Moins de “je me mets à l’anglais ou je scrolle Insta ?”.
L’environnement décide 80 % de vos habitudes. Plutôt que de vous forcer, facilitez-vous la tâche.
On ne gagne pas la partie en s’épuisant à résister aux distractions. On la gagne en les empêchant d’entrer dès le départ.
Vous avez compris la théorie, identifié les blocages, trouvé l’inspiration. Maintenant, il est temps de bouger. Et pas demain. Aujourd’hui. Parce que l’action, c’est maintenant ou jamais.
Pas besoin de refaire votre vie ou de bloquer 2 heures par jour.
Prenez 30 secondes. Ouvrez votre agenda (papier, Google Calendar, peu importe) et bloquez un créneau de 10 minutes demain matin pour une activité en anglais.
Pas besoin de choisir le contenu tout de suite. Ce qui compte, c’est de réserver l’espace mental.
Pourquoi demain matin ? Parce que :
Direction Spotify, Apple Podcasts ou YouTube. Tapez “English beginner podcast” ou testez ces valeurs sûres :
Ajoutez UN seul épisode à vos favoris. Pas besoin de tout organiser maintenant. Juste préparer une écoute simple, prête à dégainer demain matin.
Prenez un support qui vous plaît :
Et créez la première entrée dès maintenant, même si vous n’avez rien “appris” aujourd’hui. Juste pour démarrer.
Exemple :
Lundi 14 juillet
Ce geste simple vous engage. Et vous prépare à capter chaque petit progrès à partir de maintenant.
Rappelez-vous la méthode : “Je veux + action claire + support + échéance”.
Écrivez votre phrase, en grand, en couleur si vous voulez.
Ce post-it devient votre rappel mental quotidien.
Prenez 2 minutes pour repérer un moment passif de votre journée.
Choisissez UN de ces moments, et remplacez-le dès demain par :
Ce petit switch a un énorme impact à long terme. Parce qu’il transforme le temps perdu… en temps productif, sans ajouter d’effort.
Ces 5 actions vous prennent moins de 30 minutes cumulées.
Beaucoup pensent que pour devenir bilingue en anglais, il faut un don, un cerveau spécial, ou un exil linguistique de 2 ans à Londres.
La vérité ?
Devenir bilingue anglais, c’est le résultat d’une série d’actions minuscules, répétées avec intention.
C’est un muscle, pas un talent. Une construction, pas un événement soudain.
Ce n’est pas votre niveau actuel qui détermine votre avenir linguistique.
Vous n’avez pas besoin de tout comprendre aujourd’hui.
Chaque jour où vous exposez votre cerveau à l’anglais — même 5 minutes — est un jour qui vous rapproche du bilinguisme.
Et un jour, sans même vous en rendre compte, vous vous surprendrez à comprendre une série sans sous-titres. À répondre spontanément à un collègue étranger. À penser en anglais, sans effort.
Parce que devenir bilingue anglais, ce n’est pas magique. C’est progressif, réaliste… et 100 % à votre portée et découvrez aussi ma préparation intensive TOEIC ;))
Aussi, si vous voulez gagner encore plus de temps, voici ma vidéo YouTube pour tout comprendre sur comment devenir bilingue anglais sans vous forcer :
Vous avez déjà essayé plusieurs méthodes ? Vous bloquez encore sur la régularité ?
Je vous aide à optimiser votre niveau en anglais en travaillant intelligemment et non durement
L’article ▷ Objectif devenir bilingue en anglais : mes secrets pour passer à l’action est apparu en premier sur Anglais concret, préparation simplifiée.
By Asma FerrahSoyons honnêtes : si vous êtes en train de lire cet article, ce n’est pas parce que vous manquez de motivation. Ce n’est pas non plus parce que vous êtes « paresseux », « nul en langues », ou « incapable de vous y tenir ». Non, rien de tout ça.
On vous a peut-être dit qu’il fallait se lever à 6h du matin pour apprendre l’anglais avec un café à la main. Ou que seule une immersion totale dans un pays anglophone pouvait faire de vous un vrai bilingue. Ou encore que sans un cours structuré avec un prof natif, vous perdiez votre temps.
Spoiler : c’est faux.
Ce que personne ne vous dit, c’est que la motivation ne précède pas l’action. Elle en est souvent la conséquence. Autrement dit : ce n’est pas parce que vous êtes motivé que vous allez passer à l’action. C’est parce que vous commencez à faire, même un tout petit peu, que votre cerveau commence à aimer ça et à en redemander.
La clé n’est pas dans la discipline pure, mais dans un système intelligent et flexible.
Posez-vous cette question : si vous deviez apprendre l’anglais sans jamais vous forcer, comment feriez-vous ? Vous verriez que c’est possible. Il suffit de quelques ajustements simples dans votre quotidien pour transformer l’anglais en une habitude et non une corvée.
Et c’est exactement ce que nous allons construire dans la suite de mon article.
Cet article participe à l’événement interblogueurs « Vos secrets pour passer à l’action ». Cette initiative est proposée par le blog Mon Bagage Culturel, qui propose des contenus pour développer sa culture générale.
Ah, cette phrase magique… “Demain, je m’y mets sérieusement. Fini de procrastiner.”
Et pourtant, demain devient aujourd’hui, puis aujourd’hui devient “la semaine prochaine”, et finalement… rien ne change. Si vous vous reconnaissez là-dedans, respirez : vous n’êtes pas seul. Le fameux syndrome du “je m’y mets demain” est un piège mental que 90 % des apprenants tombent dedans au moins une fois. Et souvent, encore et encore.
Mais pourquoi ? Pourquoi remettre systématiquement l’apprentissage de l’anglais à plus tard, alors qu’on sait que c’est important pour voyager, bosser, valider un diplôme ou ne plus paniquer en réunion Zoom avec un client étranger ?
Apprendre l’anglais, c’est typiquement ce qu’on appelle une “tâche à bénéfices différés” :
Résultat ? Le cerveau l’étiquette comme “à éviter pour l’instant”, au profit d’activités plus faciles : Netflix, Insta, la vaisselle (oui, même ça devient attirant face à un cours d’anglais).
Mais voici la bonne nouvelle : ce n’est pas une fatalité. On peut totalement hacker ce mécanisme. Le premier pas, c’est de comprendre que l’action crée la clarté. Le simple fait de faire 5 minutes d’écoute active, de noter un mot inconnu ou de répéter une phrase entendue vous sort immédiatement du brouillard.
L’autre astuce consiste à ne jamais dire “je vais apprendre l’anglais”. C’est trop vague. Préférez des verbes concrets :
L’anglais ne se décide pas. Il se pratique. Un tout petit peu, chaque jour.
“Je suis nul en langues.”
Ces pensées sont puissantes car elles vous donnent une excuse “logique” pour ne rien faire. Mais la vérité, c’est qu’elles sont basées sur des généralisations et des mauvaises expériences passées, pas sur des faits.
Prenons-les une par une, et explosons-les :
Non. Vous n’avez probablement jamais appris l’anglais avec une méthode adaptée à votre cerveau. Être “nul”, ça n’existe pas. Il y a juste des approches qui ne vous correspondent pas. Peut-être que vous êtes visuel, peut-être auditif. Peut-être que les listes de vocabulaire vous endorment, mais que les dialogues de séries vous motivent. Il suffit de trouver le bon angle.
Et alors ? L’école a ses limites. Elle n’enseigne pas toujours la vraie communication, ni le plaisir de comprendre une chanson ou une série en VO. Ce que vous apprenez aujourd’hui n’a rien à voir avec vos bulletins de 3e.
FAUX. Les recherches en neurosciences sont claires : le cerveau reste plastique toute la vie. Ce qui change avec l’âge, ce n’est pas la capacité à apprendre, mais la manière de le faire. Et vous avez un énorme avantage : la motivation adulte. Vous savez pourquoi vous apprenez.
Faites le test : regardez votre temps d’écran sur votre téléphone. Vous avez probablement 20 à 40 minutes par jour de “scroll” ou de “vidéos inutiles” que vous pouvez convertir en mini-séances d’anglais. Pas besoin de 2h par jour. 10 minutes bien placées valent mieux que 1h qu’on ne fera jamais.
Le vrai blocage n’est pas un manque de capacité. C’est un excès de fausses croyances.
Et dès que vous les repérez, que vous les confrontez à la réalité… elles perdent leur pouvoir.
La suite logique est maintenant le passage au « déclic » personnel :
Si je devais désigner LE moment où tout a changé pour moi dans mon apprentissage de l’anglais, ce serait celui-là :
Vous voyez la différence ?
Le cerveau humain est programmé pour bouger quand il a une cible bien définie. C’est ce qu’on appelle un objectif concret émotionnel. Pas une obligation académique. Pas un truc pour faire plaisir à votre ancien prof d’anglais. Non : un vrai moteur intérieur.
Voici la petite recette que j’utilise encore aujourd’hui, et que je recommande à 100 % :
Exemple :
Parce que chaque action que vous faites ensuite (regarder une vidéo, écouter un podcast, noter un mot) prend un sens immédiat. Vous n’êtes plus en train d’apprendre “juste parce qu’il faut”, mais parce que vous avez une mission claire à accomplir.
Et ça change tout.
On va être clairs tout de suite : si vous avez déjà tenté de vous faire un planning d’enfer type
C’est juste que les plannings rigides ne fonctionnent pas sur le long terme, surtout quand on a une vie chargée, un travail, des études, des enfants ou juste… un cerveau humain qui n’a pas envie d’apprendre l’anglais à heure fixe tous les jours
Au lieu de planifier de longues sessions à heure fixe, j’ai adopté un concept tout simple, mais révolutionnaire : la micro-habitude flexible.
Exemple concret :
Ça ne me prend presque aucun effort mental. Et pourtant, à force de répétitions, ces petites actions créent une vraie exposition régulière à l’anglais. Résultat ? Je progresse, sans forcer.
Le secret, ce n’est pas d’en faire beaucoup. C’est d’en faire un peu chaque jour, quoi qu’il arrive.
Et quand ce “un peu” devient une habitude, vous entrez en mode pilote automatique. Vous n’avez même plus besoin de vous dire “allez, aujourd’hui je m’y mets”. Ça devient juste… votre routine.
Si vous avez toujours associé l’apprentissage de l’anglais à une salle de classe grise, un prof qui récite un PowerPoint et un manuel scolaire avec des dialogues chelous du type “Where is Brian? Brian is in the kitchen”… je comprends que vous n’ayez jamais eu envie de vous y remettre.
Mais laissez-moi vous dire un truc simple et libérateur :
Vous n’avez pas besoin d’aimer l’anglais pour apprendre l’anglais. Il vous suffit d’aimer ce que vous faites en anglais.
Et ça, ça change TOUT.
Au lieu de m’imposer des exercices classiques, j’ai fait un tri radical :
Voici ce que j’ai intégré à ma routine (et que vous pouvez copier dès maintenant) :
Parce que vous apprenez sans souffrir. Vous restez exposé à l’anglais dans un contexte de plaisir, pas de contrainte. Vous vous surprenez à comprendre une phrase entière dans une vidéo, à deviner un mot sans traduction, à capter une blague dans une série.
Et ce genre de victoire, même minuscule, donne une énergie de dingue pour continuer.
En anglais comme ailleurs, le plaisir est le meilleur carburant de la régularité.
Vous connaissez ce sentiment où vous avez l’impression d’apprendre plein de choses… mais que tout s’évapore ? Ou pire : cette sensation de stagner malgré tous vos efforts ?
Tenir un mini-journal de mon apprentissage.
Pas un gros carnet de développement personnel façon “dear diary”, hein. Juste quelques lignes rapides après chaque mini-session d’anglais. Ce petit geste m’a littéralement rebranché sur ma progression.
3 choses, et pas une de plus :
Exemple :
Aujourd’hui, j’ai appris “get over it” = passer à autre chose. Je l’ai entendu dans une série. J’ai galéré à capter l’accent australien. Demain, je teste avec une vidéo d’un prof américain pour comparer.
Parce que ce petit exercice :
Et surtout… il vous donne la sensation d’être acteur de votre apprentissage, et pas juste spectateur d’une appli ou d’un cours.
Observer son apprentissage, c’est comme regarder son GPS en pleine randonnée : même si vous n’êtes pas encore arrivé, vous voyez que vous avancez.
On ne va pas se mentir : vous pouvez avoir la meilleure intention du monde, la méthode la plus simple, et des contenus ultra motivants…
La vérité, c’est que la réussite ne dépend pas uniquement de votre volonté, mais surtout de votre cadre.
C’est pour ça que j’ai fait un truc radical (mais hyper efficace) : j’ai sécurisé mon environnement d’apprentissage. Comme on sécurise une maison. Sauf qu’ici, c’est votre attention qu’on protège.
Instagram, TikTok, YouTube (sauf pour les vidéos d’anglais), notifications WhatsApp non urgentes… Tout ce qui vole de l’attention inutilement, dehors. Le but ? Éviter le réflexe automatique qui vous fait “juste jeter un œil”… et perdre 30 minutes.
Je me suis bloqué 15 minutes par jour, dans un moment calme. Même si c’est le matin dans la cuisine avec mes écouteurs, ou le soir avant de dormir. Pas de multitâche. Juste vous + l’anglais + le calme.
Au lieu d’avoir des applis chronophages en premier plan, j’ai mis :
Résultat ? Quand j’ouvre mon téléphone, c’est l’anglais qui m’attend, pas les dramas d’Internet.
Parce que vous réduisez le nombre de décisions à prendre. Moins de “je me mets à l’anglais ou je scrolle Insta ?”.
L’environnement décide 80 % de vos habitudes. Plutôt que de vous forcer, facilitez-vous la tâche.
On ne gagne pas la partie en s’épuisant à résister aux distractions. On la gagne en les empêchant d’entrer dès le départ.
Vous avez compris la théorie, identifié les blocages, trouvé l’inspiration. Maintenant, il est temps de bouger. Et pas demain. Aujourd’hui. Parce que l’action, c’est maintenant ou jamais.
Pas besoin de refaire votre vie ou de bloquer 2 heures par jour.
Prenez 30 secondes. Ouvrez votre agenda (papier, Google Calendar, peu importe) et bloquez un créneau de 10 minutes demain matin pour une activité en anglais.
Pas besoin de choisir le contenu tout de suite. Ce qui compte, c’est de réserver l’espace mental.
Pourquoi demain matin ? Parce que :
Direction Spotify, Apple Podcasts ou YouTube. Tapez “English beginner podcast” ou testez ces valeurs sûres :
Ajoutez UN seul épisode à vos favoris. Pas besoin de tout organiser maintenant. Juste préparer une écoute simple, prête à dégainer demain matin.
Prenez un support qui vous plaît :
Et créez la première entrée dès maintenant, même si vous n’avez rien “appris” aujourd’hui. Juste pour démarrer.
Exemple :
Lundi 14 juillet
Ce geste simple vous engage. Et vous prépare à capter chaque petit progrès à partir de maintenant.
Rappelez-vous la méthode : “Je veux + action claire + support + échéance”.
Écrivez votre phrase, en grand, en couleur si vous voulez.
Ce post-it devient votre rappel mental quotidien.
Prenez 2 minutes pour repérer un moment passif de votre journée.
Choisissez UN de ces moments, et remplacez-le dès demain par :
Ce petit switch a un énorme impact à long terme. Parce qu’il transforme le temps perdu… en temps productif, sans ajouter d’effort.
Ces 5 actions vous prennent moins de 30 minutes cumulées.
Beaucoup pensent que pour devenir bilingue en anglais, il faut un don, un cerveau spécial, ou un exil linguistique de 2 ans à Londres.
La vérité ?
Devenir bilingue anglais, c’est le résultat d’une série d’actions minuscules, répétées avec intention.
C’est un muscle, pas un talent. Une construction, pas un événement soudain.
Ce n’est pas votre niveau actuel qui détermine votre avenir linguistique.
Vous n’avez pas besoin de tout comprendre aujourd’hui.
Chaque jour où vous exposez votre cerveau à l’anglais — même 5 minutes — est un jour qui vous rapproche du bilinguisme.
Et un jour, sans même vous en rendre compte, vous vous surprendrez à comprendre une série sans sous-titres. À répondre spontanément à un collègue étranger. À penser en anglais, sans effort.
Parce que devenir bilingue anglais, ce n’est pas magique. C’est progressif, réaliste… et 100 % à votre portée et découvrez aussi ma préparation intensive TOEIC ;))
Aussi, si vous voulez gagner encore plus de temps, voici ma vidéo YouTube pour tout comprendre sur comment devenir bilingue anglais sans vous forcer :
Vous avez déjà essayé plusieurs méthodes ? Vous bloquez encore sur la régularité ?
Je vous aide à optimiser votre niveau en anglais en travaillant intelligemment et non durement
L’article ▷ Objectif devenir bilingue en anglais : mes secrets pour passer à l’action est apparu en premier sur Anglais concret, préparation simplifiée.