Vous voulez atteindre 850 points au TOEIC ? Alors oubliez l’idée reçue selon laquelle certaines personnes seraient naturellement plus “concentrées” que d’autres. Non, ce n’est pas une question de don, ni de volonté miraculeuse. La vérité, c’est que la concentration fonctionne comme un muscle : plus vous l’utilisez correctement, plus elle devient puissante.

Beaucoup de candidats pensent que s’ils n’arrivent pas à rester focus, c’est qu’ils sont “nuls”, “paresseux” ou “pas faits pour ça”. C’est totalement faux. En réalité, rester concentré pendant deux heures – comme l’exige le test TOEIC – ça se travaille, comme n’importe quelle autre compétence. Et si votre objectif est d’obtenir 850 points au TOEIC, il va falloir muscler ce fameux “muscle mental”.

Le problème, c’est que dans notre monde saturé de distractions (notifications, multitâche, sollicitations permanentes), notre attention est constamment fragmentée. Résultat : on perd rapidement le fil, surtout pendant les longues sessions de révision. Or, le TOEIC est un marathon. Il ne suffit pas d’être bon en anglais pendant 10 minutes. Il faut tenir 2 heures, sans baisser de régime, pour espérer frôler ou dépasser les 850 points au TOEIC.

Et c’est là que le mythe de la “volonté” s’effondre : il ne s’agit pas de se forcer mentalement, mais de s’entraîner méthodiquement, jour après jour, à rester focus plus longtemps. On commence par 15 minutes, puis 30, puis 45, jusqu’à tenir un test blanc complet. Pas besoin de souffrir. Il suffit d’être régulier.

La concentration n’est pas un luxe, c’est une arme redoutable pour performer, surtout dans des conditions exigeantes comme celles du TOEIC. Et plus vous la développez, plus vous vous rapprochez concrètement des 850 points au TOEIC que vous visez.

Flemme de lire ? Ma vidéo pour TOUT comprendre en moins de 10 min. (et abonnez vous pour rester informé des dernières actus sur le TOEIC ( :

Si vous êtes en pleine préparation et que votre objectif est clair — atteindre 850 points au TOEIC — alors il y a une chose que vous ne pouvez plus vous permettre : réviser en étant épuisé. La fatigue est l’ennemi numéro un de votre concentration, et donc… de votre performance.

Vous avez sûrement déjà vécu cette situation : vous avez bloqué du temps pour travailler, mais dès les premières lignes de texte ou les premiers exercices de Listening, votre esprit décroche. Vous relisez sans vraiment comprendre. Vous procrastinez. Vous sautez des questions. Résultat : vos révisions sont inefficaces et votre motivation chute. Pas top pour viser 850 points au TOEIC, n’est-ce pas ?

La réalité, c’est que la fatigue mentale écrase vos capacités cognitives. Elle diminue votre mémoire de travail, votre rapidité de traitement, et bien sûr, votre attention. Et comme le TOEIC est un test long, technique et chronométré, un simple manque de sommeil peut faire perdre des dizaines de points. Ce serait dommage de rater votre objectif pour une histoire de coucher trop tard.

Conseil stratégique : si vous préparez un TOEIC blanc ou une session longue, faites-le le matin, à tête reposée, après une nuit de 7 à 8 heures minimum. C’est à ce moment-là que votre cerveau est le plus lucide, surtout pour traiter des tâches complexes comme la compréhension de textes ou l’analyse rapide des questions en partie 5 ou 6. Et rappelez-vous : ce n’est pas parce que vous révisez longtemps que vous révisez bien. Ceux qui visent 850 points au TOEIC savent que la qualité prime sur la quantité.

Petit bonus neuroscientifique : durant la nuit, un système essentiel s’active dans votre cerveau – le système glymphatique. Il nettoie vos neurones des toxines accumulées pendant la journée, un peu comme une machine à laver interne. Ce processus est crucial pour… devinez quoi ? Votre mémoire et votre capacité à vous concentrer.

En résumé : si vous voulez booster votre concentration et augmenter vos chances d’atteindre 850 points au TOEIC, commencez par revoir votre hygiène de vie. Dormez mieux, planifiez vos révisions aux bons moments, et surtout : arrêtez de croire que dormir est une perte de temps. C’est l’investissement le plus rentable pour votre cerveau.

Vous avez beau être motivé à fond, décidé à décrocher 850 points au TOEIC, si vous révisez dans un environnement rempli de distractions, vous partez avec un sérieux handicap. Pourquoi ? Parce que votre cerveau n’est pas fait pour travailler efficacement en étant constamment interrompu.

Notifications, messages, réseaux sociaux, bruit ambiant, télé qui tourne en fond… ces perturbations, même minimes, fragmentent votre attention. Et dans le cadre d’un test aussi exigeant que le TOEIC, chaque interruption vous fait perdre du temps ET de la précision. En clair : votre concentration se vide comme une batterie, et vos chances d’atteindre 850 points au TOEIC fondent avec elle.

Ce phénomène s’appelle le coût de basculement attentionnel. À chaque fois que vous changez de tâche (ex. : vous lisez un mail, puis revenez à un exercice TOEIC), votre cerveau met plusieurs minutes à retrouver son niveau de concentration optimal. Imaginez l’impact à l’échelle d’une session de 2 heures.

Pour contrer ça, investissez dans un casque antibruit. C’est un des outils les plus efficaces pour retrouver un vrai focus, surtout si vous vous entraînez à la partie Listening. Vous n’avez qu’une seule écoute possible pendant l’épreuve : votre concentration doit être maximale. Si le casque n’est pas une option, direction bibliothèque, salle de coworking calme ou même une pièce fermée chez vous où vous ne serez pas dérangé(e).

Autre astuce simple : activez le mode avion sur votre téléphone pendant vos sessions. Pas de notification = pas d’excuse. Vous recréez ainsi les conditions du TOEIC réel, et vous apprenez à travailler dans un mode “deep focus” qui vous sera précieux le jour J.

Ceux qui réussissent à atteindre 850 points au TOEIC ont tous un point commun : ils protègent leur concentration comme un bien précieux. Ce n’est pas un luxe, c’est une stratégie. Et cette stratégie commence par éliminer tout ce qui vous tire mentalement vers le bas.

Si vous visez 850 points au TOEIC, chaque détail compte. Et cela inclut l’endroit où vous travaillez. Un environnement de révision en désordre, même légèrement, peut impacter votre concentration sans que vous vous en rendiez compte. Pourquoi ? Parce que le désordre visuel crée un désordre mental. C’est comme si votre cerveau devait traiter une “pollution visuelle” supplémentaire avant même de commencer à se concentrer sur votre entraînement.

Prenons un exemple simple : vous vous installez pour faire une simulation TOEIC, mais votre bureau est couvert de papiers, de câbles, de tasses, de vêtements… Résultat : vous vous levez toutes les 10 minutes pour chercher un stylo, une feuille, une bouteille d’eau. Et ce qui devait être une session productive devient un enchaînement de petites interruptions. Pas terrible si vous avez en ligne de mire les 850 points au TOEIC, n’est-ce pas ?

La solution : ritualisez vos sessions de travail. Avant de commencer, préparez tout ce dont vous avez besoin : cahier, stylos, chronomètre, bouteille d’eau, écouteurs. Votre objectif est simple : ne plus avoir à vous lever ou réfléchir à quoi que ce soit d’autre que votre révision. Cela crée un signal clair à votre cerveau : “Maintenant, on se concentre.”

Et si vous travaillez dans un lieu partagé ou à la maison, choisissez un endroit fixe. Cela conditionne mentalement votre esprit à passer en mode “focus” dès que vous vous installez à cet endroit. C’est un réflexe que de nombreux étudiants ou professionnels ayant atteint 850 points au TOEIC partagent : ils créent un cadre qui favorise la concentration, au lieu de la saboter.

Dans l’idéal, privilégiez un lieu calme, lumineux, où vous vous sentez bien. Une bibliothèque ou une BU sont souvent de très bons choix, car l’ambiance y pousse naturellement à se concentrer. Mais même chez vous, un espace bien rangé = un esprit plus clair, donc un cerveau plus performant.

En résumé : si vous voulez viser haut, commencez par maîtriser votre environnement. Atteindre 850 points au TOEIC, c’est aussi une question de contexte. Et un contexte favorable, ça se construit.

Si vous avez du mal à rester concentré longtemps, ne vous inquiétez pas : c’est tout à fait normal. Et surtout, ce n’est pas incompatible avec votre objectif des 850 points au TOEIC. Il faut simplement utiliser des méthodes adaptées à votre cerveau… et la méthode Pomodoro est une des plus redoutables dans ce domaine.

Le principe est simple : vous travaillez pendant 25 minutes sans aucune interruption, puis vous prenez une pause courte de 5 minutes. Ce cycle est répété 4 fois, et après la 4e session, vous vous accordez une pause plus longue (15 à 30 minutes). Cette technique repose sur un fait très simple : votre cerveau n’est pas conçu pour rester ultra-concentré pendant deux heures d’affilée sans pause.

Or, si vous voulez maximiser vos efforts pour atteindre 850 points au TOEIC, vous devez apprendre à structurer votre temps de travail de manière stratégique. La méthode Pomodoro vous permet :

Ce qui est intéressant, c’est que cette méthode renforce votre muscle de concentration petit à petit. Au début, 25 minutes peuvent sembler longues. Mais très vite, votre cerveau s’adapte, et vous tenez ces phases de concentration avec plus de facilité. Résultat : vous gagnez en endurance mentale, un avantage énorme pour tenir les 2 heures du TOEIC sans décrocher.

Attention cependant : la méthode Pomodoro est parfaite pour réviser des points spécifiques (grammaire, vocabulaire, mini-exercices, corrections), mais elle a ses limites. Pour simuler un TOEIC blanc complet, vous devrez tenir une session de 2 heures d’un seul bloc, comme lors de l’épreuve officielle. L’astuce ici, c’est de réserver ces longues sessions pour le matin, quand votre énergie est au maximum, et de bien prévoir une pause longue après, pour récupérer.

En alternant méthode Pomodoro pour les révisions quotidiennes et TOEIC blancs complets pour l’entraînement intensif, vous préparez votre cerveau à performer dans toutes les conditions. Et c’est exactement ce qu’il faut pour viser 850 points au TOEIC de façon réaliste et efficace.

Atteindre 850 points au TOEIC ne se fait pas en un week-end intensif ou en révisant de temps en temps “quand on a le temps”. C’est un score qui demande de la régularité, de l’endurance mentale, et surtout un entraînement progressif, exactement comme si vous prépariez un semi-marathon. Et la bonne nouvelle, c’est que cette endurance se construit. Pas à pas.

Votre concentration ne va pas se transformer du jour au lendemain. Il est inutile de vous forcer à faire un test blanc complet dès la première semaine de préparation. Si vous débutez ou reprenez après une longue pause, commencez petit mais régulier. Par exemple :

Puis, semaine après semaine, vous allongez la durée des sessions, vous enchaînez les exercices, vous simulez de vraies conditions d’examen. Ce processus, à la fois simple et progressif, permet à votre cerveau de s’adapter. Et c’est cette adaptation qui vous rend capable de tenir jusqu’au bout d’un vrai TOEIC, sans effondrement mental au bout d’1h30.

Cette méthode a un second avantage majeur : elle évite le burn-out des révisions. Beaucoup de candidats visent 850 points au TOEIC, mais s’épuisent en voulant tout faire trop vite. Résultat : perte de motivation, sensation d’échec, décrochage… et score final décevant.

En adoptant une routine quotidienne, même courte, vous conditionnez votre cerveau à rentrer facilement en mode focus, sans résistance mentale. Cette habitude devient un automatisme. Et c’est précisément cette discipline progressive, plus que le temps passé, qui fait grimper votre performance.

Conseil bonus : planifiez vos sessions à heures fixes. 30 minutes à 9h chaque matin auront bien plus d’impact que 3 heures un dimanche soir. Les candidats qui atteignent 850 points au TOEIC sont rarement ceux qui bossent le plus… mais ceux qui bossent le mieux.

Atteindre 850 points au TOEIC demande de la stratégie, mais aussi de ne pas tomber dans les pièges classiques. Beaucoup de candidats sérieux se tirent une balle dans le pied en adoptant des méthodes contre-productives, croyant bien faire. Voici ce que vous devez impérativement éviter si vous voulez optimiser vos chances d’atteindre ce score ambitieux.

C’est une des erreurs les plus fréquentes : se dire “je m’y mets à fond le samedi”. C’est une méthode qui donne l’illusion de travailler, mais qui ne fonctionne pas à long terme. La science de l’apprentissage est formelle : notre cerveau retient mieux lorsqu’il est exposé à l’information de manière répétée et espacée, pas en bourrage massif. Et c’est encore plus vrai si votre but est de tenir deux heures de concentration continue pour viser 850 points au TOEIC.

Non, faire des pauses n’est pas une perte de temps. C’est une technique d’optimisation mentale. Réviser 3 heures sans pause ne vous rendra pas plus performant… au contraire, votre cerveau se fatigue et votre productivité chute. Si vous ne vous autorisez jamais à souffler, vous ne serez jamais dans les conditions mentales idéales pour performer, ni le jour du test ni pendant vos entraînements. Et donc, les 850 points au TOEIC s’éloignent, séance après séance.

Comme vu plus haut, votre environnement joue un rôle fondamental dans votre capacité à vous concentrer. Une pièce encombrée, un fond sonore constant, ou des allers-retours fréquents vous empêcheront de travailler efficacement. Et sans concentration stable, impossible d’optimiser votre performance au test. Si vous vous entraînez sérieusement dans un lieu mal adapté, vous ne serez pas en mesure de reproduire l’intensité mentale exigée pour atteindre les 850 points au TOEIC.

Beaucoup de candidats révisent uniquement “à la carte” : un peu de grammaire ici, un peu de vocabulaire là… mais ne font jamais de simulation complète. Or, le TOEIC, c’est un tout. C’est une épreuve de concentration autant que de compréhension. Si vous ne vous entraînez pas à tenir deux heures d’affilée en condition réelle, vous serez désorienté le jour J.

Et c’est souvent là que tout se joue : les bons élèves qui connaissent la grammaire par cœur s’effondrent mentalement à la partie 7, faute d’avoir entraîné leur endurance. Ne faites pas cette erreur. Intégrez au minimum un test blanc complet par semaine durant la dernière phase de votre préparation.

En résumé : si vous voulez vraiment atteindre 850 points au TOEIC, votre méthode doit être aussi solide que vos connaissances linguistiques. Évitez les pièges classiques, soyez constant, stratégique, et respectueux de votre énergie mentale.

Décrocher 850 points au TOEIC, ce n’est pas réservé à une élite bilingue ou à ceux qui ont fait des études en anglais. C’est un objectif tout à fait atteignable, à condition de travailler intelligemment et stratégiquement. Et cela commence par prendre soin de votre concentration.

Rappelez-vous les trois piliers abordés dans cet article :

Viser 850 points au TOEIC, ce n’est pas seulement maîtriser les structures de l’anglais – c’est aussi tenir le cap mentalement pendant deux heures, sans flancher, et répondre juste là où beaucoup décrochent. Et la bonne nouvelle, c’est que ça s’apprend.

Vous ne savez pas par où commencer ? J’ai créé pour vous une mini formation gratuite de 4 jours pour poser les bases d’une préparation TOEIC efficace et réaliste.

Pour recevoir votre kit de démarrage TOEIC, il vous suffit de cliquer dans la description ou via le lien juste ici.

Et vous, que pensez-vous de la concentration comme levier pour atteindre 850 points au TOEIC ? N’hésitez pas à me faire part de vos avis et à commenter et si vous voulez aller encore plus loin, découvrez aussi ma préparation intensive TOEIC  

L’article ▷ Comment rester concentré pour atteindre 850 points au TOEIC ? est apparu en premier sur Anglais concret, préparation simplifiée.

Mes 1000 mots de vocabulaire pour le test IELTS en PDF à télécharger ici ! Dans l’article précédent, on a vu quelle version de l’IELTS passer selon votre projet au Canada, et les scores requis pour l’immigration ou les études.

Quand on prépare l’IELTS, on pense souvent à la grammaire, à la compréhension orale, ou aux sujets de rédaction… mais on oublie trop souvent le vocabulaire. Et pourtant, sans un bon vocabulaire, difficile d’avoir un bon score.

Le problème ? La plupart des listes qu’on trouve en ligne sont trop longues, mal organisées ou pas adaptées au test.

C’est pour ça que, dans ma formation gratuite IELTS, je vous envoie au jour 4 un PDF exclusif avec 1000 mots utiles, classés par thème (éducation, santé, environnement…), pour aller à l’essentiel et ne pas apprendre n’importe quoi.

Dans cet article, je vais vous expliquer :

Une version de ce contenu est disponible ici(: 

Quand on pense à l’IELTS, on se dit souvent :

“Je vais écouter des audios, lire des textes, apprendre à écrire un essai…”

Et pourtant, c’est lui qui fait souvent la différence entre un score moyen et un bon score.

Vous pouvez avoir une bonne grammaire, parler sans trop d’erreurs, ou bien comprendre les textes…

En bref : plus votre vocabulaire est varié, plus vous pouvez vous exprimer clairement, avec confiance, et plus les examinateurs vous attribueront un bon score.

Beaucoup de candidats utilisent encore les mots appris au collège ou au lycée.

Autre exemple :

“I think it’s good” → trop simple

C’est justement pour vous aider à faire cette différence que je vous propose, au jour 4 de ma formation gratuite, un PDF avec 1000 mots utiles pour l’IELTS, classés par thème.

En jour 4 de ma formation gratuite, je vous envoie un PDF exclusif de 1000 mots utiles pour l’IELTS, classés par thème, avec des exemples concrets.

Toutes les listes de vocabulaire ne se valent pas. Certaines sont trop longues, d’autres sont mal classées, ou simplement pas adaptées au format IELTS.

Voici les grandes catégories que vous devez retrouver (ou construire vous-même) dans un fichier utile :

Dans ma formation gratuite IELTS, je vous envoie au jour 4 un PDF de 1000 mots utiles, organisés par thème, avec :

Ce n’est pas une simple liste à apprendre par cœur, c’est un outil de révision stratégique pour progresser plus vite et de façon ciblée.

Vous pouvez vous inscrire gratuitement ici pour recevoir ce fichier directement par e-mail. [Lien]

Avoir un bon fichier PDF de vocabulaire, c’est déjà une étape importante.

Voici quelques méthodes simples et efficaces que vous pouvez appliquer, même si vous n’avez pas beaucoup de temps chaque jour.

Le cerveau retient mieux ce qu’il revoit régulièrement, mais pas trop souvent.

Créez vos propres cartes avec le mot, une définition simple, une phrase exemple et sa traduction.

Lire une liste de mots ne suffit pas. Il faut faire travailler votre mémoire.

Le vocabulaire devient vraiment actif quand vous l’utilisez dans :

Astuce : quand vous révisez un mot, demandez-vous à quelle partie du test vous pourriez l’utiliser. Cela crée un lien concret avec le test et améliore la mémorisation.

Un fichier PDF de 1000 mots peut impressionner.

Un bon fichier vocabulaire IELTS PDF peut vraiment vous aider à structurer votre préparation, à enrichir vos réponses et à gagner des points dans toutes les sections du test.

C’est exactement l’objectif du PDF que je vous envoie au jour 4 de ma formation gratuite IELTS. Il contient 1000 mots utiles, organisés par thèmes, pour vous faire gagner du temps et booster vos révisions.

Voilà, c’est la fin de notre défi 30 jours pour booster votre préparation à l’IELTS. Si vous avez suivi les articles depuis le début, vous avez maintenant une vision complète, étape par étape, de ce qu’il faut maîtriser pour réussir ce test.

Et vous, quelles sont vos méthodes pour retenir le vocabulaire IELTS ? Partagez vos retours en commentaire, je vous répondrai avec plaisir.

Asma 

Aide Test Anglais

Je vous aide à réussir votre test d’anglais en travaillant intelligemment et non durement

L’article [30/30] Le vocabulaire pour le test IELTS en PDF est apparu en premier sur Anglais concret, préparation simplifiée.

« Quel IELTS faut-il pour partir au Canada ? » Dans l’article précédent, je vous expliquais comment passer l’IELTS avec un prix boursier, et comment financer votre test IELTS, grâce à des aides pour étudiants, demandeurs d’emploi ou salariés.

Mais une fois que la question du financement est réglée, une autre se pose à savoir quel IELTS pour le Canada. C’est une question essentielle, car le Canada ne reconnaît pas toutes les versions du test. Selon votre projet immigration, études, travail, ou même un dossier sur Arrima (Québec), il faut choisir la bonne version de l’IELTS et viser le bon score.

Dans cet article, je vous explique quelle version de l’IELTS choisir, les scores requis selon les programmes, et les erreurs à éviter pour ne pas bloquer votre projet canadien dès la première étape.

une version de ce contenu est disponible ici(: 

Si vous envisagez de vivre, travailler ou étudier au Canada, vous devrez presque toujours fournir une preuve officielle de votre niveau d’anglais.

Le gouvernement canadien accepte uniquement deux tests d’anglais pour les démarches d’immigration économique (hors Québec) :

Mais attention : le CELPIP n’est disponible qu’au Canada et dans quelques pays, donc pour la plupart des candidats à l’étranger, l’IELTS est la seule option viable.

L’IELTS est requis dans plusieurs contextes :

En résumé, si vous vous demandez quel IELTS passer pour le Canada, la réponse dépend de votre projet, mais dans la majorité des cas, le test est obligatoire.

C’est l’une des erreurs les plus fréquentes : passer la mauvaise version de l’IELTS, et se rendre compte trop tard qu’elle n’est pas valable pour l’immigration au Canada.

Alors, entre IELTS Academic, General Training, et UKVI, lequel faut-il vraiment passer ?

Si votre objectif est d’immigrer au Canada (hors Québec), dans le cadre de programmes comme :

…alors vous devez obligatoirement passer le test IELTS General Training.

Le test IELTS Academic n’est pas accepté pour ces démarches, même si vous obtenez un excellent score.

Si vous partez pour :

…alors c’est l’IELTS Academic qui est requis.

Les établissements d’enseignement supérieur canadiens utilisent ce test pour évaluer :

Attention : ce test n’est pas valide pour une demande de résidence permanente.

L’IELTS UKVI est une version “sécurisée” de l’IELTS, exigée uniquement pour certaines démarches de visa au Royaume-Uni.

Passer le bon test, c’est bien.

Et pour compliquer un peu les choses, le Canada n’utilise pas directement les scores IELTS, mais les CLB (Canadian Language Benchmarks).

Le CLB est un système canadien qui mesure le niveau de langue sur une échelle de 1 à 12.

Exemple : pour obtenir un CLB 7 (souvent le minimum requis), il faut au moins 6.0 dans chaque section de l’IELTS General Training.

Voici les scores IELTS que vous devez viser selon le programme d’immigration :

Voilà pourquoi il est essentiel de viser un score précis à l’IELTS, et pas juste “faire de son mieux”.

Si vous visez le Québec, attention : les règles sont différentes de celles du reste du Canada. Le gouvernement québécois ne suit pas le système Entrée Express, et la plateforme Arrima a ses propres critères de sélection linguistique.

Oui, mais dans un contexte très précis.

Pour l’immigration économique via le Québec, le gouvernement ne prend pas en compte les résultats de l’IELTS dans le calcul des points.

En clair :

Arrima est la plateforme officielle du Ministère de l’Immigration du Québec, utilisée pour :

Mais pour gagner des points dans la grille de sélection, il faut un test de français reconnu.

L’anglais (et donc l’IELTS) n’est pas prioritaire dans cette grille, même si avoir des compétences en anglais peut être un plus non négligeable dans l’évaluation globale.

Si votre objectif est une immigration permanente au Québec, vous devez absolument passer un test de français reconnu :

Ces tests permettent d’obtenir jusqu’à 16 points dans la grille de sélection québécoise, ce que l’IELTS ne permet pas.

Résumé Québec :

Maintenant que vous savez quel IELTS passer pour le Canada (spoiler : c’est le General Training), encore faut-il l’obtenir, ce score.

Voici comment structurer votre préparation intelligemment, même si vous partez de zéro.

Pour viser CLB 7, vous devez obtenir au moins 6.0 dans chaque section de l’IELTS General Training :

Attention : ce n’est pas une moyenne, chaque section compte individuellement.

Et pour atteindre CLB 9 (là où les points explosent dans Entrée Express), vous devrez viser :

Voici quelques sources gratuites et fiables pour préparer le IELTS General Training :

L’idéal est de faire un test blanc complet pour vous situer, puis de travailler vos points faibles en priorité.

C’est un classique : des candidats se préparent… à l’IELTS Academic au lieu du General Training, et découvrent trop tard qu’ils ont passé le mauvais test pour l’immigration.

Avant toute inscription :

Et surtout : n’attendez pas la dernière minute. Il vous faut souvent plusieurs semaines pour atteindre votre objectif si vous partez de CLB 6 ou en dessous.

Pour partir vivre, étudier ou immigrer au Canada, passer l’IELTS est souvent obligatoire — mais encore faut-il choisir la bonne version.

Comprendre quel IELTS passer pour le Canada, c’est le premier pas pour éviter les erreurs coûteuses… et poser les bases solides de votre projet.

Et vous, dans quelle situation êtes-vous ? Vous visez le Québec, le fédéral, ou un projet d’études ? Dites-le-moi en commentaire, je vous lirai et vous répondrai avec plaisir.

Asma 

Aide Test Anglais

L’article [29/30] Quel IELTS pour le Canada (et réussir sur Arrima) ? est apparu en premier sur Anglais concret, préparation simplifiée.

IELTS : quel est le tarif et peut-on le passer avec un prix boursier ? Dans l’article précédent, on a vu comment interpréter un score TOEIC de 650 et à quoi il correspond sur l’échelle de l’IELTS.

Combien coûte l’IELTS ? Et peut-on le passer gratuitement grâce à une bourse ?

C’est une vraie question, car le test IELTS représente un investissement non négligeable, surtout quand on est étudiant, en recherche d’emploi, ou en reconversion.

Dans cet article, je vous explique les tarifs officiels, les possibilités de financement selon votre situation, et les bons réflexes pour ne pas payer pour rien.

Enfin, pour ceux qui préfèrent le format vidéo, une version de ce contenu est disponible ici(: 

Avant de chercher une aide ou une prise en charge, il faut savoir combien coûte réellement l’IELTS aujourd’hui. Le prix du test IELTS dépend de plusieurs facteurs, notamment du type de test et du centre d’examen.

En 2024, le prix de l’IELTS en France est généralement compris entre 240 € et 255 €, selon l’organisme (British Council ou IDP) et le lieu d’examen.

Voici les prix moyens pour chaque version :

À noter que le prix du test IELTS reste à peu près similaire dans d’autres pays européens, mais peut varier légèrement en fonction du taux de change et des frais locaux.

Outre le tarif de base, certains coûts peuvent s’ajouter :

Autrement dit, même si le prix du test IELTS est fixe, l’inscription peut vite coûter plus cher si vous vous y prenez mal ou si vous devez décaler.

Voilà pourquoi beaucoup se demandent s’il existe une bourse IELTS, ou un moyen de ne pas payer ce montant de leur poche.

La question revient très souvent :

“Est-ce qu’il existe une bourse pour passer l’IELTS ? Ou un moyen d’être remboursé quand on a peu de moyens ?”

La bonne nouvelle, c’est que oui, certaines aides existent.

Voici les principales situations dans lesquelles vous pouvez bénéficier d’un soutien financier pour couvrir le prix de l’IELTS.

Si vous êtes boursier de l’enseignement supérieur, certaines universités proposent :

Cela ne se fait pas automatiquement. Vous devez en faire la demande auprès du service RI ou du bureau des langues de votre établissement.

Si vous êtes inscrit à Pôle emploi, ou accompagné par une mission locale, certaines aides peuvent s’activer :

Le financement du test IELTS seul est rare, mais si vous suivez une formation d’anglais certifiante, le coût du test peut être intégré à la prise en charge.

Vous êtes salarié ou en reconversion ?

Il faut que le centre de formation soit partenaire officiel de l’IELTS (British Council, IDP).

Si vous n’entrez dans aucune de ces catégories, il n’existe pas de bourse IELTS nationale à proprement parler.

Même si vous avez trouvé un financement ou une bourse, il serait dommage de gaspiller votre inscription pour un détail évitable.

Il n’y a que deux plateformes officielles pour réserver votre place à l’IELTS :

Ce sont les deux organismes officiels agréés. Vous y trouverez :

Astuce : certaines villes ont plus de créneaux que d’autres. Réservez tôt pour avoir le centre le plus pratique et le bon format (ordinateur ou papier).

Voici les erreurs à éviter si vous voulez rentabiliser chaque euro investi dans le test :

Préparation + timing = meilleur retour sur investissement, surtout si vous financez vous-même ou via une aide ponctuelle.

Si vous passez l’IELTS pour une inscription universitaire, un dossier Erasmus ou une mobilité pro, il vaut mieux :

Rappelez-vous : le but n’est pas juste de passer l’IELTS, mais de réussir du premier coup.

Parfait boss Voici la conclusion complète de l’article sur le mot-clé IELTS prix boursier, avec :

Passer l’IELTS représente un coût réel, mais ce n’est pas forcément à vous de tout financer.

Mais attention : même avec une aide, il faut vous inscrire intelligemment, éviter les erreurs classiques (mauvaise version, mauvaise date), et vous préparer sérieusement.

Et vous, avez-vous déjà demandé une aide pour passer l’IELTS ? Est-ce que le prix vous a freiné jusqu’ici ? Dites-le-moi en commentaire, je vous répondrai avec plaisir.

Asma

Aide Test Anglais

L’article [28/30] Passer l’IELTS avec un prix boursier, est-ce possible ? est apparu en premier sur Anglais concret, préparation simplifiée.

Dans mon dernier article, on a comparé en détail l’IELTS et le TOEFL  lequel des 2 est le plus difficile selon votre profil. Mais une autre question revient très souvent :

“J’ai eu 650 au TOEIC, est-ce que c’est un bon score ? Et à quoi ça correspond à l’IELTS ?”

un score de 650 au TOEIC est souvent perçu comme “moyen” ou “pas suffisant”, mais qu’en est-il vraiment ? Avant de le comparer à l’IELTS, il faut d’abord comprendre ce que le test TOEIC mesure réellement, et ce que ce score dit de votre niveau d’anglais.

Le TOEIC Listening & Reading est un test conçu pour évaluer votre compréhension de l’anglais en contexte professionnel, principalement à l’écrit et à l’oral. Il ne teste pas l’expression écrite ni l’expression orale.

Deux parties principales :

Le score total va de 10 à 990 points, la moyenne en France tournant souvent autour de 750.

Selon les grilles d’interprétation du CECRL (Cadre Européen Commun de Référence pour les Langues) :

Exemples de compétences typiques à ce niveau :

Ce que vous pouvez faire :

Ce que vous ne pouvez pas faire :

Il n’existe pas de conversion “officielle” et universelle entre le TOEIC et l’IELTS, car ces deux tests ne mesurent ni les mêmes compétences, ni avec les mêmes formats.

Un TOEIC 650 correspond donc à un IELTS entre 5.5 et 6.0, ce qui place le candidat juste en dessous ou au seuil du niveau B2.

Exemple concret :

La grande différence : l’IELTS évalue toutes les compétences, y compris :

Donc, à score équivalent, l’IELTS donne une vision plus fiable de votre niveau réel en anglais, surtout dans un cadre universitaire ou professionnel international.

Enfin, pour ceux qui préfèrent le format vidéo, une version de ce contenu est disponible ici(: 

en cours de prépa;)

Un score de 650 au TOEIC montre que vous avez déjà une base solide, souvent proche du niveau B1+ à B2 faible.

Pourquoi ?

Si vous avez 650 au TOEIC et que vous visez l’IELTS, votre objectif réaliste sera un score entre 5.5 et 6.0… mais avec du travail, il est possible d’aller plus loin.

Et vous, quel est votre objectif après un TOEIC à 650 ? Pensez-vous passer l’IELTS ? Dites-le-moi en commentaire, je vous lirai et je vous répondrai avec plaisir.

Asma

Aide Test Anglais

L’article [27/30] TOEIC 650 / 990 : à quel score IELTS ? est apparu en premier sur Anglais concret, préparation simplifiée.

IELTS ou TOEFL : lequel est le plus difficile (et pourquoi) ? Dans l’article précédent, on a vu à quoi correspond le niveau B2 en anglais à l’IELTS, et dans quels contextes ce niveau est suffisant pour valider un dossier Erasmus, poursuivre des études supérieures ou entamer une reconversion.

“IELTS ou TOEFL : lequel est le plus difficile ?”

C’est une question légitime, surtout si vous hésitez entre les deux examens pour certifier votre niveau. Car même si les deux tests évaluent les mêmes compétences (Listening, Reading, Writing, Speaking), leur format, leur style, et leur niveau d’exigence sont loin d’être identiques.

Dans cet article, on va comparer objectivement les deux tests pour vous aider à choisir celui qui correspond le mieux à votre profil — pas forcément le plus facile, mais le plus stratégique selon vos points forts.

C’est parti pour un comparatif clair, sans jargon, pour faire le bon choix dès maintenant.

Enfin, pour ceux qui préfèrent le format vidéo, une version de ce contenu est disponible ici(: 

Quand on prépare un test d’anglais pour un projet d’études, une mobilité Erasmus ou une candidature à l’étranger, une question revient souvent :

Ce n’est pas juste une question de curiosité. Choisir le test qui correspond le mieux à votre profil peut faire la différence entre valider ou rater votre projet.

Sur le papier, l’IELTS et le TOEFL mesurent les mêmes compétences :

Mais dès qu’on entre dans le détail, les deux examens sont radicalement différents :

Résultat : certains profils vont se sentir à l’aise avec l’un, et dépassés par l’autre, alors que le niveau linguistique est le même.

Cette comparaison est particulièrement importante pour :

Dans tous ces cas, choisir le bon test dès le départ vous évite de repasser l’examen ou de manquer une opportunité à cause d’un mauvais score.

Cet article ne cherche pas à dire que l’un est « meilleur » que l’autre.

Même si l’IELTS et le TOEFL évaluent les mêmes compétences linguistiques, leur structure et leur mise en situation changent tout.

Voici les 4 sections comparées, compétence par compétence.

Avantage : plus naturel, on peut rebondir sur les questions.

Avantage : pas d’interaction humaine = moins de pression sociale.

Il n’existe pas un test « plus facile » universellement.

Voici donc quelques cas concrets pour vous aider à choisir entre IELTS et TOEFL, selon vos forces, vos habitudes, et vos objectifs.

Quand on parle de “niveau”, il ne suffit pas de regarder un score brut. Il faut savoir à quoi ce score correspond réellement dans un cadre reconnu — comme le CECRL (Cadre Européen Commun de Référence pour les Langues).

Voici tout ce que vous devez savoir pour interpréter correctement votre score TOEFL ou IELTS, et surtout pour comparer ces deux tests de manière équitable.

Ces correspondances ne sont pas “officielles” à 100 %, mais elles sont largement reconnues par les universités, employeurs, et organismes de certification.

Autrement dit :

Bon à savoir :

Soyons clairs : aucun test n’est “objectivement” plus facile que l’autre.

Deux personnes avec exactement le même niveau d’anglais peuvent avoir :

Pourquoi ?

Dans les faits, l’IELTS est :

Mais attention :

Si votre projet vous amène vers :

…alors c’est évidemment ce test qu’il faut choisir.

Il est aussi recommandé pour les candidats à l’aise avec :

En fin de compte, la bonne question n’est pas “quel test est plus facile ?”,

Quel test me demandera le moins de réadaptation ?

Choisissez celui :

C’est comme ça que vous obtiendrez le meilleur score, le plus vite possible.

Il n’y a pas de test « plus simple », seulement un test mieux adapté à votre manière de penser et de vous exprimer en anglais.

L’IELTS vous conviendra si vous aimez les formats variés, que vous êtes à l’aise à l’oral et que vous visez un projet en Europe, UK ou Australie.

Dans les deux cas, vous pouvez réussir — à condition de choisir en fonction de votre profil, et non au hasard.

Et vous, lequel des deux tests vous semble le plus abordable ? Avez-vous déjà testé l’un ou l’autre ? Racontez-moi votre expérience en commentaire, je vous lirai avec attention.

Asma

Aide Test Anglais

L’article [26/30] IELTS ou TOEFL : lequel est le plus difficile (et pourquoi) ? est apparu en premier sur Anglais concret, préparation simplifiée.

Que vaut un niveau B2 en anglais à l’IELTS ? Dans l’article précédent, je vous ai présenté le livre 200 IELTS Academic publié chez Éditions Ellipses, une excellente ressource pour s’entraîner efficacement à l’épreuve écrite.

Et c’est justement ce qu’on va clarifier aujourd’hui :

Dans cet article, on va mettre les choses au clair, en comparant le niveau B2 IELTS aux autres certifications (TOEIC, TOEFL, Cambridge, Linguaskill) et aux attentes concrètes des universités ou employeurs.

C’est parti pour un guide simple et précis, pour enfin savoir où vous en êtes, et où vous devez aller.

Enfin, pour ceux qui préfèrent le format vidéo, une version de ce contenu est disponible ici(: 

en cours de prépa;)

Le niveau B2 est souvent présenté comme le seuil de l’autonomie en langue. C’est un objectif courant pour les étudiants, les professionnels en reconversion, et tous ceux qui veulent faire reconnaître un anglais solide mais pas encore “expert”.

Mais que signifie exactement « B2 », et d’où ça vient ?

Le CECRL signifie Cadre Européen Commun de Référence pour les Langues.

Il définit 6 niveaux de compétence :

Ce cadre est utilisé :

Le but du CECRL est de clarifier ce que les apprenants peuvent réellement faire en langue étrangère, à chaque niveau.

Le niveau B2 décrit une personne indépendante et fonctionnelle en anglais, capable de faire face à la majorité des situations du quotidien, des études ou du travail.

Voici les grandes compétences associées au niveau B2 :

Exemples concrets de contextes où le B2 est exigé :

Le test IELTS n’utilise pas les niveaux CECRL (B1, B2, etc.) directement. Il fonctionne avec une échelle de 0 à 9, appelée band scores.

Alors, comment savoir si vous êtes niveau B2 en IELTS ? On vous explique.

Voici les équivalences généralement admises entre les scores IELTS et les niveaux CECRL :

Donc, si vous visez un niveau B2, vous devez atteindre au moins un score global de 5.5 à 6.0 à l’IELTS.

Mais dans la pratique, pour valider un vrai niveau B2 utile, il vaut mieux viser un score de 6.0 voire 6.5, pour avoir une marge de sécurité, notamment si :

Un 5.5 peut techniquement correspondre à un B2 “bas”, mais :

Et dans beaucoup de cas, vous verrez ceci dans les critères d’admission :

“Minimum IELTS 6.0 (no section below 5.5)”

Ce qui signifie :

Pour certaines écoles, le niveau B2+ est requis, ce qui correspond à un score IELTS de 6.5.

En résumé :

Objectif : bien situer ce que signifie “niveau B2 anglais” dans les autres certifications reconnues (TOEIC, TOEFL, Cambridge, Linguaskill), et comprendre les équivalences avec le score IELTS.

Le niveau B2 est une référence commune dans les certifications d’anglais, mais chaque test a son propre système de notation.

Le TOEIC (Test of English for International Communication) est très utilisé dans le monde professionnel, notamment en France.

Différences à noter :

Le TOEFL est un autre test académique très reconnu, surtout aux États-Unis et au Canada.

À noter :

Le Cambridge First Certificate in English (FCE) est directement conçu pour évaluer le niveau B2.

Ce test est :

Mais attention :

Le Linguaskill (proposé par Cambridge) est un test en ligne de plus en plus utilisé dans les écoles françaises.

Points à noter :

Synthèse des équivalences B2 :

Obtenir un niveau B2 en IELTS (généralement entre 5.5 et 6.5) est un objectif réaliste pour beaucoup de candidats. Mais cela suffit-il vraiment pour valider un projet d’études, décrocher un emploi, ou immigrer à l’étranger ?

Le niveau B2 est souvent le minimum requis pour accéder à :

Concrètement :

À noter :

Dans le cadre professionnel, le B2 est un seuil standard reconnu dans de nombreux secteurs :

Un score IELTS entre 6.0 et 6.5 permet généralement de :

Limite :

Pour certains projets d’immigration (Canada, Australie, Royaume-Uni), le niveau B2 peut être suffisant, mais ce n’est pas toujours le cas.

Exemples :

Important :

Conclusion pour l’immigration :

Un score IELTS entre 5.5 et 6.5 correspond au niveau B2 du CECRL, souvent suffisant pour des projets comme Erasmus, des études supérieures, ou une reconversion professionnelle.

Et vous, votre objectif, c’est un B2 solide ou plutôt viser plus haut ? Partagez votre projet en commentaire, je vous lirai avec attention.

Asma

Aide Test Anglais

Je vous aide à réussir votre test d’anglais en travaillant intelligemment et non durement

L’article [25/30] Que vaut un niveau B2 en anglais à l’IELTS est apparu en premier sur Anglais concret, préparation simplifiée.

Une fois inscrit à l’IELTS via votre espace candidat IELTS en ligne, la vraie préparation commence.

Le livre “200 sujets d’entraînement à l’écrit – Academic Module”, publié par les Éditions Ellipses, fait justement partie de ces ressources incontournables pour les candidats au IELTS Academic.

Dans cet article, je vous explique ce que contient ce livre, pour qui il est utile, et comment l’utiliser intelligemment pour booster vos résultats à l’écrit.

C’est parti pour une vraie session de travail utile, pas de bla-bla. pour ceux qui préfèrent le format vidéo, une version de ce contenu est dispo (: 

Le livre “IELTS – 200 sujets d’entraînement à l’écrit – Academic Module” publié par les Éditions Ellipses est un outil 100 % pratique pour s’entraîner à la partie Writing de l’IELTS Academic. Il est destiné à tous ceux qui veulent travailler sérieusement leur expression écrite, que ce soit pour :

Ce n’est pas un manuel théorique, mais un recueil de 200 sujets types inspirés de l’épreuve officielle. On y retrouve :

Le tout est présenté dans le format exact de l’IELTS, avec une consigne claire, sans traduction ni simplification.

Contrairement à beaucoup de ressources IELTS en anglais, cette édition publiée chez Ellipses s’adresse directement au public francophone. Les consignes restent en anglais (comme à l’examen), mais :

Ce qui en fait un excellent compromis entre un manuel d’entraînement pur et un support pédagogique accessible.

Ce livre est exclusivement dédié à la version Academic du test. Il ne convient pas aux candidats qui préparent la version General Training, pour une raison simple :

Donc :

Le livre « 200 sujets IELTS Academic » n’est pas un livre pour « découvrir » l’IELTS, ni un manuel pour débutants. C’est un outil d’entraînement ciblé, conçu pour les candidats qui ont déjà compris la structure de l’épreuve Writing et qui veulent monter en puissance.

Voici à qui ce livre sera vraiment utile

Pour les candidats au IELTS Academic (et uniquement cette version)

Ce livre est fait pour ceux qui préparent la version académique de l’IELTS, que ce soit :

Si vous passez l’IELTS General Training, ce livre n’est pas adapté, car la Task 1 est totalement différente (lettres au lieu de graphiques).

À partir du niveau B1+ / B2

Ce livre est recommandé pour les candidats qui ont déjà :

Il n’est pas nécessaire d’être C1 dès le départ, car le livre ne donne pas de réponses modèles complexes, mais il faut déjà savoir :

Pour ceux qui veulent s’entraîner sérieusement (mais sans se perdre)

Ce livre est idéal si vous :

Il convient parfaitement :

À éviter si…

Dans ces cas-là, il vaudra mieux commencer par un guide plus pédagogique, puis revenir à ce livre une fois la méthode assimilée.

Avoir des sujets d’IELTS sous les yeux, c’est bien.

L’un des meilleurs usages de ce livre, c’est de s’en servir pour faire des simulations d’examen. Pourquoi ? Parce que le jour J, vous aurez un temps limité, aucun dictionnaire, et aucune possibilité de refaire.

Voici comment procéder :

Cela vous permet de vous habituer au rythme réel de l’épreuve, à la pression du temps et à la structuration rapide des idées.

Le livre d’Ellipses ne propose pas de corrigés types, ce qui est normal pour un recueil de sujets.

Vous pouvez :

Ne vous contentez pas de lire des modèles. Analysez-les, puis relisez votre propre essai pour voir ce que vous auriez pu améliorer.

Avec 200 sujets, il ne s’agit pas d’en faire 5 par jour de manière aléatoire.

Cette régularité vous permet de gagner en aisance sans vous épuiser, et de maîtriser les consignes spécifiques à chaque type de sujet.

L’IELTS Task 2 n’est pas qu’un exercice de rédaction libre. Il existe des types de questions récurrents, chacun nécessitant une organisation spécifique :

Le livre vous permet de repérer ces types et de vous entraîner à adapter vos introductions, plans, connecteurs et conclusions en fonction de chaque format.

Ce livre est simple, direct, et sans superflu. C’est justement ce qui fait sa force… mais aussi ses limites si on l’utilise mal.

Voici les points à connaître pour savoir si ce support est fait pour vous.

C’est un excellent outil pour pratiquer, renforcer, et diversifier vos entraînements, mais il doit être combiné à des modèles de réponses, une bonne méthodologie, ou un accompagnement si possible.

Non, pas du tout. Même 15 à 20 sujets bien travaillés suffisent à progresser. L’objectif, ce n’est pas de tous les faire, mais d’en faire régulièrement et intelligemment.

Pas si vous vous entraînez en conditions réelles. Si vous êtes encore en phase d’apprentissage, pourquoi pas, mais le jour J, aucun dictionnaire n’est autorisé.

Non, pas à lui seul. Il vous faut aussi :

La version papier ne laisse pas forcément beaucoup d’espace. Le mieux est d’utiliser :

Le livre « 200 IELTS Academic » des Éditions Ellipses est un outil pratique et efficace pour s’entraîner à la rédaction IELTS sans tourner en rond.

En l’utilisant de façon régulière, stratégique, et combiné à des modèles fiables, vous gagnerez en clarté, en confiance, et en fluidité dans vos écrits. C’est un excellent complément à toute préparation sérieuse.

Et vous, avez-vous déjà testé ce livre ? Vous l’avez trouvé utile, difficile, motivant ? Dites-le-moi en commentaire, je vous lis et je vous réponds avec plaisir.

Asma

Aide Test Anglais

L’article [24/30] Le livre 200 IELTS Academic peut tout changer (si vous l’utilisez bien) est apparu en premier sur Anglais concret, préparation simplifiée.

Hier, je vous ai expliqué comment fonctionne le score IELTS et quel niveau viser selon vos objectifs (études, Erasmus, immigration…).

Aujourd’hui, on passe à la logistique essentielle : votre espace candidat IELTS. C’est là que tout se joue, du moment où vous vous inscrivez jusqu’à la réception de vos résultats.

Dans cet article, je vous guide pas à pas pour créer, utiliser et bien gérer votre espace candidat, que vous passiez par le British Council ou IDP IELTS.

Et si vous voulez un tuto complet en vidéo, voici ma vidéo dédiée à l’espace candidat IELTS :

Si vous passez l’IELTS prochainement, vous allez forcément devoir créer ou utiliser votre espace candidat IELTS. C’est là que tout se passe : inscription, convocation, résultats… Pourtant, beaucoup de candidats s’y perdent ou ne savent pas à quoi s’attendre.

Voici un guide simple et complet pour vous aider à gérer votre espace candidat IELTS de A à Z, que vous passiez par le British Council, IDP ou Cambridge.

Avant d’accéder à votre espace candidat, vous devez savoir avec qui vous passez l’examen. Il existe trois partenaires officiels de l’IELTS :

Selon l’organisme choisi, vous n’utiliserez pas le même espace candidat. Voici les plateformes :

Vous recevrez un lien de connexion vers votre espace candidat par e-mail juste après votre inscription.

Que vous passiez par IDP ou le British Council, il faut d’abord créer un compte IELTS :

Une fois inscrit, vous aurez accès à votre espace candidat personnalisé.

Depuis l’espace candidat, vous pouvez ensuite choisir une date et un lieu d’examen :

Une fois la réservation validée, vous recevez une confirmation + convocation dans votre espace candidat.

Votre espace candidat vous permet de consulter plusieurs documents utiles :

Certains centres permettent aussi de télécharger une copie PDF de vos résultats directement depuis l’espace.

Une fois votre test passé, vous serez averti par e-mail quand les résultats seront disponibles. Vous devrez alors :

Attention : ce document est parfois disponible en ligne uniquement pour consultation. Pour les candidatures officielles, vous devrez demander un envoi papier depuis la plateforme.

Votre espace candidat vous permet également de :

Vérifiez toujours les conditions d’annulation/modification sur le site officiel de votre centre (British Council ou IDP).

Votre espace candidat IELTS, c’est votre tableau de bord pour toute la durée de votre préparation et jusqu’aux résultats :

Votre espace candidat IELTS est votre point de départ et votre centre de contrôle. Prenez le temps de bien le configurer, suivez vos résultats, et gardez tout à jour jusqu’au jour J.

Et vous, avez-vous déjà créé votre espace candidat ? Tout s’est bien passé ou vous avez galéré un peu ? Dites-le-moi en commentaire, je vous répondrai !

Asma

Aide Test Anglais

L’article [23/30] Votre espace candidat à l’IELTS est apparu en premier sur Anglais concret, préparation simplifiée.

Avant de vouloir améliorer son score IELTS, encore faut-il comprendre comment il est calculé et quel niveau viser selon son projet.

Dans mon article précédent sur les sites pour faire un examen blanc IELTS, je vous ai partagé les meilleures plateformes pour vous entraîner sérieusement.

Aujourd’hui, je vous explique tout ce que vous devez savoir sur le score IELTS : le système de notation, les niveaux CECRL, et les scores à viser pour Erasmus, l’immigration ou le monde pro.

Et si vous voulez une explication claire en vidéo, comprendre et booster votre score IELTS :

Comment est calculé le score IELTS ?

Avant de chercher à améliorer votre score, encore faut-il comprendre comment il est construit. Beaucoup de candidats visent un “bon score”, sans savoir ce que cela signifie réellement. Voici ce que vous devez absolument retenir :

Le système de notation : les band scores

Le score global (Overall Band Score)

Chaque compétence compte à parts égales

Le score IELTS est noté sur une échelle de 0 à 9, tandis que le système CECRL (A2, B1, B2, C1, C2) est celui qu’on retrouve dans les universités européennes, les candidatures Erasmus, ou les offres d’emploi. Pour s’y retrouver, il existe des équivalences couramment admises entre ces deux systèmes.

En résumé :

Certaines universités ou organismes demandent un score global, d’autres exigent aussi des minimums par compétence (ex. : 6.0 minimum en Writing). D’où l’importance de travailler toutes les sections du test, pas seulement celle où vous êtes le plus à l’aise.

Comprendre cette correspondance vous aide à fixer un objectif de score adapté à votre projet — que ce soit pour des études, un départ Erasmus ou une reconversion pro.

Pas besoin de viser un 9.0 pour tous les projets. Ce qui compte, c’est le score adapté à votre objectif. Voici un résumé par situation :

Pour savoir si votre score IELTS est suffisant, il faut le comparer au cadre CECRL (A2, B1, B2, C1, C2), qui est le système utilisé dans :

Voici les correspondances couramment admises entre les deux systèmes :

Band score 4.0 – 4.5 → Niveau B1

Band score 5.0 – 6.0 → Niveau B2

Band score 6.5 – 7.5 → Niveau C1

 Band score 8.0 – 9.0 → Niveau C2

Ce qu’il faut retenir

Comprendre comment fonctionne le score IELTS, à quoi il correspond en termes de niveau CECRL, et quel score viser selon votre projet, c’est la base d’une préparation efficace.

Pas besoin d’avoir un niveau parfait : ce qui compte, c’est d’atteindre le bon score pour le bon objectif, que ce soit Erasmus, une inscription universitaire, une reconversion ou un projet d’immigration.

Et surtout, n’oubliez pas : toutes les compétences comptent. C’est souvent une seule section négligée qui fait chuter le score global. Alors entraînez-vous intelligemment, testez-vous régulièrement, et ajustez votre stratégie en fonction des résultats.

Si vous voulez gagner du temps, pensez à télécharger mon kit de démarrage IELTS gratuit, avec un plan de révision clair, des conseils concrets et des ressources utiles pour chaque épreuve.

Et vous, quel score IELTS visez-vous ? Pour quel projet ? Dites-le-moi en commentaire, je vous lirai et je vous répondrai avec plaisir !

Asma

Aide Test Anglais

Je vous aide à réussir votre test d’anglais en travaillant intelligemment et non durement

L’article [22/30] Comprendre votre score IELTS pour réussir votre test d’anglais est apparu en premier sur Anglais concret, préparation simplifiée.