Je trouve ce passage particulièrement inspirant depuis de nombreuses années. Car à partir de ce chapitre, nous découvrons à quel point l’œuvre de Dieu est quelque chose de collectif. Cela ne relève pas de la sagesse, ni des dons d’un seul, ou de quelques-uns seulement : c’est tout le peuple qui est appelé à contribuer à la reconstruction de la muraille. Néhémie va agir comme un chef d’orchestre afin que, tous ensemble, nous puissions « jouer » la symphonie que Dieu a écrite. (...)