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Vous avez besoin de passer le TOEIC en urgence ? Entre les cours, le boulot, le stage, les enfants (ou tout ça à la fois), impossible de passer vos journées à bachoter… et pourtant, la deadline approche !
Dans cet article, je vous partage un plan d’action concret pour optimiser votre préparation en seulement 30 minutes par jour, sans stress, sans surcharge mentale, mais avec des résultats réels. Parce que oui, c’est possible de booster son score rapidement… à condition de bien s’y prendre.
Aussi, si vous voulez gagner encore plus de temps, voici ma vidéo YouTube pour tout comprendre sur comment passer le TOEIC en urgence en vidéo :
Quand on cherche à passer le TOEIC en urgence, chaque minute compte. Et la clé, c’est de ne pas se jeter directement dans des exercices complexes sans préparation. Comme pour une séance de sport, il faut un échauffement léger mais efficace pour mettre votre cerveau dans le bon état d’esprit.
Parce que le TOEIC, c’est avant tout une question de réflexes. Plus vous habituez votre oreille et vos yeux aux types d’exercices qu’on retrouve dans le test, plus vous serez rapide et efficace le jour J.
Pas besoin d’y passer des heures. Le but est simple : se mettre en condition sans pression, juste pour habituer votre cerveau au format TOEIC.
Voici les trois options possibles : choisissez-en une seule par soir, selon ce qui vous tente le plus (et votre niveau d’énergie).
Prenez une série de questions de la Partie 1 du TOEIC :
Pourquoi c’est utile :
Écoutez 10 questions de la Partie 2 :
Pourquoi c’est intéressant :
Sélectionnez un dialogue ou une annonce de la Partie 3 ou 4 :
Pourquoi choisir cette option :
Pas besoin de livres compliqués ou de gros packs de préparation. Pour cet échauffement rapide, les applications comme Lingoland TOEIC ou les sites spécialisés dans les exercices TOEIC sont largement suffisants. Vous pouvez aussi utiliser des playlists de questions sur YouTube si vous préférez un format plus ludique.
L’idée n’est pas d’être parfait pendant cet échauffement. Ne cherchez pas à tout comprendre ou à avoir 100 % de bonnes réponses. Le but est juste de réveiller votre cerveau, de l’habituer au format du test, et de lancer la machine.
Astuce bonus : faites toujours cet échauffement au même moment de la journée (par exemple juste après le dîner ou en rentrant du travail). Votre cerveau va peu à peu associer ce moment à votre « mode TOEIC », et vous gagnerez naturellement en concentration.
Après votre petit échauffement de 5 minutes, votre cerveau est enfin en « mode TOEIC ». Maintenant, on attaque le cœur de votre sprint du soir : l’entraînement ciblé.
Si vous êtes dans l’optique de passer le TOEIC en urgence, c’est précisément à cette étape que vous allez faire la différence. Parce qu’on ne va pas perdre du temps à tout revoir de façon générale : l’idée, c’est de concentrer votre énergie là où ça rapporte vraiment des points, et surtout, d’adapter votre séance selon votre état de fatigue et vos priorités du moment.
Quand on a une échéance proche, l’erreur classique, c’est de vouloir « tout faire » : listening, reading, grammaire, vocabulaire, tout en même temps. Résultat ? Vous vous éparpillez, vous vous épuisez… et vous progressez peu.
La bonne stratégie, surtout si vous bossez en parallèle (stage, alternance, reconversion, job à temps plein), c’est de choisir un seul focus par jour. C’est bien plus rentable :
15 minutes, c’est court… mais si vous êtes régulier, c’est énorme. Une séance bien pensée vaut mieux que deux heures dans le flou.
Si ce soir vous avez l’énergie de rester bien concentré(e) sur les détails, c’est le moment idéal pour travailler la Partie 5 (phrases à trous) et la Partie 6 (textes à trous).
Exemples de points clés à maîtriser dans ces parties :
Petit conseil malin : si vous ne comprenez pas pourquoi vous avez fait une erreur, notez-la pour y revenir pendant votre débrief (on en reparle dans le Point 3). Pas besoin de bloquer 10 minutes sur une seule phrase : avancez !
Si vous sentez que ce soir vous êtes un peu plus fatigué(e), ou si vous préférez travailler la compréhension écrite, visez la Partie 7A : les textes courts avec questions.
Choisissez 4 à 5 exercices, soit environ 15 questions maximum.
Astuce chrono : donnez-vous environ 15 minutes pour ces exercices, même si vous avez l’impression de pouvoir faire plus. Ce n’est pas la quantité qui compte ici, c’est la régularité et la capacité à gagner en vitesse sans sacrifier la précision.
Si ce soir vous avez encore un peu de jus et envie de vous challenger davantage, passez à la Partie 7B : les textes plus longs (emails, annonces, articles…).
Choisissez 3 passages, soit environ 5 questions par passage, pour rester dans les 15 minutes.
Pourquoi c’est une bonne idée, surtout si vous voulez passer le TOEIC en urgence ? Parce que la Partie 7B est souvent là où les candidats perdent le plus de points par manque de stratégie : ils lisent trop lentement, ou trop vite sans comprendre.
Conseil : ne sautez pas les titres, les dates, les chiffres dans les documents TOEIC. Ces éléments sont souvent la clé des bonnes réponses dans la Partie 7.
Pas besoin d’hésiter pendant des heures. Posez-vous simplement cette question :
Et si vous avez un doute, alternez un soir sur deux entre grammaire et lecture. Cela permet de travailler à la fois le reading et les structures de phrases, sans routine ennuyeuse.
Le TOEIC, c’est aussi une question de gestion du temps. Même si vous n’êtes pas « en mode examen » chaque soir, habituez-vous à :
Pourquoi c’est essentiel si vous voulez passer le TOEIC en urgence ?
Vous avez fait votre échauffement , votre entraînement ciblé , et vous êtes tenté(e) de fermer votre appli ou de ranger votre cahier ? Erreur stratégique ! Si vous voulez passer le TOEIC en urgence avec un maximum d’efficacité, il y a une étape que vous ne devez surtout pas négliger : le débrief express de votre séance.
C’est peut-être l’étape la plus rentable de tout votre sprint TOEIC. Pourquoi ? Parce que le test TOEIC repose sur des pièges récurrents. Ce sont souvent les mêmes erreurs qui vous coûtent des points. Plus vous les comprenez, plus vous les anticipez… et plus votre score grimpe rapidement.
C’est un peu comme dans les jeux vidéo : si vous savez où sont les obstacles, vous avancez beaucoup plus vite au niveau suivant.
Parce que sans débrief, vous allez sans doute refaire les mêmes erreurs demain.
Si vous cherchez à passer le TOEIC en urgence, vous n’avez pas le temps de tourner en rond. Le débrief vous permet d’avancer droit au but, sans gaspiller votre énergie.
Après votre entraînement, identifiez les erreurs :
Exemple :
Même si cela vous semble évident, écrire vos erreurs noir sur blanc aide votre cerveau à mieux les intégrer.
L’erreur la plus fréquente chez les candidats qui préparent le TOEIC dans l’urgence, c’est de juste noter : « J’ai eu faux à la question 6 ». Mais pourquoi ? C’est ça qui compte.
Posez-vous les bonnes questions :
C’est là que se fait la vraie progression : en identifiant la cause de l’erreur, vous évitez qu’elle se reproduise.
Dernière étape de votre débrief : pour chaque erreur, écrivez la règle clé, l’astuce ou le mot de vocabulaire à mémoriser.
Par exemple :
Vous pouvez faire ça sur :
Astuce mémorisation rapide : relisez votre fiche d’erreurs 2 ou 3 fois par semaine. Cela prend 5 minutes, mais cela maximise votre rétention… et votre score.
Vous vous demandez peut-être : « Est-ce que ça vaut vraiment le coup de passer 10 minutes là-dessus si je suis pressé(e) ? ».
Sans débrief, vous risquez de refaire les mêmes fautes chaque soir.
C’est exactement ce qui permet à mes élèves de progresser vite, même quand ils n’ont qu’un mois ou quelques semaines pour préparer le test. Ils ne travaillent pas plus, mais ils travaillent plus intelligemment.
Rappelez-vous : le TOEIC n’est pas un test où il faut tout savoir. C’est un test où il faut connaître les pièges, les habitudes du test, et savoir les contourner.
Si certaines erreurs reviennent souvent et que vous ne comprenez pas pourquoi, ne restez pas bloqué(e). J’ai publié plusieurs vidéos sur ces points précis (ex : les erreurs classiques en grammaire TOEIC, les pièges de la compréhension orale…).
Parfait ! Merci beaucoup pour la précision, c’est hyper important de bien repositionner la méthode comme une solution de dernier recours (mode urgence), tout en rappelant que vous privilégiez normalement une préparation progressive et approfondie pour maximiser la rétention sur le long terme.
Si vous avez lu jusqu’ici, vous l’avez compris : cette méthode de Sprint TOEIC du soir en 40 minutes n’est pas une recette miracle ni un hack magique pour obtenir 900 points sans effort.
Mais soyons honnêtes jusqu’au bout :
Ce qui fonctionne le mieux, et de loin, c’est une préparation anticipée, progressive et régulière. C’est comme ça que vous allez vraiment :
D’ailleurs, j’ai publié beaucoup d’articles sur ce site pour vous accompagner dans cette démarche de fond, avec des stratégies pour organiser vos révisions efficacement, travailler votre compréhension orale, enrichir votre vocabulaire, etc.
Mon vrai conseil : ne misez pas tout sur le dernier mois avant l’examen. Préparer le TOEIC, c’est comme se préparer pour un marathon : plus vous commencez tôt, plus la course sera facile.
Si vous avez seulement quelques semaines (ou même quelques jours) devant vous.
Et si vous voulez maximiser vos chances de réussite, même dans l’urgence, je vous invite à consulter mes autres ressources pour éviter les pièges classiques du TOEIC et booster votre score sans perdre de temps inutilement.
Et vous, que pensez-vous de ma méthode sprint TOEIC du soir ? Avez-vous déjà testé ce genre de stratégie en mode « dernier recours » ?
Asma
Aide test anglais
Je vous aide à optimiser votre score TOEIC ® en travaillant intelligemment et non durement
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L’article ▷ Passer le TOEIC en urgence : ma méthode en 30 min. / jr est apparu en premier sur Anglais concret, préparation simplifiée.
Vous avez besoin de passer le TOEIC en urgence ? Entre les cours, le boulot, le stage, les enfants (ou tout ça à la fois), impossible de passer vos journées à bachoter… et pourtant, la deadline approche !
Dans cet article, je vous partage un plan d’action concret pour optimiser votre préparation en seulement 30 minutes par jour, sans stress, sans surcharge mentale, mais avec des résultats réels. Parce que oui, c’est possible de booster son score rapidement… à condition de bien s’y prendre.
Aussi, si vous voulez gagner encore plus de temps, voici ma vidéo YouTube pour tout comprendre sur comment passer le TOEIC en urgence en vidéo :
Quand on cherche à passer le TOEIC en urgence, chaque minute compte. Et la clé, c’est de ne pas se jeter directement dans des exercices complexes sans préparation. Comme pour une séance de sport, il faut un échauffement léger mais efficace pour mettre votre cerveau dans le bon état d’esprit.
Parce que le TOEIC, c’est avant tout une question de réflexes. Plus vous habituez votre oreille et vos yeux aux types d’exercices qu’on retrouve dans le test, plus vous serez rapide et efficace le jour J.
Pas besoin d’y passer des heures. Le but est simple : se mettre en condition sans pression, juste pour habituer votre cerveau au format TOEIC.
Voici les trois options possibles : choisissez-en une seule par soir, selon ce qui vous tente le plus (et votre niveau d’énergie).
Prenez une série de questions de la Partie 1 du TOEIC :
Pourquoi c’est utile :
Écoutez 10 questions de la Partie 2 :
Pourquoi c’est intéressant :
Sélectionnez un dialogue ou une annonce de la Partie 3 ou 4 :
Pourquoi choisir cette option :
Pas besoin de livres compliqués ou de gros packs de préparation. Pour cet échauffement rapide, les applications comme Lingoland TOEIC ou les sites spécialisés dans les exercices TOEIC sont largement suffisants. Vous pouvez aussi utiliser des playlists de questions sur YouTube si vous préférez un format plus ludique.
L’idée n’est pas d’être parfait pendant cet échauffement. Ne cherchez pas à tout comprendre ou à avoir 100 % de bonnes réponses. Le but est juste de réveiller votre cerveau, de l’habituer au format du test, et de lancer la machine.
Astuce bonus : faites toujours cet échauffement au même moment de la journée (par exemple juste après le dîner ou en rentrant du travail). Votre cerveau va peu à peu associer ce moment à votre « mode TOEIC », et vous gagnerez naturellement en concentration.
Après votre petit échauffement de 5 minutes, votre cerveau est enfin en « mode TOEIC ». Maintenant, on attaque le cœur de votre sprint du soir : l’entraînement ciblé.
Si vous êtes dans l’optique de passer le TOEIC en urgence, c’est précisément à cette étape que vous allez faire la différence. Parce qu’on ne va pas perdre du temps à tout revoir de façon générale : l’idée, c’est de concentrer votre énergie là où ça rapporte vraiment des points, et surtout, d’adapter votre séance selon votre état de fatigue et vos priorités du moment.
Quand on a une échéance proche, l’erreur classique, c’est de vouloir « tout faire » : listening, reading, grammaire, vocabulaire, tout en même temps. Résultat ? Vous vous éparpillez, vous vous épuisez… et vous progressez peu.
La bonne stratégie, surtout si vous bossez en parallèle (stage, alternance, reconversion, job à temps plein), c’est de choisir un seul focus par jour. C’est bien plus rentable :
15 minutes, c’est court… mais si vous êtes régulier, c’est énorme. Une séance bien pensée vaut mieux que deux heures dans le flou.
Si ce soir vous avez l’énergie de rester bien concentré(e) sur les détails, c’est le moment idéal pour travailler la Partie 5 (phrases à trous) et la Partie 6 (textes à trous).
Exemples de points clés à maîtriser dans ces parties :
Petit conseil malin : si vous ne comprenez pas pourquoi vous avez fait une erreur, notez-la pour y revenir pendant votre débrief (on en reparle dans le Point 3). Pas besoin de bloquer 10 minutes sur une seule phrase : avancez !
Si vous sentez que ce soir vous êtes un peu plus fatigué(e), ou si vous préférez travailler la compréhension écrite, visez la Partie 7A : les textes courts avec questions.
Choisissez 4 à 5 exercices, soit environ 15 questions maximum.
Astuce chrono : donnez-vous environ 15 minutes pour ces exercices, même si vous avez l’impression de pouvoir faire plus. Ce n’est pas la quantité qui compte ici, c’est la régularité et la capacité à gagner en vitesse sans sacrifier la précision.
Si ce soir vous avez encore un peu de jus et envie de vous challenger davantage, passez à la Partie 7B : les textes plus longs (emails, annonces, articles…).
Choisissez 3 passages, soit environ 5 questions par passage, pour rester dans les 15 minutes.
Pourquoi c’est une bonne idée, surtout si vous voulez passer le TOEIC en urgence ? Parce que la Partie 7B est souvent là où les candidats perdent le plus de points par manque de stratégie : ils lisent trop lentement, ou trop vite sans comprendre.
Conseil : ne sautez pas les titres, les dates, les chiffres dans les documents TOEIC. Ces éléments sont souvent la clé des bonnes réponses dans la Partie 7.
Pas besoin d’hésiter pendant des heures. Posez-vous simplement cette question :
Et si vous avez un doute, alternez un soir sur deux entre grammaire et lecture. Cela permet de travailler à la fois le reading et les structures de phrases, sans routine ennuyeuse.
Le TOEIC, c’est aussi une question de gestion du temps. Même si vous n’êtes pas « en mode examen » chaque soir, habituez-vous à :
Pourquoi c’est essentiel si vous voulez passer le TOEIC en urgence ?
Vous avez fait votre échauffement , votre entraînement ciblé , et vous êtes tenté(e) de fermer votre appli ou de ranger votre cahier ? Erreur stratégique ! Si vous voulez passer le TOEIC en urgence avec un maximum d’efficacité, il y a une étape que vous ne devez surtout pas négliger : le débrief express de votre séance.
C’est peut-être l’étape la plus rentable de tout votre sprint TOEIC. Pourquoi ? Parce que le test TOEIC repose sur des pièges récurrents. Ce sont souvent les mêmes erreurs qui vous coûtent des points. Plus vous les comprenez, plus vous les anticipez… et plus votre score grimpe rapidement.
C’est un peu comme dans les jeux vidéo : si vous savez où sont les obstacles, vous avancez beaucoup plus vite au niveau suivant.
Parce que sans débrief, vous allez sans doute refaire les mêmes erreurs demain.
Si vous cherchez à passer le TOEIC en urgence, vous n’avez pas le temps de tourner en rond. Le débrief vous permet d’avancer droit au but, sans gaspiller votre énergie.
Après votre entraînement, identifiez les erreurs :
Exemple :
Même si cela vous semble évident, écrire vos erreurs noir sur blanc aide votre cerveau à mieux les intégrer.
L’erreur la plus fréquente chez les candidats qui préparent le TOEIC dans l’urgence, c’est de juste noter : « J’ai eu faux à la question 6 ». Mais pourquoi ? C’est ça qui compte.
Posez-vous les bonnes questions :
C’est là que se fait la vraie progression : en identifiant la cause de l’erreur, vous évitez qu’elle se reproduise.
Dernière étape de votre débrief : pour chaque erreur, écrivez la règle clé, l’astuce ou le mot de vocabulaire à mémoriser.
Par exemple :
Vous pouvez faire ça sur :
Astuce mémorisation rapide : relisez votre fiche d’erreurs 2 ou 3 fois par semaine. Cela prend 5 minutes, mais cela maximise votre rétention… et votre score.
Vous vous demandez peut-être : « Est-ce que ça vaut vraiment le coup de passer 10 minutes là-dessus si je suis pressé(e) ? ».
Sans débrief, vous risquez de refaire les mêmes fautes chaque soir.
C’est exactement ce qui permet à mes élèves de progresser vite, même quand ils n’ont qu’un mois ou quelques semaines pour préparer le test. Ils ne travaillent pas plus, mais ils travaillent plus intelligemment.
Rappelez-vous : le TOEIC n’est pas un test où il faut tout savoir. C’est un test où il faut connaître les pièges, les habitudes du test, et savoir les contourner.
Si certaines erreurs reviennent souvent et que vous ne comprenez pas pourquoi, ne restez pas bloqué(e). J’ai publié plusieurs vidéos sur ces points précis (ex : les erreurs classiques en grammaire TOEIC, les pièges de la compréhension orale…).
Parfait ! Merci beaucoup pour la précision, c’est hyper important de bien repositionner la méthode comme une solution de dernier recours (mode urgence), tout en rappelant que vous privilégiez normalement une préparation progressive et approfondie pour maximiser la rétention sur le long terme.
Si vous avez lu jusqu’ici, vous l’avez compris : cette méthode de Sprint TOEIC du soir en 40 minutes n’est pas une recette miracle ni un hack magique pour obtenir 900 points sans effort.
Mais soyons honnêtes jusqu’au bout :
Ce qui fonctionne le mieux, et de loin, c’est une préparation anticipée, progressive et régulière. C’est comme ça que vous allez vraiment :
D’ailleurs, j’ai publié beaucoup d’articles sur ce site pour vous accompagner dans cette démarche de fond, avec des stratégies pour organiser vos révisions efficacement, travailler votre compréhension orale, enrichir votre vocabulaire, etc.
Mon vrai conseil : ne misez pas tout sur le dernier mois avant l’examen. Préparer le TOEIC, c’est comme se préparer pour un marathon : plus vous commencez tôt, plus la course sera facile.
Si vous avez seulement quelques semaines (ou même quelques jours) devant vous.
Et si vous voulez maximiser vos chances de réussite, même dans l’urgence, je vous invite à consulter mes autres ressources pour éviter les pièges classiques du TOEIC et booster votre score sans perdre de temps inutilement.
Et vous, que pensez-vous de ma méthode sprint TOEIC du soir ? Avez-vous déjà testé ce genre de stratégie en mode « dernier recours » ?
Asma
Aide test anglais
Je vous aide à optimiser votre score TOEIC ® en travaillant intelligemment et non durement
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