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Or


Dans l’industrie pharmaceutique, les déviations s’accumulent souvent jusqu’à devenir un véritable tsunami.
Arnaud Huc de l'Académie de la qualité efficace (https://ac-qualite-efficace.com/) propose une image simple et percutante : gérer ses déviations, c’est comme piloter un barrage.
En amont, les “entrées d’eau” représentent les déviations ouvertes chaque jour ; en aval, les équipes qualité sont les vannes qui permettent d’évacuer le flux.
Entre les deux, le niveau du lac — l’encours — révèle l’état de santé du système.
Si le niveau monte, c’est que les déviations entrent plus vite qu’elles ne sortent.
Attendre, c’est risquer la rupture : retards, stress, perte de crédibilité et blocage des libérations de lots.
La clé réside donc dans une mesure continue de cet encours et dans la connaissance réelle de la capacité de traitement.
Tant que l’on ignore combien de déviations une équipe peut clôturer par semaine, on navigue à vue.
Mais piloter, ce n’est pas seulement mesurer. C’est agir en temps réel : activer des ressources “backup” quand le niveau monte, animer des points quotidiens où chaque action est datée et visible, refuser les “c’est en cours” flous.
Le management visuel devient alors un outil de prévention : un tableau affiché vaut mieux qu’un fichier oublié.
Comme un barrage bien géré, un système qualité stable repose sur trois piliers : anticiper, visualiser et ajuster.
Car une déviation maîtrisée à temps, c’est une inondation évitée !
By Académie Qualité EfficaceDans l’industrie pharmaceutique, les déviations s’accumulent souvent jusqu’à devenir un véritable tsunami.
Arnaud Huc de l'Académie de la qualité efficace (https://ac-qualite-efficace.com/) propose une image simple et percutante : gérer ses déviations, c’est comme piloter un barrage.
En amont, les “entrées d’eau” représentent les déviations ouvertes chaque jour ; en aval, les équipes qualité sont les vannes qui permettent d’évacuer le flux.
Entre les deux, le niveau du lac — l’encours — révèle l’état de santé du système.
Si le niveau monte, c’est que les déviations entrent plus vite qu’elles ne sortent.
Attendre, c’est risquer la rupture : retards, stress, perte de crédibilité et blocage des libérations de lots.
La clé réside donc dans une mesure continue de cet encours et dans la connaissance réelle de la capacité de traitement.
Tant que l’on ignore combien de déviations une équipe peut clôturer par semaine, on navigue à vue.
Mais piloter, ce n’est pas seulement mesurer. C’est agir en temps réel : activer des ressources “backup” quand le niveau monte, animer des points quotidiens où chaque action est datée et visible, refuser les “c’est en cours” flous.
Le management visuel devient alors un outil de prévention : un tableau affiché vaut mieux qu’un fichier oublié.
Comme un barrage bien géré, un système qualité stable repose sur trois piliers : anticiper, visualiser et ajuster.
Car une déviation maîtrisée à temps, c’est une inondation évitée !