Malgré la mort d'Urbain Grandier, la France n'a pas fini d'entendre parler des démons de Loudun. L'affaire se révèle tellement rentable que les possessions continuent et que soeur Jeanne des Anges est célébrée comme sainte à travers tout le royaume. Une incroyable supercherie qu'il aurait fallu inventer si elle n'avait pas réellement existé ! L'Histoire nous surprendra toujours.

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Mais enfin, que se passe-t-il donc chez les Ursulines de Loudun, victimes de contorsions épouvantables et indécentes ? Lorsque soeur Jeanne des Anges accuse le prêtre Urbain Grandier d'être à l'origine de cette possession diabolique, la conspiration se met en marche, aboutissant à l'inévitable drame. Découvrez les soubresauts de cette affaire surréaliste impliquant directement le cardinal de Richelieu, puissant ministre de Louis XIII.

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La célèbre affaire des démons de Loudun a fait couler beaucoup d'encre. Pour comprendre cette histoire rocambolesque de possession qui se déroule dans les années 1630, il faut démêler les fils qui tissent la toile de l'une des plus grandes supercheries de l'Histoire ! Laissez-moi d'abord planter le décor et vous présenter les protagonistes, notamment Urbain Grandier, prêtre catholique un peu trop séduisant et charismatique, ainsi que Soeur Jeanne des Anges, caractérielle religieuse Ursuline prête à tout pour sortir du lot.

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Égéries de la fête impériale qui bat son plein sous le Second Empire, quelques femmes tiennent le haut du pavé. Elles sont l'âme des divertissements féériques recherchés par la bonne société française et étrangère. Grâce, goût, charme, piquant, effronterie... J'ai choisi trois de ces grandes dames créatrices des plaisirs et des élégances : l'impératrice Eugénie, la princesse Pauline de Metternich et la comtesse Marie-Anne Waleska ! 11 février 1861 : pour son grand bal hivernal inaugurant les nouveaux appartements du ministère des Beaux-Arts, la divine comtesse Walewska éblouit tous les convives.

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Égéries de la fête impériale qui bat son plein sous le Second Empire, quelques femmes tiennent le haut du pavé. Elles sont l'âme des divertissements féériques recherchés par la bonne société française et étrangère. Grâce, goût, charme, piquant, effronterie... J'ai choisi trois de ces grandes dames créatrices des plaisirs et des élégances : l'impératrice Eugénie, la princesse Pauline de Metternich et la comtesse Marie-Anne Walewska ! Irrésistible et entreprenante, Marie-Anne réussit le tour de force d'être à la fois la maîtresse de Napoélon Ier et la grande amie de l'impératrice Eugénie. Amatrice de peinture et de musique, elle excelle dans son rôle d''épouse du ministre des Beaux-Arts.

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Égéries de la fête impériale qui bat son plein sous le Second Empire, quelques femmes tiennent le haut du pavé. Elles sont l'âme des divertissements féériques recherchés par la bonne société française et étrangère. Grâce, goût, charme, piquant, effronterie... J'ai choisi trois de ces grandes dames créatrices des plaisirs et des élégances : l'impératrice Eugénie, la princesse Pauline de Metternich et la comtesse Marie-Anne Waleska ! Mariée à un fils adultérin de Napoléon Ier, la comtesse Marie-Anne Walewska hypnotise tout de suite les cercles mondains par son extrême sociabilité et sa grande beauté. Parfait pendant féminin de son époux, elle excelle dans son rôle d'épouse de diplomate, d'abord à Londres... puis à Paris.

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Égéries de la fête impériale qui bat son plein sous le Second Empire, quelques femmes tiennent le haut du pavé. Elles sont l'âme des divertissements féériques recherchés par la bonne société française et étrangère. Grâce, goût, charme, piquant, effronterie... J'ai choisi trois de ces grandes dames créatrices des plaisirs et des élégances : l'impératrice Eugénie, la princesse Pauline de Metternich et la comtesse Marie-Anne Waleska ! À l'occasion de l'Exposition universelle de 1867, l'une des plus glorieuses de l'histoire parisienne, la princesse Pauline de Metternich surpasse les autres festivités par une soirée mémorable, d'une créativité folle : décors de lustres et de fleurs, glaces teintées ouvrant sur un jardin illuminé de lampions colorant l'eau d'une fausse cascade rocheuse... Les convives repartent des étoiles plein les yeux !

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Égéries de la fête impériale qui bat son plein sous le Second Empire, quelques femmes tiennent le haut du pavé. Elles sont l'âme des divertissements féériques recherchés par la bonne société française et étrangère. Grâce, goût, charme, piquant, effronterie... J'ai choisi trois de ces grandes dames créatrices des plaisirs et des élégances : l'impératrice Eugénie, la princesse Pauline de Metternich et la comtesse Marie-Anne Waleska ! Reine du jeu lors des bals costumés organisés pendant la période de carnaval, Eugénie de Montijo captive tous les regards et, hôtesse parfaite, incarne comme nulle autre souveraine la réussite politique par l'art de la fête.

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Bois précieux et cuir, marqueteries de pâte de verre et incrustations de poudre d’argent signées Lalique... Les décors Art Déco fabuleux, l'exotisme du voyage et l'ambiance irréelle qui règne dans l'Orient-Express pousse toutes les grandes personnalités de l'époque à tenter le voyage, entre périls et plaisirs, de Joséphine Baker à Agatha Christie. La célèbre romancière s'inspire d'ailleurs d'un évènement extraordinaire survenu en 1929 pour écrire Le Crime de l'Orient-Express : cette année-là, le train légendaire reste bloqué dans les glaces pendant 12 jours ! Devenu un symbole de l'excellence et de la liberté française, l'Orient-Express est fortement menacé par les deux guerres mondiales et apparaît comme un pont malvenu vers l'Occident pendant la Guerre Froide. Les wagons d'origine disparaissent mystérieusement jusqu'à renaître de leurs cendres au XXIe siècle !

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