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Texte intégral de l'audio :
- Mon amoureux est à l’autre bout du fil et il veut m’entendre gémir pendant que tu me baises.Il aime quand je me fais baiser par des inconnus. Mais on fait tout à 2, même à distance. Ca te gêne ?

Je vois une lueur d’étonnement traverser ses yeux. Puis, un sourire s’étire sur ses lèvres épaisses. Il ne dit rien, ne pose aucune question. Au lieu de ça, il m’attrape fermement par le bras, me retourne sans ménagement et me plaque contre la table de la salle à manger.

Je me cambre instinctivement, les reins creusés, l’attente me brûlant déjà de l’intérieur. Je sais qu’il doit me prendre pour une vraie salope, et cette idée me rend encore plus folle. Qu’il me juge. Qu’il me prenne sans retenue. Qu’il me défonce comme si je n’étais qu’un objet de plaisir.

J’écarte mes fesses avec une impudeur assumée, m’offrant sans la moindre hésitation. Je le sens derrière moi, sa présence massive, l’air chargé de tension brute. Son doigt effleure ma fente, recueille ma cyprine qui perle déjà d’envie. Il porte ensuite ses doigts humides à ma bouche.

Je me saisis de ses doigts, les suçant lentement, les enroulant de ma langue comme s’ils étaient deux belles queues offertes à mes lèvres. Mon regard planté dans le sien, je les avale jusqu’à la dernière phalange et les humidifiant avec application.

Il grogne, recule légèrement, fouille dans sa poche et en sort un préservatif. Il me le tend.

Je prends la pochette, la déchire du bout des dents, en extrais le latex et le déroule délicatement autour de sa tige tendue, mes doigts effleurant chaque veine saillante de son sexe dur.

Puis, je me remets en position.

Il approche son énorme queue de ma chatte trempée, fait glisser son gland entre mes lèvres brûlantes, étirant l’instant, me faisant languir. Je retiens mon souffle, prête à le sentir me remplir.

— Viens au fond de moi, j’en ai trop envie… Mets-la, s’il te plaît. Vas-y, sers-toi…

Ma voix est un murmure suppliant, un gémissement à peine contenu. Il grogne, se positionne, et enfin, il pousse en moi…

Çà y est, je prends.

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Texte intégral de l'audio :
A genoux, je dépose un baiser sur son gland tout en pressant sa paire de boules.

Quelle belle bite ! Quelle magnifique queue noire !

Malgré son calibre, j’apprécie le goût de sa tige que je prends facilement jusqu’au fond de la gorge. Sa queue s’adapte. Elle entre dans ma bouche, se resserre au niveau de mes lèvres qui agissent comme un anneau coulissant sur ce membre gorgé, puis elle retrouve son volume sous mon palais.

Il a prit mon visage entre ses mains.

Je m’agrippe à ses jambes musclées. Je le laisse me baiser la bouche.

Je suis très émoustillée. Cette longue et épaisse queue, augure de beaucoup de plaisir lorsqu’elle me remplira.

Mais je dois le retirer de ma bouche pour reprendre ma respiration. Je lèche sa bite de la base des couilles jusqu’au gland d’où perle une goutte de liquide pré séminal.

J’adore ça !

Pour moi, c’est comme du nectar. J’adore jouer avec, le tirer et l’avaler.

Je tisse ce spaghetti translucide du bout de ma langue, tout en le défiant du regard.

Mhhh... Je vois dans ses yeux qu’il a grave envie de me la mettre et que j’aurais bientôt sa belle grosse queue bien au fond.

- Tu as une très jolie queue tu sais ? Très impressionnante ! dis-je suffisamment fort pour que mon chéri entende de l’autre côté de la ligne.

Il me relève, enlève lentement ma petite culotte et la porte à ses narines. On dirait que l’odeur le stimule. Sa queue dressée pointe contre mon nombril.

Il m’embrasse. Sa bouche lippue avale littéralement la mienne. Nous nous enlaçons et je sens sa grosse main caresser mes fessiers, tout en me plaquant fermement contre son bas ventre que sa grosse queue bien raide sépare du mien.

Il me voit regarder la table sur lequel mon portable est en mode haut parleur.

Il m’interroge du regard en fronçant un sourcil. Je comprends qu’il faut que je lui explique…

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Texte intégral de l'audio:
Tu acceptes … mais à une condition ! : laisser le téléphone sur haut parleur pendant que je me ferai sauter. Tu veux m’entendre me faire baiser et te branler à mon écoute. Et bien sûr, tu me puniras à ton retour comme il se doit, en me gratifiant d’une sodomie magistrale bien méritée.

Le grand noir est remonté. Il change la serrure puis, s’assoie à la table pour me préparer la facture.

Je croise son regard sur mon décolleté que j’ai élargi pendant sa courte absence. Il feint de ne pas avoir remarqué la différence…mais je sais qu’il sait.

Lorsqu’il me tend la facture, je ne peux m’empêcher de frôler sa main. Nos regards se croisent et je sens qu’il peut lire le désir dans mon regard.

Je sors de mon portefeuille de quoi le régler.

Nous nous levons puis je m’approche de son torse. Il comprend immédiatement la signification de mon mouvement . Il va à ma rencontre et me prend par la taille pour approcher ma bouche de ses lèvres.

Nous nous embrassons fougueusement.

Sans échanger un mot, nous nous déshabillons.

Ne restent que mes sous vêtements et son caleçon, dont une grosse bosse déforme le tissu.

Ma main est attirée par cette protubérance.

Je m’agenouille et descends le caleçon pour laisser jaillir une belle grosse bite large, longue et veinée.

Je dépose un baiser sur le gland qui immédiatement semble doubler de volume. Je l’entoure avec ma langue de suceuse experte. Mon serrurier gémit de plaisir.

Je lui prends ses testicules volumineuses dans mes mains et les caresse, les soupèse une à une.

C’est vraiment une belle paire de couilles devant mes yeux que j’ai là.
Son sexe a pris sa taille maximale en se redressant. Il est vraiment impressionnant et pourtant j’en ai sucé des queues !

Je regarde la table pour m’assurer que le téléphone est bien sur haut parleur et que mon chéri va bien tout entendre.

Je m’agenouille et commence à emboucher cette longue bite qui me fait tant envie...

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Zut ! J’ai cassé la clé dans la serrure de la porte d’entrée. Depuis longtemps, je savais que cette clé était fragile. J’aurais dû me douter de ce qui allait arriver.

J’appelle donc un serrurier.

Au bout d’une demi-heure, le sommeil me gagne, assise dans l’escalier, lorsque soudain une main ferme me secoue doucement l’épaule.

Je lève les yeux… Un beau black, taillé comme un athlète, habillé d’une combinaison de travail, me sourit. Je recule instinctivement sous l’effet de la surprise, ce qui le fait sourire davantage.

En moins d’une minute, il ouvre la porte.

Je l’invite à entrer pour établir la facture. Il pénètre dans mon intérieur, imposant, sûr de lui. C’est là que je le détaille vraiment… Il est magnifique. Son torse dessiné sous le tissu, sa peau sombre et lisse, ce sourire en coin qui trahit un certain amusement. Un très beau mec.

Je lui propose de prendre un verre d’eau pour se rafraîchir.

Il accepte. Je me mords la lèvre en le regardant boire, sa pomme d’Adam se soulevant au rythme de ses gorgées. Mon regard glisse sur ses mains puissantes, celles qui, quelques minutes plus tôt, forçaient ma serrure récalcitrante. Une chaleur diffuse s’empare de mon ventre.

Et puis, je me souviens : la serrure de notre chambre à coucher pose aussi problème.

Je lui demande s’il peut y jeter un œil. Il accepte sans hésiter.

Il se penche, concentré, et je suis juste derrière lui. Mon regard est irrémédiablement attiré par la lisière de son pantalon qui dévoile un aperçu de sa chair ferme, sombre, tentante. Je peux apercevoir la lisière de son cul qui a l’air d’une fermeté d’ébène. Toute de suite, mon imagination s’emballe, mon ventre se contracte, une moiteur naît entre mes cuisses.

Il me dit qu’il doit aller chercher un outil dans sa camionnette, qu’il revient.

Tu es en Normandie, parti voir sa famille. Je suis seule à la maison depuis cinq jours et j’ai le feu au cul.

Profitant de sa disparition provisoire, j’attrape mon téléphone. Je t'appelle. Tu décroches presque immédiatement.

« Chéri… j'ai le serrurier à la maison car la clé s'est cassée dans la serrure. Il me plaît beaucoup. J'ai très envie...tu me donnes ton feu vert ? »

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Bonjour ! Nous sommes Sarah et Samuel de Lyon. Sam, avec ton charme brut et cette nonchalance affolante qui m’électrise à chaque instant, tu es urbaniste, bâtisseur d’espaces et d’horizons, toujours en quête de perfection dans les lignes que tu traces, celles des villes… et celles de mon corps. Moi, Sarah, bretonne aux yeux pétillants et à la sensualité insatiable, je m’investis dans mon travail au sein de la collectivité, mais c’est dans nos nuits que je me révèle pleinement.

À peine la trentaine, nous croquons la vie à pleines dents, refusant les carcans, brisant les limites. L’ennui n’existe pas entre nous, pas plus que la monotonie. Nous nous offrons l’un à l’autre avec une liberté enivrante, un abandon mutuel où chacun se nourrit du plaisir de l’autre. Notre complicité est absolue, indestructible, fondée sur cette confiance totale qui nous permet d’explorer les territoires interdits, ceux que d’autres n’osent même pas imaginer.

Et ces territoires, nous les parcourons avec une intensité brûlante. Je savoure chaque frisson, chaque nouveau frôlement, chaque découverte. Mon désir pour les femmes ? Tu l’encourages, tu le sublimes, tu le magnifies. Et toi, tu es candauliste, spectateur et acteur de mes envies les plus inavouables. Ça tombe bien, j’ai toujours été attirée par les jeunes hommes plus particulièrement arabes et noirs, leur fougue brute, leur énergie insatiable, leur accent chargé de promesses murmurées contre ma peau. Les voir me posséder, sentir leur force me submerger… et savoir que tu es là, que tu observes, excité au-delà du raisonnable, rend chaque instant plus intense, plus irréel.

Nos rencontres sont minutieusement choisies, orchestrées avec soin. Pas n’importe où, pas avec n’importe qui. L’hôtel ou une location Airbnb devient notre terrain de jeu, notre antre secrète où les désirs se libèrent sans retenue. Et ils ne manquent jamais de candidats, avides de se fondre dans notre univers, de se perdre dans cette énergie brûlante que nous dégageons.

Notre amour, notre lien, c’est cette fusion entre la passion et la liberté. Nous nous appartenons tout en nous offrant au monde. Nous avançons ensemble, main dans la main, certains que rien ne pourra ébranler ce que nous avons construit. Parce qu’entre nous, tout est possible, tout est désiré, tout est vécu le plus intensément possible.

Sarah et Sam (Lyon-69)

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