Samedi 23 et dimanche 24 septembre

Un temps d'information, d'échange et d'élaboration politique ouvert où l'on partage nos pratiques et savoir faire maraîchers dans la convivialité pour cultiver nos luttes et renforcer notre camp social

Comment ça se passe en période révolutionnaire pour autonomiser les luttes ?

A l’occasion du chantier partagé de septembre du Réseau de Ravitaillement des luttes du pays rennais (R2R), trois collectifs militants rennais s’unissent pour proposer un week-end festif autour du thème de l’alimentation des luttes. Ainsi, le R2R, le Comité Internationaliste Serhildan Roazhon et Dispac’h co-organisent pour le 23 et 24 septembre une Fête des Récoltes.

Le Réseau de ravitaillement des luttes et la Confédération Paysanne propose aux grévistes des paniers alimentaires pour faire durer la grève.

Paroles de la musique (traduction)

"Je n'attends rien" de The Fisherman

Je marche dans la rue

Comme je marche toujours sur la route

Je n'attends rien

Il y a des fous qui passent devant moi

Le soleil se couche derrière un nuage

Je n'attends rien.

Je dois arriver au point

Nous devons prendre la place

Ma fille est partie

Je n'attends rien.

Paroles de la musique (traduction)

"Je n'attends rien" de The Fisherman

Je marche dans la rue

Comme je marche toujours sur la route

Je n'attends rien

Il y a des fous qui passent devant moi

Le soleil se couche derrière un nuage

Je n'attends rien.

Je dois arriver au point

Nous devons prendre la place

Ma fille est partie

Je n'attends rien.

Retour en images sur la mobilisation féministe du 8 mars 2022 pour la journée internationale de lutte pour les droits des femmes et minorités de genre à Rennes !

Construisons ensemble la suite pour une déferlante féministe le 8 mars 2023 !

Que vive la grève générale féministe !

Dernier communiqué de l'Îlot U:

« L’aménagement du territoire est une idéologie qui voudrait voir les espaces comme des surfaces homogènes, où toute friction serait lissée voir supprimée, le territoire autant que les résistances, les corps autant que les mémoires. »

Vendredi 8 juillet, les cabanes de l’Ilot U sont tombées sous le poids des tractopelles et de la bêtise capitaliste et politicienne.

Depuis le lundi 16 mai, l’Ilot U était occupé jour et nuit, avec plus ou moins de régularité. Des événements s’y tenaient toutes les semaines, et chaque journée avait ses petites surprises de passage : des curieux.ses, des courtois.es, des déters, des musien.ne.s, des flanereuses.

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