Alors que Lio est de retour avec un nouvel album, Geoid Party in the Sky, je vous propose de vous replonger dans une partie de sa discographie, sans doute pas la plus connue.
En effet, dans cet épisode, je ne vous parlerai ni du Banana Split, ni d’Amoureux solitaires, ni des Brunes comptent pas pour des prunes.

Je préfère me pencher dans une première partie sur la période 1983/1985 qui entoure la sortie du deuxième album de la chanteuse, Amour toujours, réalisé par Alain Chamfort. On y parlera de Mona Lisa, de La Reine des pommes ou encore de Tétéou ?

Dans la deuxième partie, je dresse un parallèle avec l’album Dites au prince charmant, paru en 2006 et réalisé notamment par Doriand et Peter von Poehl.

Artiste sincère et ultra-sensible, Jakie Quartz a marqué les années 80 par une série de tubes dans lesquels elle n’a de cesse d’explorer un mal de vivre universel de sa voix cristalline.

C’est sa participation à une émission télé en direct qui, en 1981, invitée par Annie Girardot à interpréter son premier single, va décider du destin de la jeune chanteuse. 1983 : Mise au point est sur toutes les lèvres, c’est l’un des plus gros tubes de l’année. Mais en coulisses, tout n’est pas rose…

En 1986, le groupe suédois Secret Service lui offre le titre Vivre ailleurs, un nouveau tube. Puis c’est Pete Waterman (de Stock-Aitken-Waterman) qui la réclame et lance À la vie, à l’amour à l’assaut des charts anglais.

Je retrace dans ce septième épisode les années 1980 de Jakie Quartz.

Pour ce sixième épisode, je reviens sur la carrière de Sara Mandiano qui démarre dans les années 1980. Après une formation musicale à la Maîtrise de Radio France, Sara Mandiano se dirige vers le rock puis la variété (Ombre chinoise, La Dame de Shanghaï, qui lui permettent de se faire connaître) et un premier album est commercialisé au Japon.

Mais c’est véritablement en 1991 avec son deuxième album que le grand public la découvre réellement. J’ai des doutes est un tube, suivi de Défense d’y voir et des Serments.

Après Saison des pluies en 1994, elle se consacre à l’écriture et à la composition pour d’autres artistes avant un dernier disque sous le nom de Shaaks en 2010.

Je vous propose de (re)découvrir l’univers cosmopolite, poétique et élégant de la discrète Sara Mandiano.

Dans ce cinquième épisode, je vous propose de revenir sur la vaste carrière de Viktor Lazlo qui s’illustre en France dans les années 80 avec les tubes Canoë rose et Pleurer des rivières.

Retour donc sur les débuts de la chanteuse avec notamment Alain Chamfort, Boris Bergman, sur son lien à l’Eurovision, ses collaborations avec Serge Gainsbourg, Bernard Lavilliers ou Chris Rea, puis j’évoquerai le tournant, en 1996, avec un changement d’image et de sonorités, avant de terminer avec Begin the Biguine, l’album de 2007, parfait mélange de standards jazz et blues et de chansons françaises originales.

Viktor Lazlo vient de publier Mon cœur bruyant, une autobiographie vue sous le prisme de ses relations amoureuses, chez Grasset.

Dommage de ne résumer Rose Laurens qu’à Africa, succès phénoménal en France et à l’étranger, qui a quelque peu éclipsé le reste du répertoire de la chanteuse. Rose Laurens était bien plus qu’Africa.

Dans ce quatrième épisode, j’ai choisi de revisiter sa carrière à travers le prisme des grands auteurs qui ont écrit pour elle afin de m’arrêter sur des chansons ou des albums moins connus.

Des premières maquettes avec Michel Berger et Véronique Sanson, celles avec Alice Dona et Serge Lama, aux textes ciselés sur-mesure (souvent à sa demande) par des auteurs comme Francis Cabrel, Jean-Jacques Goldman, Yves Duteil, Louis Chedid, Boris Bergman ou encore François Valéry, vous redécouvrirez la force d’interprétation de cette grande voix, de cette artiste libre.

En seulement quatre ans de carrière discographique, Corynne Charby va marquer les années 80 avec deux tubes : Boule de flipper et Pile ou face, avant de disparaître subitement et totalement des écrans…
Dans ce troisième épisode, je reviens sur cette courte carrière, mais également sur ses rencontres avec Didier Barbelivien, Christophe, Eddy Mitchell, Johnny Hallyday… et sur ses débuts en tant que mannequin et actrice.

En 1985, avec trois tubes et un premier album, Jeanne Mas s’est imposée et a mis tout le monde d’accord. Après un Olympia et deux Victoires de la musique, elle enchaîne en 1986 avec un deuxième album, Femmes d’aujourd’hui, toujours composé et réalisé par l’Italien Romano Musumarra, qui engendre à nouveau trois tubes : En rouge et noir, L’Enfant et Sauvez-moi.
Je reviens dans cet épisode sur l’incroyable ascension de la jeune chanteuse et sur l’histoire de cet album qui a marqué les années 80.

Après 390 chroniques publiées sur popmusicdeluxe.fr, j’ai voulu faire évoluer Pop Music Deluxe vers un nouveau format, celui du podcast. Vous allez pouvoir écouter ici le tout premier épisode qui sera également disponible sur d’autres plateformes (Spotify, Apple Music, Deezer).

J’ai eu envie de consacrer ce premier numéro à Buzy, chanteuse que j’aimais beaucoup et dont la disparition en 2023 m’a beaucoup touché. Comme je ne pourrai pas passer en revue toute sa carrière en quelques minutes, j’ai choisi de m’attarder sur trois périodes qui me semblent importantes : les débuts en 1981 avec le succès de Dyslexique et le premier album Insomnies, le tube Body Physical en 86/87 et enfin le retour en grâce de Buzy en 2005 avec l’album Borderlove.

J’espère que ce premier essai vous plaira…

Merci infiniment à Ludovic Huvier pour le générique et l’univers musical et à Pierre S. pour le logo !