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Dans mon cabinet, j’accompagne de nombreuses femmes brillantes, engagées, ambitieuses. Elles gèrent des équipes, des projets, des familles. Elles prennent soin de tout le monde.
Mais dans l’intime, beaucoup me confient quelque chose qu’elles n’osent dire à personne :
le soir, leur seul moyen de relâcher la pression… c’est un verre d’alcool.
Pas pour faire la fête.
Pas pour s’amuser.
Mais pour arrêter de penser.
Pour souffler enfin.
Pour retrouver un espace qui leur appartient.
Ce rapport à l’alcool n’a rien d’un manque de volonté.
Ce n’est pas une faiblesse.
C’est un mécanisme d’adaptation très spécifique, lié à leur rythme, à leur niveau d’exigence… et à leur capacité à tout porter.
Les femmes leaders ont souvent un point commun :
elles ne s’autorisent pas à ralentir.
Elles anticipent, organisent, prennent en charge, rassurent, gèrent la vie professionnelle et la vie personnelle avec une efficacité remarquable.
Elles donnent beaucoup.
Elles tiennent beaucoup.
Elles encaissent beaucoup.
Mais la plupart ne s’accordent aucun moment pour souffler vraiment.
Pas de transition.
Pas de pause.
Pas de respiration.
Alors, le soir, quand tout retombe…
leur système nerveux est encore en alerte. Leur mental continue de tourner.
Et un verre d’alcool devient parfois le seul moyen de baisser la garde.
Ce que j’observe souvent chez ces femmes, c’est que l’alcool n’est pas utilisé par plaisir… mais par fonction.
Il devient :
Ce n’est pas l’alcool qu’elles recherchent.
C’est l’état qui arrive avec le premier verre :
un relâchement, un soupir, une détente qui ne survient plus à aucun autre moment de la journée.
L’alcool prend la place… parce qu’il n’y a pas d’alternative disponible.
Quand l’alcool devient le seul sas de décompression, le but n’est pas de tout retirer du jour au lendemain.
Le but est de redonner au corps d’autres moyens de souffler.
C’est là que tout change.
Voici les questions que j’invite à explorer :
Du calme ?
Du silence ?
D’un moment seule ?
De douceur ?
De contact avec mon corps ?
Même un rituel très simple peut changer complètement la soirée :
Peu importe la forme :
l’important est de multiplier les sas pour que l’alcool cesse d’être l’unique porte de sortie.
On n’a pas besoin d’une heure.
On n’a pas besoin d’un rituel complexe.
Parfois, 5 à 10 minutes de recentrage suffisent à signaler au corps :
“Tu peux relâcher. Tu es en sécurité. Tu n’as plus besoin d’un produit pour te calmer.”
Les femmes leaders ne manquent pas de volonté.
Elles manquent d’espaces internes.
Et ces espaces, on peut les reconstruire progressivement.
Si aujourd’hui l’alcool est ton seul moyen de décompresser, ce n’est pas un problème en soi.
C’est un signal.
Le signal que ton esprit et ton corps réclament plus de douceur, plus de pauses, plus d’espaces.
Ce n’est pas un échec : c’est le début d’un retour à toi.
En réintroduisant des moments de respiration dans ta journée, même très courts, tu vas progressivement déplacer l’alcool de son rôle central… et retrouver un équilibre plus sain, plus doux, plus aligné.
Je vous invite à retrouver ici le lien pour voir la vidéo Youtube de cet article :
L’article Pourquoi tant de femmes leaders utilisent l’alcool comme unique sas de décompression — et comment retrouver d’autres espaces pour respirer est apparu en premier sur Dr Marion Alègre.
By Dr Marion AlègreDans mon cabinet, j’accompagne de nombreuses femmes brillantes, engagées, ambitieuses. Elles gèrent des équipes, des projets, des familles. Elles prennent soin de tout le monde.
Mais dans l’intime, beaucoup me confient quelque chose qu’elles n’osent dire à personne :
le soir, leur seul moyen de relâcher la pression… c’est un verre d’alcool.
Pas pour faire la fête.
Pas pour s’amuser.
Mais pour arrêter de penser.
Pour souffler enfin.
Pour retrouver un espace qui leur appartient.
Ce rapport à l’alcool n’a rien d’un manque de volonté.
Ce n’est pas une faiblesse.
C’est un mécanisme d’adaptation très spécifique, lié à leur rythme, à leur niveau d’exigence… et à leur capacité à tout porter.
Les femmes leaders ont souvent un point commun :
elles ne s’autorisent pas à ralentir.
Elles anticipent, organisent, prennent en charge, rassurent, gèrent la vie professionnelle et la vie personnelle avec une efficacité remarquable.
Elles donnent beaucoup.
Elles tiennent beaucoup.
Elles encaissent beaucoup.
Mais la plupart ne s’accordent aucun moment pour souffler vraiment.
Pas de transition.
Pas de pause.
Pas de respiration.
Alors, le soir, quand tout retombe…
leur système nerveux est encore en alerte. Leur mental continue de tourner.
Et un verre d’alcool devient parfois le seul moyen de baisser la garde.
Ce que j’observe souvent chez ces femmes, c’est que l’alcool n’est pas utilisé par plaisir… mais par fonction.
Il devient :
Ce n’est pas l’alcool qu’elles recherchent.
C’est l’état qui arrive avec le premier verre :
un relâchement, un soupir, une détente qui ne survient plus à aucun autre moment de la journée.
L’alcool prend la place… parce qu’il n’y a pas d’alternative disponible.
Quand l’alcool devient le seul sas de décompression, le but n’est pas de tout retirer du jour au lendemain.
Le but est de redonner au corps d’autres moyens de souffler.
C’est là que tout change.
Voici les questions que j’invite à explorer :
Du calme ?
Du silence ?
D’un moment seule ?
De douceur ?
De contact avec mon corps ?
Même un rituel très simple peut changer complètement la soirée :
Peu importe la forme :
l’important est de multiplier les sas pour que l’alcool cesse d’être l’unique porte de sortie.
On n’a pas besoin d’une heure.
On n’a pas besoin d’un rituel complexe.
Parfois, 5 à 10 minutes de recentrage suffisent à signaler au corps :
“Tu peux relâcher. Tu es en sécurité. Tu n’as plus besoin d’un produit pour te calmer.”
Les femmes leaders ne manquent pas de volonté.
Elles manquent d’espaces internes.
Et ces espaces, on peut les reconstruire progressivement.
Si aujourd’hui l’alcool est ton seul moyen de décompresser, ce n’est pas un problème en soi.
C’est un signal.
Le signal que ton esprit et ton corps réclament plus de douceur, plus de pauses, plus d’espaces.
Ce n’est pas un échec : c’est le début d’un retour à toi.
En réintroduisant des moments de respiration dans ta journée, même très courts, tu vas progressivement déplacer l’alcool de son rôle central… et retrouver un équilibre plus sain, plus doux, plus aligné.
Je vous invite à retrouver ici le lien pour voir la vidéo Youtube de cet article :
L’article Pourquoi tant de femmes leaders utilisent l’alcool comme unique sas de décompression — et comment retrouver d’autres espaces pour respirer est apparu en premier sur Dr Marion Alègre.