Avez-vous déjà sacrifié votre santé pour votre travail ?

Beaucoup de personnes, aujourd’hui, sacrifient leur santé sans même s’en rendre compte : surcharge, sédentarité, stress émotionnel, télétravail, entrepreneuriat… Notre vie professionnelle peut rapidement empiéter sur notre bien-être physique, mental et relationnel.

Dans cet article, je vous propose d’identifier les contraintes de votre quotidien qui fragilisent votre santé… puis de découvrir 9 rituels simples et scientifiquement validés pour retrouver de la stabilité, de la vitalité et du plaisir dans votre vie.

Avant de pouvoir agir, il est essentiel d’identifier où se situe le déséquilibre.
Posez-vous ces questions :

Un travail assis, des journées sur écran, peu de déplacements… Cela entraîne des douleurs, une baisse d’énergie, voire une prise de poids.

Pour les entrepreneurs, l’incertitude peut créer un surmenage permanent, par peur de perdre de l’argent ou de ne pas être “suffisamment productif”.

Télétravail, horaires décalés, autoentrepreneuriat : on peut ne plus sortir, ne plus voir de monde, et perdre peu à peu de la stimulation relationnelle.

Vie pro / vie perso qui se mélangent, messages tard le soir, travail le week-end, tâches qui envahissent tout l’espace mental…
C’est l’une des causes les plus fréquentes d’épuisement.

Identifier vos contraintes est la première étape pour reprendre la main sur votre santé.

Ces rituels sont issus d’une conférence que j’ai récemment animée — et dont vous pouvez télécharger la synthèse complète en PDF (lien sous l’article).

La marche, surtout en pleine nature, est l’un des gestes les plus puissants pour la santé :

Avez-vous marché 20 minutes aujourd’hui ? Cette semaine ?

Le cardio 2 à 3 fois par semaine (20 à 45 minutes selon votre niveau) :

Avez-vous fait du sport cette semaine ?

Votre alimentation structure votre énergie, votre humeur et votre bien-être global.

Je vous partage dans une autre vidéo une interview passionnante avec une nutritionniste (lien sous l’article).
C’est la vidéo à voir si vous souhaitez mieux comprendre comment manger pour être en bonne santé, durablement.

La visualisation est la capacité à voir, dans votre esprit, un objectif déjà réalisé :

Les études montrent que les zones cérébrales activées pendant la visualisation sont très proches de celles activées pendant l’action réelle.
C’est un outil extrêmement puissant pour :

Avez-vous visualisé votre objectif cette semaine ?

L’écriture permet de déposer ce qui vous pèse, de clarifier vos idées et de réorganiser votre esprit.
Quelques minutes par jour suffisent pour retrouver de la clarté.

Lister chaque soir 3 choses positives :

C’est un rituel simple, mais extrêmement puissant.

Le contact avec les animaux réduit le stress, régularise le rythme cardiaque, et apporte un sentiment profond de réconfort et de présence.
Que ce soit votre chat, votre chien, ou un animal rencontré dans la nature : ce lien est une ressource à part entière.

Quelques minutes par jour suffisent pour :

C’est un rituel fondamental pour rester aligné dans un quotidien intense.

Une routine du soir apaisée prépare un sommeil réparateur :

Le sommeil n’est pas un luxe : c’est un pilier de santé.

Je vous ai préparé un PDF que vous pouvez télécharger gratuitement.
Il reprend les 9 rituels + les études scientifiques qui démontrent leur bénéfice sur la santé.

Dites-le-moi en commentaire ou en message :

On avance ensemble, pas à pas.
L’important n’est pas d’être parfait, mais de progresser sans jamais reculer.
Et surtout : de prendre soin de votre santé autant que de vos responsabilités.

À très bientôt,
Dr Marion Alègre

L’article 9 rituels scientifiquement prouvés pour renforcer votre santé est apparu en premier sur Dr Marion Alègre.

Dans mon cabinet, j’accompagne de nombreuses femmes brillantes, engagées, ambitieuses. Elles gèrent des équipes, des projets, des familles. Elles prennent soin de tout le monde.
Mais dans l’intime, beaucoup me confient quelque chose qu’elles n’osent dire à personne :
le soir, leur seul moyen de relâcher la pression… c’est un verre d’alcool.

Pas pour faire la fête.
Pas pour s’amuser.
Mais pour arrêter de penser.
Pour souffler enfin.
Pour retrouver un espace qui leur appartient.

Ce rapport à l’alcool n’a rien d’un manque de volonté.
Ce n’est pas une faiblesse.
C’est un mécanisme d’adaptation très spécifique, lié à leur rythme, à leur niveau d’exigence… et à leur capacité à tout porter.

Les femmes leaders ont souvent un point commun :
elles ne s’autorisent pas à ralentir.

Elles anticipent, organisent, prennent en charge, rassurent, gèrent la vie professionnelle et la vie personnelle avec une efficacité remarquable.
Elles donnent beaucoup.
Elles tiennent beaucoup.
Elles encaissent beaucoup.

Mais la plupart ne s’accordent aucun moment pour souffler vraiment.

Pas de transition.
Pas de pause.
Pas de respiration.

Alors, le soir, quand tout retombe…
leur système nerveux est encore en alerte. Leur mental continue de tourner.
Et un verre d’alcool devient parfois le seul moyen de baisser la garde.

Ce que j’observe souvent chez ces femmes, c’est que l’alcool n’est pas utilisé par plaisir… mais par fonction.

Il devient :

Ce n’est pas l’alcool qu’elles recherchent.
C’est l’état qui arrive avec le premier verre :
un relâchement, un soupir, une détente qui ne survient plus à aucun autre moment de la journée.

L’alcool prend la place… parce qu’il n’y a pas d’alternative disponible.

Quand l’alcool devient le seul sas de décompression, le but n’est pas de tout retirer du jour au lendemain.
Le but est de redonner au corps d’autres moyens de souffler.

C’est là que tout change.

Voici les questions que j’invite à explorer :

Du calme ?
Du silence ?
D’un moment seule ?
De douceur ?
De contact avec mon corps ?

Même un rituel très simple peut changer complètement la soirée :

Peu importe la forme :
l’important est de multiplier les sas pour que l’alcool cesse d’être l’unique porte de sortie.

On n’a pas besoin d’une heure.
On n’a pas besoin d’un rituel complexe.

Parfois, 5 à 10 minutes de recentrage suffisent à signaler au corps :
“Tu peux relâcher. Tu es en sécurité. Tu n’as plus besoin d’un produit pour te calmer.”

Les femmes leaders ne manquent pas de volonté.
Elles manquent d’espaces internes.
Et ces espaces, on peut les reconstruire progressivement.

Si aujourd’hui l’alcool est ton seul moyen de décompresser, ce n’est pas un problème en soi.
C’est un signal.

Le signal que ton esprit et ton corps réclament plus de douceur, plus de pauses, plus d’espaces.
Ce n’est pas un échec : c’est le début d’un retour à toi.

En réintroduisant des moments de respiration dans ta journée, même très courts, tu vas progressivement déplacer l’alcool de son rôle central… et retrouver un équilibre plus sain, plus doux, plus aligné.

Je vous invite à retrouver ici le lien pour voir la vidéo Youtube de cet article :

L’article Pourquoi tant de femmes leaders utilisent l’alcool comme unique sas de décompression — et comment retrouver d’autres espaces pour respirer est apparu en premier sur Dr Marion Alègre.

Quand on parle de santé publique, on pense souvent à de grandes décisions : vaccination, remboursement des soins, campagnes contre le tabac ou l’alcool…
Mais une question reste toujours en suspens : comment savoir si les mesures de santé publique marchent vraiment ?

Est-ce qu’une mesure a réellement amélioré la santé des gens, et comment le savoir ? C’est la question à laquelle je vais répondre dans cet article. A la fin de la page, vous aurez aussi la possibilité de regarder la vidéo à ce sujet.

La santé, ce ne sont pas seulement des chiffres.
Chaque personne vit dans un contexte différent : habitudes, environnement, situation économique, soutien social…
Alors, isoler l’effet d’une seule mesure, c’est comme essayer de savoir quel ingrédient d’une recette a fait réussir le plat. Ce n’est pas si simple, en pratique !

Les économistes et médecins de santé publique ont inventé plusieurs méthodes :

Toutes ces approches ont leurs limites.
Car la santé ne se résume pas à un calcul :

La santé, c’est de l’humain avant tout et donc le chiffrage est complexe.

Et si on arrêtait de se demander seulement : « Combien ça coûte ? » c’est à dire de raisonner comme si la maladie pouvait rapporter un bénéfice secondaire,
et que l’on commençait à poser une autre question :
 « Combien ça rapporte en bonne santé ? »

Investir dans la prévention, l’éducation, l’équilibre de vie, ce n’est pas une dépense.
C’est un investissement sur notre avenir collectif.

Les bénéfices d’être en bonne santé sont en pratique difficilement mesurables, même si instinctivement, cela paraît intuitif de se dire qu’une population en bonne santé va apporter plus de choses positives et donc plus de « bénéfices ».

Mesurer l’impact d’une politique de santé publique est un vrai défi.
Ce qui est sûr, c’est qu’on ne peut pas réduire la santé à une simple ligne de budget.

La vraie richesse, ce n’est pas seulement de sauver de l’argent. C’est aussi de gagner en qualité de vie.

Et vous, qu’en pensez-vous ? Faut-il revoir la façon dont on mesure la santé publique ?

Voici la vidéo Youtube en lien avec cet article :

Pour aller plus loin, découvrez aussi le premier épisode : « Comment renverser les 22 milliards de dette de la Sécurité Sociale ».

Et pour recevoir d’autres clés simples et inspirantes, abonnez-vous à ma chaîne YouTube : @drmarionalegre.

L’article Peut-on vraiment mesurer l’impact d’une politique de santé publique ? est apparu en premier sur Dr Marion Alègre.

La Sécurité sociale française cumule aujourd’hui 22 milliards d’euros de dette. Ce chiffre colossal interroge : pourquoi, malgré toutes les réformes et les innovations, notre système reste-t-il toujours déficitaire ? Et surtout : pourquoi ne parle-t-on jamais sérieusement de prévention ?

Dans cette réflexion, je souhaite vous partager une vision différente : et si nous changions radicalement de paradigme en investissant dans l’hygiène de vie, la prévention et le bien-être global, plutôt que de continuer à alimenter un système centré sur les innovations technologiques coûteuses ?

Nos politiques de santé misent massivement sur les innovations médicales et technologiques : nouveaux médicaments, dispositifs sophistiqués, chirurgie robotisée… Ces avancées ont leur importance, mais elles coûtent très cher et ne règlent pas les causes profondes des maladies.

La prévention, elle, reste très discrète dans le système. Pourtant, on sait qu’une meilleure hygiène de vie (activité physique, alimentation équilibrée, réduction du stress, arrêt du tabac…) permettrait d’éviter une grande partie des maladies chroniques qui pèsent lourdement sur la Sécurité sociale.

Imaginez si une partie de ces 22 milliards d’euros était investie pour :

Ce choix aurait un impact énorme : moins d’hospitalisations, moins de maladies chroniques, et surtout une meilleure qualité de vie pour chacun.

Il est temps de sortir d’une logique purement curative pour entrer dans une logique préventive et intégrative. La santé ne devrait pas seulement être l’absence de maladie, mais un état global de bien-être physique, mental et émotionnel.

Changer notre rapport à la santé, c’est aussi changer notre rapport à la dépense publique : investir moins dans les réparations coûteuses, et plus dans la vitalité, la résilience et la qualité de vie.

La dette de la Sécurité sociale ne se résorbera pas avec toujours plus de technologies. Elle pourra l’être si nous changeons de paradigme, si nous changeons de vision et que nous intégrons enfin la prévention et l’éducation à la santé au centre de nos politiques.

Et si, plutôt que de subir les dépenses, nous faisions de la santé un investissement durable – pour nous-mêmes, et pour les générations futures ?

 Je suis le Dr Marion Alègre, médecin généraliste et addictologue, passionnée par la santé. Ma mission : transmettre des clés simples et concrètes pour mieux prendre soin de soi, sortir de la maladie et retrouver une vie épanouie.

Je vous invite à regarder ma vidéo sur le sujet :

 Voir la vidéo complète sur YouTube et pensez à vous abonner à ma chaine

La semaine prochaine, je publierai la seconde vidéo de cette série où l’on verra si l’on peut vraiment se fier à une mesure de santé publique, et comment l’évaluer ?

Je vous remercie et à très vite !

L’article Comment renverser les 22 milliards de dette de la Sécurité sociale ? est apparu en premier sur Dr Marion Alègre.

Je vous propose ici 5 raisons profondes, concrètes et motivantes de dire stop au tabac.
Des raisons qui parlent autant à votre corps qu’à votre esprit… pour vous aider à reprendre pleinement votre pouvoir sur votre santé et votre vie.

Contrairement à ce que l’on croit, la cigarette n’apaise pas vraiment le stress.
Elle entretient un cycle de dépendance nicotinique qui aggrave l’anxiété sur le long terme.
En arrêtant, vous permettez à votre système nerveux de se réguler naturellement, sans avoir besoin de compenser toutes les 30 minutes.
Résultat : un esprit plus clair, une humeur plus stable et une sensation de sérénité retrouvée.

Le tabac abîme progressivement vos voies respiratoires et favorise les maladies pulmonaires chroniques (BPCO, bronchites, emphysème).
Dire stop, c’est offrir à vos poumons une chance de se régénérer : dès quelques semaines, votre capacité respiratoire s’améliore, et l’essoufflement diminue.
Chaque inspiration devient plus légère, plus libre.

Le tabac est impliqué dans de nombreux cancers : poumons, bouche, gorge, vessie, pancréas…
Arrêter, c’est réduire votre risque à chaque jour qui passe.
Après 10 ans sans fumer, le risque de cancer du poumon chute de moitié par rapport à un fumeur. C’est un investissement vital sur votre avenir.

Fumer multiplie par deux le risque d’infarctus et d’accident vasculaire cérébral.
En arrêtant, vous améliorez la circulation sanguine, réduisez la pression artérielle et redonnez à votre cœur l’oxygène dont il a besoin.
Les bénéfices sont rapides : après seulement 24h sans fumer, le risque de crise cardiaque commence déjà à baisser.

Au-delà de la santé, arrêter de fumer, c’est un vrai cadeau pour votre portefeuille.
Avec un paquet à 12 €, fumer un paquet par jour représente plus de 4 000 € par an.
Imaginez ce que vous pourriez faire avec cet argent : voyages, projets, formation, ou simplement plus de confort au quotidien.

Arrêter de fumer n’est pas un sacrifice : c’est une libération.
C’est choisir de retrouver votre souffle, votre énergie, votre santé… et votre souveraineté physique et émotionnelle.

Je suis le Dr Marion Alègre, médecin généraliste et addictologue.
J’accompagne les personnes qui veulent se libérer des addictions avec une approche médicale douce, ancrée et humaine.

Cliquez ici pour écouter l’épisode sur le podcast Révolution Intérieure

 5 bonnes raisons d’arrêter de fumer

Et pour compléter, découvrez aussi la partie 1 de cette série.

 Et vous ?
Quelle est la raison qui vous motive le plus à arrêter de fumer ?
Partagez votre réponse en commentaire ci-dessous.

L’article Arrêter de fumer : 5 vraies bonnes raisons… qui n’ont rien à voir avec la culpabilité est apparu en premier sur Dr Marion Alègre.

Vous en avez marre de fumer ?
Marre de cette habitude qui vous enferme, vous fatigue ou vous fait culpabiliser ?
Vous savez que cela vous détruit à petit feu, mais pour l’instant, vous n’arrivez pas à vous motiver pleinement pour sortir de cette spirale ?

Alors soufflez, détendez-vous : cet article est fait pour vous.

Le Dr Marion Alègre, médecin généraliste et addictologue, vous partage ici 5 conseils simples, humains et efficaces pour vous aider à sortir du tabac, à votre rythme, sans pression ni jugement.
Elle vous livre également son propre rapport à la cigarette, en tant qu’ancienne fumeuse, afin de vous accompagner avec bienveillance sur ce chemin de transformation.

La première étape, c’est d’observer sans juger.
Prenez quelques jours pour noter combien de cigarettes vous fumez réellement par jour. Pas pour vous culpabiliser, mais pour revenir au réel.

Le fait de poser un chiffre vous permet de sortir du flou, de reprendre la main et d’avoir un point de départ objectif. Vous n’êtes plus dans une relation subie avec la cigarette, vous reprenez la conscience de votre consommation.

Un excellent moyen de commencer à changer votre rapport à la cigarette est de décaler progressivement votre première cigarette de la journée.

Si vous avez l’habitude de fumer à 8h du matin, essayez de repousser à 9h, puis 10h… Vous reprenez doucement le pouvoir sur le timing, sans vous forcer à arrêter du jour au lendemain.

Ce petit geste crée un espace. Un espace de liberté que vous allez pouvoir agrandir au fil du temps.

Un jour, proposez à votre corps une journée sans cigarette. Juste pour voir comment vous vous sentez. Sans engagement, sans barrières.

Ce n’est pas « tout ou rien ». Vous avez le droit d’essayer. Une journée sans fumer, ce n’est pas une victoire ou une défaite : c’est une expérience.

Et vous pourriez être surpris de voir à quel point une journée sans tabac vous a fait du bien et s’est passée de façon légère.

A cette étape là, on a besoin de se libérer entièrement de la cigarette, une fois que l’on a déjà expérimenté la réduction avec un arrêt quasi complet.

Ce besoin de « penser cigarette », de se projeter dans la prochaine… pour le stopper de façon radicale, je vous propose de carrément instaurer de nouvelles règles du jeu. Cette fois-ci, dites stop aux cigarettes y compris en soirée. Et faites plusieurs semaines, plusieurs mois, voir une année complète ainsi.

Enfin, elle propose de poser un horizon clair. Un vrai cap.
Que se passerait-il si, dans un an, vous aviez totalement arrêté de fumer ?

Cela peut paraître loin, mais un cap lointain vous permet de prendre votre temps. Ce n’est pas un sprint, c’est une marche.
Une marche vers plus de liberté, de santé et de fierté personnelle.

Ce chemin, elle le connaît.
Elle est passée par là. Elle sait que sortir du tabac, ce n’est pas une ligne droite. Il y a des doutes, des retours en arrière, des moments d’envie… et aussi beaucoup de victoires intimes.

Que vous soyez au début de votre démarche ou déjà engagé dans un sevrage tabagique, elle espère que ces 5 conseils pourront vous aider à faire un pas de plus.

Cet article est à présent terminé, merci de l’avoir lu !

Retrouver en complément la vidéo sur cette thématique ainsi que le podcast.

L’article 5 conseils concrets pour arrêter de fumer (sans pression ni culpabilité) est apparu en premier sur Dr Marion Alègre.

L’addiction ne concerne pas uniquement les substances comme l’alcool, le tabac ou les drogues. On peut être dépendant d’un comportement, d’une activité ou même d’un état émotionnel.
Ce repérage repose sur des critères cliniques validés qui permettent d’évaluer si un comportement est devenu pathologique.

Une addiction est définie par la perte de contrôle sur un comportement, associé à un besoin impérieux, et qui persiste malgré des conséquences négatives.
Elle peut concerner des substances (alcool, cannabis, médicaments…) ou des comportements (jeux, achats, alimentation, écrans…).

Tout de suite, nous allons voir les 11 critères diagnostiques permettant de définir l’addiction.

Ces 11 critères sont utilisés par les professionnels de santé pour évaluer la présence d’un trouble addictif. Plus ils sont nombreux, plus le risque est élevé.

L’addiction est une maladie neurobiologique et comportementale. Ce n’est ni une faiblesse ni un manque de volonté.
Identifier ces critères permet de mieux comprendre sa relation à un comportement, et de savoir quand demander de l’aide.

Je vous remercie d’avoir lu cet article et vous invite à regarder la vidéo en lien avec ce sujet.

L’article Êtes-vous addict ? Qu’est ce qu’une addiction ? est apparu en premier sur Dr Marion Alègre.

« J’ai testé le jeûne intermittent… mais dès que j’arrête, je reprends tous mes kilos. »
C’est la question que m’a posée Mamadou, chauffeur de taxi de 42 ans, que je remercie chaleureusement pour sa confiance.

Et si vous aussi vous cherchez à perdre du poids sans vous épuiser, sans craquer, et surtout sans tout reprendre, cet article est pour vous.

Voici les 5 points clés que je vous recommande pour une perte de poids saine, durable, et alignée avec votre corps… et votre mental.

A la fin de l’article, vous pourrez en retrouver la version vidéo.

C’est la base : pour perdre du poids, vous devez consommer moins de calories que vous n’en dépensez.

Mais attention : un déficit trop important ou mal vécu peut devenir contre-productif et générer des troubles du comportement alimentaire.

L’objectif est d’apporter à votre corps juste un peu moins que ce dont il a besoin, en ajustant votre alimentation avec bon sens, sans tomber dans la restriction extrême.

Perdre du poids, c’est un marathon, pas un sprint.
Je vous recommande de viser 80 % de repas équilibrés et 20 % de « jokers » pour ne pas tomber dans la frustration totale.

Un verre de vin, un repas plaisir… tout est une question d’équilibre sur la semaine, pas d’un seul repas “parfait”.

L’activité physique est une alliée précieuse. Elle permet :

Pas besoin de devenir marathonien : 2 fois par semaine, en marche rapide, sport doux ou intense, c’est déjà un excellent début.

Dans mon métier d’addictologue, je constate combien il est difficile aujourd’hui d’accepter de ne pas tout avoir tout de suite.

La perte de poids, comme tout changement en profondeur, demande de la patience, des efforts… et oui, parfois, un peu d’inconfort.

Mais c’est un vrai entraînement émotionnel, et une victoire intérieure qui dépasse largement le chiffre sur la balance.

Souvent, on compense nos frustrations par la nourriture, sans même s’en rendre compte.

La clé, ce n’est pas de supprimer le plaisir. C’est de retrouver des plaisirs plus riches, plus durables, plus alignés avec nous-mêmes : marcher dans la nature, danser, cuisiner, lire, rire avec des amis…

Quand vous vous reconnectez à ces plaisirs simples, vous libérez votre cerveau de cette hyper-focalisation sur la nourriture.

Perdre du poids durablement, ce n’est pas juste une question de volonté ou de discipline.
C’est un chemin d’équilibre, de connaissance de soi, et souvent… de transformation intérieure.

Alors, dites-moi :
 Quel point vous parle le plus ?
 Où en êtes-vous dans votre propre chemin de réconciliation avec votre corps ?

Enfin, voici le lien vers la vidéo qui traite ce sujet en profondeur ! Je vous souhaite un bon visionnage et serai ravie de vous lire en commentaire !

Marion Alègre

L’article Comment perdre du poids durablement (et ne pas craquer) : les 5 clés essentielles est apparu en premier sur Dr Marion Alègre.

Bienvenue sur Révolution Intérieure,

je suis Marion Alègre, et dans ce podcast, nous allons explorer ensemble la guérison, la transformation et la liberté intérieure.

Ce premier épisode, c’est juste pour vous souhaiter à nouveau la bienvenue ici et relancer le podcast.

Alors, vous êtes prêts ?

Je vous dis à très bientôt pour entrer dans le vif du sujet.

L’article Bienvenue sur le Podcast Révolution intérieure ! est apparu en premier sur Dr Marion Alègre.

Bonjour et bienvenue à vous,

Aujourd’hui à travers cet article j’aimerais échanger avec vous au sujet de votre être. Ce qui constitue votre personne.

Se développer, oui, mais qui se cache donc derrière ce Soi ?

Voici la vidéo qui va avec l’article :

Bien sûr, il n’y a pas de réponse unique, et chacun a sa représentation en fonction de sa culture, de ses croyances, de sa spiritualité, etc…

Quand vous êtes confronté à un schéma qui vous bloque, une émotion qui vous frustre, vous pouvez chercher à vous améliorer, à mettre en marche votre « Développement de Soi ».

Alors aujourd’hui,

Je vous propose un échange autour de ce thème.

Pour moi, quand vous pratiquez le développement de Soi ou développement personnel c’est une manière de développer votre propre être. Mais alors, qu’est-ce que cet être véritable ?

Nous sommes un corps physique, avec des émotions, une faculté de penser et de réfléchir et une énergie qui nous caractérise. Nous avons une personnalité propre, de laquelle nous sommes habitués à nous «faire aimer» depuis tout petit.

En tout cas, c’est cette partie de nous-mêmes comme invariante qui nous permet de nous sentir heureux et complet. Qui n’est plus attachée à des griefs du passé ou des peurs futures.

C’est en fait l’être déconditionné des croyances limitantes.

Alors, nous nous donnons la possibilité d’être Soi, de rayonner en tant que tel, en tant qu’être unique.

Le développement de Soi est donc à mon sens en premier lieu une forme d’observation fine de qui nous sommes, au-delà de nos croyances et conditionnements.

Le développement de Soi, serait en ce sens comme un retour à soi, fait d’acceptation, de sagesse, de revenir à qui nous sommes, de l’accepter pleinement afin d’en faire profiter les autres autour.

Je vous recommande deux livres :

Et l’article Dépendance affective : s’en libérer en 20 étapes ! car se libérer d’une dépendance affective est aussi un moyen de se libérer de vos peurs et conditionnements et de vous développer personnellement.

Je vous partage également :

Partagez-le en commentaire !

Je vous remercie d’avoir lu cet article et vous dis à très vite,

Marion Alègre

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