Trop souvent invisibles, parfois tolérées, rarement attendues. Les femmes noires dans les grandes études occupent une place fragile : marginales dans des espaces pensés sans elles, elles avancent avec force dans des milieux où leur présence détonne, dérange ou fascine.
Accéder à ces filières dites d'"excellence" n'est jamais neutre. Pour les femmes noires, c'est à la fois une ascension et une épreuve : il faut se battre pour entrer, prouver pour rester, se taire parfois pour avancer. Ce sont des questions de légitimité, de regard social, de solitude souvent, de fatigue toujours.
Mais c'est aussi une histoire de résilience, de stratégie, de réinvention. Derrière chaque parcours, il y a des renoncements, des solidarités discrètes, des rêves qu'on a dû reformuler — mais aussi des ambitions qu'on affirme enfin, à voix haute.
Parler de la place des femmes noires dans les grandes études, ce n'est pas seulement parler d'éducation ou de réussite. C'est parler de pouvoir, de classe, de race, de genre. C'est interroger les portes qui se ferment, les plafonds qui persistent, et les silences institutionnels qui les entourent.
Il est temps de faire de la place. Mieux : de la leur laisser, sans condition.
Dans cette nouvelle table ronde, RDV Qissas, Ahouefa, Ireti et Daly nous racontent leur histoire, leur parcours et comment tous les jours elles œuvrent pour cette place dans un monde Trop souvent invisibles, parfois tolérées, rarement attendues. Les femmes noires dans les grandes études occupent une place fragile : marginales dans des espaces pensés sans elles, elles avancent avec force dans des milieux où leur présence détonne, dérange ou fascine.
Accéder à ces filières dites d'"excellence" n'est jamais neutre. Pour les femmes noires, c'est à la fois une ascension et une épreuve : il faut se battre pour entrer, prouver pour rester, se taire parfois pour avancer. Ce sont des questions de légitimité, de regard social, de solitude souvent, de fatigue toujours.
Mais c'est aussi une histoire de résilience, de stratégie, de réinvention. Derrière chaque parcours, il y a des renoncements, des solidarités discrètes, des rêves qu'on a dû reformuler — mais aussi des ambitions qu'on affirme enfin, à voix haute.
Parler de la place des femmes noires dans les grandes études, ce n'est pas seulement parler d'éducation ou de réussite. C'est parler de pouvoir, de classe, de race, de genre. C'est interroger les portes qui se ferment, les plafonds qui persistent, et les silences institutionnels qui les entourent.
Il est temps de faire de la place. Mieux : de la leur laisser, sans condition.
Dans cette nouvelle table ronde, RDV Qissas, Ahouefa, Ireti et Daly nous racontent leur histoire, leur parcours et comment tous les jours elles œuvrent pour cette place dans un monde qui ne semble pas vouloir leur en laisser.
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