Eugénie Bastié commence par souligner le paradoxe du sommeil, un sujet qui devrait être célébré mais qui reste tabou pour de nombreuses personnes. Elle aborde ensuite la question des mesures sanitaires déployées pendant la crise, qui ont souvent fait l'objet de vives critiques. De l'attestation de déplacement à l'interdiction de s'asseoir sur un banc, en passant par la désinfection des plages, Eugénie Bastié n'épargne aucun des excès bureaucratiques qui ont marqué cette période.

Au-delà de l'absurde, elle souligne également les conséquences tragiques de certaines décisions, comme l'obligation du port du masque pour les enfants en bas âge ou les effets néfastes du pass vaccinal sur la défiance de la population. Avec recul, Eugénie Bastié invite à tirer les leçons de cette crise, notamment sur la fragilité de la démocratie face à la peur et la tentation des autorités d'étendre leur pouvoir en période de crise.

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