Je pense que c'est vachement des moments seul·e. Des moments de souvenirs, et de pensées nouvelles. D'imagination. 1 peu de passage entre des temps passés et futurs. Comment est-ce que ce que tu fais avec 1 personne va changer ta manière de voir le futur. Et du coup : d'imaginer. Enfin de créer 1 vie quoi.
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Rosanna et moi avions rdv à 11h. On ne se connaissait pas, c'est Romain (quasiinterviewé l'été dernier) qui a fait le pont sur la rivière. Et la rivière est courte : nous habitons l'1 de l'autre à 2 minutes en vélo, ce qui m'a permis de partir de chez moi à 11h05 (ça vient d'où ce truc du quart d'heure de politesse ?).
Dans le salon de Rosanna, il y avait beaucoup de soleil, ses croissants + mes croissants. Aussi du café dans 1 toute petite cafetière italienne, dans laquelle Rosanna remet de l'eau chaude sans changer le café de la tournée précédente. Bon, depuis, je fais ça chez moi aussi, j'adore, 1000 cafés avec le même café déjà cramé.
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Pendant les présentations pré-enregistrement, Rosanna a dit 𝘊'𝘦𝘴𝘵 𝘱𝘰𝘴𝘴𝘪𝘣𝘭𝘦 𝘲𝘶𝘦 𝘫𝘦 𝘵𝘦 𝘤𝘰𝘶𝘱𝘦 𝘴𝘰𝘶𝘷𝘦𝘯𝘵 𝘭𝘢 𝘱𝘢𝘳𝘰𝘭𝘦, ç𝘢 𝘵𝘦 𝘥𝘦𝘳𝘢𝘯𝘨𝘦 𝘱𝘢𝘴 ? Moi ça me dérangeait pas du tout, et j'ai fait pareil. Mais je me demande si je n'en ai pas abusé ! Le moment avec les pizzas vers la fin, surtout. Dans ma tête ça m'amusait les 2 histoires de Rosanna (1 ancien crush VS 1 ancienne pizzéria) qui allaient naturellement s'entrecroiser sans montage. A l'écoute, le passage est peut-être 1 peu exaspérant : 1000 excuses et cafés pour la fascination @judithsluter !
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Et puis après, ma tasse de café, encore, s'est renversée. Mais ça je l'ai coupé au montage parce qu'on s'en sortait plus avec toutes ces tentatives de discussion qui ne parvenaient pas à se rejoindre.
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A tout ça, y a de la musique gαввєя qui tente elle aussi de nous interrompre.
Enfin, 1 extrait de D'I'or, journal intime fictif d'1 crush qui répond pas (écrit et lu par Rosanna), arrive sur le tapis, et s'immisce lascivement à son tour dans notre discussion.
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version texte : dans_20_minutes_avec_rosanna.pdf

Je pense pas avoir d'ami·es qui ont 1 fun que je jalouse. Parce que quand je traine avec elleux, bah ce fun on l'a tous ensemble en même temps. Et il est aussi là parce que je suis là. C'est grave 1 fun de groupe. J'ai du fun aussi toute seule, mais je sais que si on est en groupe, ce fun que j'ai toute seule : doublement mieux.

🤪
Quand Jarance a brisé la glace en annonçant qu’elle préférait parler de 𝗙𝗨𝗡, j’étais 😱.
J’avais tout préparé en pensant évidement qu’on parlerait d'𝗔𝗠𝗢𝗨𝗥. Je voyais déjà la discussion: des relations à gogo qui se passent toutes du feu de dieu, des réunions tupperwares et des réunions fontaines de larmes, des baisers en chien de fusil, des vieilles explosées et des vieux rétamés jouant au strip-poker sur le plateau de 1000 vaches.
Et bah pas-du-tout!! Incroyable de quoi l'inconscient est fait.
😂
Jarance a dit 𝘑𝘦 𝘷𝘦𝘶𝘹 𝘱𝘢𝘳𝘭𝘦𝘳 𝘥𝘦 𝘍𝘜𝘕, et la timeline de la vie que j’avais fomentée a vacillé. Et puisque je suis très malléable, tout de suite j’ai pensé 𝘉𝘢𝘩 𝘣𝘪𝘦𝘯 𝘴𝘶𝘳! 𝘛𝘦𝘭𝘭𝘦𝘮𝘦𝘯𝘵 𝘮𝘪𝘦𝘶𝘹 𝘥𝘦 𝘱𝘢𝘳𝘭𝘦𝘳 𝘥𝘦 𝙁𝙐𝙉! 𝘌𝘩𝘦𝘩 𝘣𝘢𝘭𝘦𝘤 𝘭'𝘼𝙈𝙊𝙐𝙍? 𝘊𝘪𝘢𝘰 𝘣𝘺𝘦 𝘭𝘦 𝘭𝘰𝘷𝘦! 𝘈𝘳𝘳𝘪𝘷𝘦𝘳𝘥𝘪𝘤𝘪, 𝘵𝘰𝘶𝘵𝘦𝘴 𝘭𝘦𝘴 𝘳𝘰𝘶𝘵𝘦𝘴 𝘮è𝘯𝘦𝘯𝘵 𝘢𝘶 𝙁𝙐𝙉.
🤣
Après l'interview, chaque micro coupé (maintenant c'est toujours la même configuration: micro-cravate pour l'invité·e, micro-main pour moi) Jarance m'a confié pourquoi elle voulait pas parler d'amour. Et là j'ai re-été 😱. Bon je peux rien dire, mais vous seriez 😱 aussi. Enfin, peut être pas justement. Les inconscients sont si innatendus.
😋
ps: vous êtes plutôt chien ou plutôt fusil?
ouaf
version texXte : jarance_propose_de_parler_de_fun.pdf

En fait, ce que je dois vous dire, (pendant qu'Arthur est parti) c'est que je suis pas du tout 1 bon joueur. Je joue très mal. Je perds très souvent. Et du coup, je suis 1 très bon perdant. J'adore perdre.
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1 dimanche avant d'aller au travail, Carmen et moi on s'est get up super tôt pour aller à 1 foire de livre, admirer des éditions limitées en riso et des totes bags sérigraphiés. Après avoir embrasser les amix exposantEs ; j'ai croisé pour la 1ᵉʳᵉ fois Nicolas (juste avant que Jarance et moi nous nous rencontrions aussi, mais ça c'est l'épisode de jeudi prochain).

Le lendemain, je l'ai dm sur instagram.
Nicolas accepte l'interview et m'accueille la semaine suivante dans sa baignoire. Il porte 1 masque de soudeur et moi 1 t-shirt de bike mouillé. Ensuite j'ai regardé les flammes et je me souviens plus de rien!!

A mon réveil, Nicolas en bleu de travail m'offre des cerises et du thé. Moi comme toujours j'amène des viennoiseries ; mais en fait en pleine canicule à 16h c'est pas l'idéal.

J'étais 1 peu anxieux comme je le suis souvent lorsque je contacte des inconnu·es : j'ai peur de leur faire perdre leur temps. Et comme l'explique Arthur Thomas (le manager de 𝘌𝘶𝘳𝘰𝘱𝘦𝘢𝘯 𝘉𝘶𝘴𝘪𝘯𝘦𝘴𝘴 𝘈𝘷𝘪𝘢𝘵𝘪𝘰𝘯 𝘈𝘴𝘴𝘰𝘤𝘪𝘢𝘵𝘪𝘰𝘯) pour défendre les trajets en jet privé : 𝘖𝘯 𝘢𝘤𝘩𝘦𝘵𝘦 𝘥𝘶 𝘵𝘦𝘮𝘱𝘴 𝘢𝘷𝘦𝘤 1 𝘢𝘷𝘪𝘰𝘯 𝘥'𝘢𝘧𝘧𝘢𝘪𝘳𝘦. 𝘓𝘦 𝘵𝘦𝘮𝘱𝘴 𝘦𝘴𝘵 𝘭𝘢 𝘳𝘦𝘴𝘴𝘰𝘶𝘳𝘤𝘦 𝘭𝘢 𝘱𝘭𝘶𝘴 𝘤𝘩𝘦𝘳𝘦 𝘲𝘶𝘪 𝘦𝘹𝘪𝘴𝘵𝘦. 𝘚𝘢 𝘤𝘰𝘶𝘳𝘴𝘦 𝘦𝘴𝘵 𝘪𝘯𝘷𝘢𝘳𝘪𝘢𝘣𝘭𝘦, 𝘦𝘵 𝘭𝘦 𝘵𝘦𝘮𝘱𝘴 𝘱𝘦𝘳𝘥𝘶 𝘯𝘦 𝘴𝘦 𝘳𝘢𝘵𝘵𝘳𝘢𝘱𝘦 𝘱𝘢𝘴.

Du temps, Nicolas m'en partage.
Et magie de quasiinterview, l'épisode se démonte et construit tout seul : nous parlons dans la 1ᵉʳᵉ partie du plaisir enfantin à faire exploser des bouses de vaches ; et dans la 2ᵉᵐᵉ, de l'excitation adulte de bâtir soi-même son environnement.
Hier j'ai appelé Nicolas, il raccordait son chiotte aux égouts, il s'est enregistré, ça a marché ; vous pourrez l'entendre heureux aux WC au milieu du podcast.
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L'épisode s'appelle 1 ᑭIEᗪ-ᗪE-ᗷIᑕᕼE ᗪᗩᑎᔕ 1 ᗰᗩIᑎ - 1 ᗷIᔕOᑎ4 ᗪᗩᑎᔕ ᒪ'ᗩᑌTᖇE ; ᑎIᑕOᒪᗩᔕ ᗪEᖴOᑎᑕE ᑭᑌIᔕ ᖇEᗷᗩTIT

version texXxte : nicolas_defonce_puis_rebatit.pdf

C'est très agréable de pleurer ! Moi j'adore pleurer. Ça peut être les larmes, et ça peut être des choses beaucoup + sexy ahah. Ce son mouillé là, qu'est sympa. Ca peut être l'eau qu'on avale. Ca peut être la pluie. Voilà, la mer. C'est le mouvement, quoi. C'est le son en mouvement. Qui glisse. Hmm.
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1 semaine avant l’interview, Camille m’a téléphoné, pour savoir comment ça allait se passer. C’était la 1ère fois que ça m’arrivait. En rigolant, on s’est dit qu’on parlerait forcément de 𝓁𝑜𝓋𝑒, et finalement, quand on a stoppé l'enregistrement, on avait plutôt parlé de salaire et de crumble. Mais bon, j'imagine que tout le monde sait que l'argent sert à acheter les pommes, qu'on coupe en petits quartiers, 1h thermostat 8, et hop! 𝒷𝑜𝓃 𝒶𝓅𝓅é𝓉𝒾𝓉 𝓂𝑜𝓃 𝒶𝓂𝑜𝓊𝓇.

Camille et moi on ne se connaissait pas, c'est notre ami en commun Junior (précédemment interviewé) qui a conseillé qu'on se rencontre.
Junior dans son message introductif présente Camille comme quelqu1 aimant beaucoup jouer avec les mots ; ça a été vrai pendant tout l'entretien, surtout et heureusement à 17'04". Camille parlait d'eau, de larmes et de sons liquides sexy. J'entendais l'excitante réponse de Camille toucher à sa fin, et je n'avais toujours pas trouvé ma question suivante ;mon filet 𝘱𝘭𝘢𝘯-𝘴𝘦𝘲𝘶𝘦𝘯𝘤𝘦 était troué. D'1 toute petite voix fluette qui a bu la tasse, j'ai demandé sans conviction à Camille 𝘛𝘶 𝘴𝘶𝘳𝘧𝘦𝘴 ? Et Camille a répondu du tac au tac 𝘕𝘰𝘯. 𝘚𝘢𝘶𝘧 𝘴𝘶𝘳 𝘭𝘦 𝘸𝘦𝘣.
Ce qui nous a fait rebondir ensuite entre les vagues facebook de neurchi de dates claqués, puis l'elixir de jouvence humour-colère, les espoirs en Pap Ndiaye, pour enfin accoster sur son amoureux.
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On a discuté dans la cour intérieur de Camille, parmi les oiseaux et la playlist d'1 voisinE, qui écoutait Major Lazer. Au lycée, c'était 𝘎𝘦𝘵 𝘍𝘳𝘦𝘦 mon réveil le matin. Là je viens d'avoir la chaire de chick en la réecoutant, g flippé de pas avoir fait mes exercices de maths!! lol √25??? Aujourd'hui mon réveil c'est 1 musique de Audrey Carmes, je crois pas qu'elle soit au courant que sa voix est la 1ère chose que j'entends le matin. Ca me met de bonne humeur, même les jours de pluie.
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L'épisode s'appelle : 1 ᒪᗩᖇᗰE, ᗪᑌ ᑕᒪᗩᔕᕼ ET ᗪEᔕ ᑭOᗰᗰEᔕ ; ᑕᗩᗰIᒪᒪE ᑭᗩᖇTᗩGE ᔕEᔕ ᖇEᑕETTEᔕ ᗪE ᑕᖇᑌᗰᗷᒪE
version texte: camille_partage_ses_recettes_de_crumble.pdf
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Après moi j'aime ça, je trouve ça chouette. Je trouve que c'est des moments trop bien de grandir avec quelqu1 en fait. La seule chose qui me ferait chier c'est qu'elle soit hétéro. Ahah. Mais à part ça, elle peut vivre la vie qu'elle veut quoi !
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Veille de 1ère canicule - semaine d'entre-deux-tours ; on a encore 1 micro espoir que la 𝔫𝔲𝔭𝔢𝔰 remporte 1 majorité absolue à l'Assemblée, que l'été ne soit ni trop chaud ni trop orageux, que notre crush nous invite à Montpellier.
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C'est la mi-juin, on est mardi ; Vincent me reçoit dans son salon. A l'étage, 1 peu fiévreuse, Zelda se repose devant Pokémon.
Vincent et moi on se connaissait pas, c'est notre copine Mia qui nous a conseillé de nous rencontrer pour enregistrer 1 quasiinterview.

Mes derniers entretiens dataient d'avant mon voyage de noces, ça faisait 1 bon gros bail et du coup, sur mon vélo pour aller chez lui, j'étais 1 peu tendu j'avoue!!
La semaine d'avant, j'ai INVESTI dans des MICROS CRAVATESʷᵒʷ. Vincent en a pinsé 1 au col de son t-shirt et moi aussi, et on a commencé à discuter de jeux vidéos. La configuration et les fauteuils du salon me donnait l'impression de ressembler à 1 étudiant en L3 de psycho, j'avais 1 peu peur de gêner Vincent. En + après on a parlé de paternité, d'enfance et de câlins, boum boum boum en plein dans le 1҉0҉0҉0҉ ; c'est trop beau ce que désire Vincent. Et ses doutes aussi.

Il y a beaucoup de très jolis livres dans le salon de Vincent, et des posters.

Au milieu de l'interview, Zelda nous a fait coucou, et aussi pour prévenir Vincent que l'épisode de Pokémon était terminé et que ce serait cool de mettre play le suivant. Zelda aimerait trop regarder avec son père les dessins animés. Il promet qu'il la rejoindra pour le prochain.

Vincent et moi nous quittons, je suis grave heureux de l'avoir rencontré, et Zelda aussi. On dit qu'on aime trop Mia, et qu'on aimerait bien se revoir, à 3 peut être.
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L'épisode s'appelle : ᔕᑌᑭEᖇ ᐯIᑎᑕEᑎT ᗯOᖇᒪᗪ®, ᑭEᑎᗪᗩᑎT ᑫᑌE ᘔEᒪᗪᗩ ᖇEGᗩᖇᗪE ᑭOKéᗰOᑎ
Et la musique s'appelle : trimetaforce - metapodestroyer (takeninake records))
version texte: super_vincent_world.pdf
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Donc généralement je le prends ou je la prends à l'extérieur. Je lui dis Ecoute (je commence sympa) t'es quelqu1 d'intelligent·e, je comprends pas pourquoi tu fais ça. Ca peut se passer différemment. Et ça peut marcher. Ca marche très souvent.

Par exemple je pense au cerveau. C'est tout. Je pense à l'écart qu'il y a entre l'image de moi et du monde, comme ça ; et le support de tout ça, qui est mon cerveau. Tu vois. Et juste je me dis Moi je suis aussi ça. Je suis aussi cette espèce de masse, cette espèce de masse informe quoi, c'est au centre de moi. Tu vois ? Ca ça me fait peur. Ca me fait très peur.

Bah s'imaginer quand on est seul·e, comme on le fait quand on est petit·e ; s'imaginer être quelqu1 d'autre. Par exemple s'imaginer être dans 1 lieu autre. C'est super sain à mon avis, de pouvoir multiplier ses personnages, ses égos. Moi j'adore dire que pour avoir 1 égo sain, pour avoir 1 paix avec toi-même ; il faut se démultiplier. Et accepter être d'autres personnes, et d'autres personnages.

Tu vois ce que je veux dir.. Voilà ! C'est exactement ça : tout était poésie, et le coca était prose ; tandis que les shots, tout était prose et les shots étaient poésie. C'était très différent.

version texte

1 peau contre 1 peau, c'est 1 peau qui souffre 1 autre peau, c'est des peaux qui s'entresouffrent, et qui d'1 certaine manière aussi, qui s'entrejouissent. Je sais pas, on va risquer le néologisme.

version texte