Nous vous parlons cette semaine de la situation en Algérie. Un an après les soulèvements populaires, les Algériens appellent toujours à un changement démocratique et au respect de leurs droits fondamentaux.
Des dizaines de manifestants et d’activistes y sont toujours en prison un an après le début des manifestations en faveur de la démocratie. Après les élections présidentielles de décembre 2019, les autorités ont remis en liberté de nombreux activistes incarcérés, mais des figures emblématiques du mouvement emprisonnées depuis septembre ou octobre derniers se trouvent toujours derrière les barreaux.
Nos invités sont Miloud Chennoufi du département d’études de la défense au Collège des Forces canadiennes Toronto et Sara Nacer, Cette Montréalaise d'origine algérienne a réalisé le documentaire engagé «Qu'ils partent tous».
Écoutez ou regardez Tam-Tam Canada du vendredi 28 février 2020 - 44:41
ÉcoutezFR_Tam_tam_Canada-20200228-WEF15
Découvrez nos articles les plus récents sur l'Algérie
Algérie : « Tout le monde doit partir, pas seulement les têtes d’affiche »
Samir Bendjafer, journaliste à la section arabe de Radio Canada International, était de passage à Alger tout de suite après l’annonce de la prochaine présidentielle. Il rend compte, au micro de Maryse Jobin, du climat politique qui règne en Algérie après sept mois de contestation populaire.
Décès d’Ahmed Gaïd Salah, homme fort de l’Algérie
Le général Ahmed Gaïd Salah, puissant chef de l’armée algérienne, l’« homme fort de l’Algérie », connu également pour avoir poussé l’ex-président Abdelaziz Bouteflika à démissionner, est décédé lundi à l’âge de 79 ans d’une crise cardiaque selon la présidence algérienne. Il aussitôt été remplacé par un autre militaire.
Algérie : la rue ne digère pas l’élection d’un ex-fidèle de Bouteflika
Tebboune a reçu l’appui de 58,15 % des personnes qui ont voté selon l’Autorité nationale des élections (ANIE), mais le taux de participation n’a été que de 39,83 %. Il s’agit du plus faible taux de l’histoire des élections présidentielles pluralistes de ce pays du Maghreb.
L’art pour soutenir la révolution du sourire en Algérie
Depuis le 22 février 2019, une révolution populaire pacifique et unique au monde est en marche en Algérie. Le soutien de la diaspora algérienne au Canada à la révolution du sourire qui balaie l’Algérie depuis le 22 février dernier n’est pas que politique. Aussi, il ne se résume pas aux manifestations hebdomadaires qui se tiennent depuis près de neuf mois au centre-ville de Montréal.
Le rôle de la diaspora dans la transition en Algérie
Une année après le déclenchement du mouvement populaire en Algérie, un regroupement de plusieurs partis et associations de la société civile algérienne, le Pacte de l’alternative démocratique (PAD), appelle à la tenue des « assises nationales pour l’alternative démocratique et la souveraineté populaire ».
L’expertise canadienne en aéronautique au service des étudiants en Algérie
La coopération dans le domaine aéronautique entre le Canada et l’Algérie est solide. Sur l’initiative de l’Algéro-Canadien, Abdelkader Kherrat, ingénieur chez Bombardier et enseignant à l’École polytechnique de Montréal, s’est tenu récemment en Algérie une compétition en aéronautique.
Développer les entreprises émergentes en Algérie avec l’expertise canadienne
Des membres de la diaspora algérienne au Canada se réuniront à la mi-février à Montréal pour discuter de la relance du développement économique de leur pays d’origine à partir de leur pays d’adoption. Deux associations d’Algériens du Canada ont uni leurs efforts pour organiser cet événement.
Le meilleur de la semaine en images
window.jQuery || document.write('