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Or
Dans l’est de la République démocratique du Congo, la situation reste alarmante. Médecins sans frontières annonce avoir pris en charge près de 40 000 femmes en 2024 pour des problématiques liées aux violences sexuelles. Un chiffre inédit, reflet d’une crise qui perdure. Depuis la prise de Goma en janvier 2025 par le groupe armé AFC/M23, le nombre de victimes ne baisse pas. Les équipes médicales de MSF constatent au contraire une situation toujours plus préoccupante, dans un contexte de guerre où les violences sexuelles sont utilisées comme arme. Frédéric Germain, coordinateur de projet MSF sur place, détaille cette situation dramatique.
À lire aussiRDC: MSF tire à nouveau le signal d'alarme face à la hausse des violences sexuelles dans l'est
Dans l’est de la République démocratique du Congo, la situation reste alarmante. Médecins sans frontières annonce avoir pris en charge près de 40 000 femmes en 2024 pour des problématiques liées aux violences sexuelles. Un chiffre inédit, reflet d’une crise qui perdure. Depuis la prise de Goma en janvier 2025 par le groupe armé AFC/M23, le nombre de victimes ne baisse pas. Les équipes médicales de MSF constatent au contraire une situation toujours plus préoccupante, dans un contexte de guerre où les violences sexuelles sont utilisées comme arme. Frédéric Germain, coordinateur de projet MSF sur place, détaille cette situation dramatique.
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