Robert Werner, correspondant de l’Académie des beaux-arts, lit cette semaine « Heureux qui comme Ulysse » de Joachim Du Bellay (1522-1560), extrait de Regrets.

Robert Werner, correspondant de l’Académie des beaux-arts, lit cette semaine le plus beau vers de la langue française de René de Obaldia, élu à l’Académie française le 24 juin 1999.

Robert Werner, correspondant de l’Académie des beaux-arts, lit cette semaine Les animaux qui demandent des fables, de Jean de La Fontaine (1621-1695).

Robert Werner lit Couvre-feu, de Paul Eluard (1895-1952), extrait du recueil Poésie et vérité.

Robert Werner, correspondant de l’Académie des beaux-arts, lit cette semainePlus ne suis ce que j’ai été , un poème de Clément Marot (1496-1544)

Robert Werner, correspondant de l’Académie des beaux-arts, lit cette semaine Rondeau, un poème de Charles d’Orléans (1394-1465).

Robert Werner, correspondant de l’Académie des beaux-arts, lit cette semaine La Grieche d’hiver, un poème de Rutebeuf (1230-1285).

Robert Werner, correspondant de l’Académie des beaux-arts, lit cette semaine L’hiver qui vient, un poème de Jules Laforgue (1860-1887) issu de son recueil posthume Derniers vers.

Robert Werner, correspondant de l’Académie des beaux-arts, lit cette semaine Complainte amoureuse, d’Alphonse Allais (1854-1905).

Robert Werner, correspondant de l’Académie des beaux-arts, lit cette semaine Mes occupations et Qui je fus, d’Henri Michaux (1899-1984).