#EP33 — « 𝐍𝐞́𝐨-𝐛𝐚𝐧𝐪𝐮𝐞 𝐯𝐞𝐫𝐭𝐞 ? 𝐎𝐧 𝐧𝐞 𝐝𝐢𝐭 𝐩𝐚𝐬 𝐜̧𝐚 𝐢𝐜𝐢. »

Maeva Courtois évite ce terme.

Parce qu’helios.do 𝐧’𝐚 𝐩𝐚𝐬 — 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐥’𝐢𝐧𝐬𝐭𝐚𝐧𝐭 — 𝐝’𝐚𝐠𝐫𝐞́𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐛𝐚𝐧𝐜𝐚𝐢𝐫𝐞, et parce que son ambition dépasse largement l’idée d’une simple “banque verte”.

Le déclic vient quelques années plus tôt.

Elle travaille en finance quantitative.

Tout est chiffres.

Rien n’est impact.

On lui propose de lancer un pôle ESG.

Elle ne comprend pas vraiment.

Alors elle plonge dans les rapports du GIEC, les analyses sectorielles…

Et elle réalise :

👉 𝐬𝐢 𝐨𝐧 𝐜𝐨𝐧𝐧𝐚𝐢̂𝐭 𝐥𝐚 𝐭𝐫𝐚𝐣𝐞𝐜𝐭𝐨𝐢𝐫𝐞 𝐜𝐥𝐢𝐦𝐚𝐭𝐢𝐪𝐮𝐞, 𝐩𝐨𝐮𝐫𝐪𝐮𝐨𝐢 𝐥𝐚 𝐟𝐢𝐧𝐚𝐧𝐜𝐞 𝐧𝐞 𝐜𝐡𝐚𝐧𝐠𝐞 𝐩𝐚𝐬 ?

👉 𝐞𝐭 𝐩𝐨𝐮𝐫𝐪𝐮𝐨𝐢 𝐩𝐞𝐫𝐬𝐨𝐧𝐧𝐞 𝐧𝐞 𝐫𝐞𝐠𝐚𝐫𝐝𝐞 𝐜𝐞 𝐪𝐮𝐞 𝐥’𝐚𝐫𝐠𝐞𝐧𝐭 𝐟𝐢𝐧𝐚𝐧𝐜𝐞 𝐯𝐫𝐚𝐢𝐦𝐞𝐧𝐭 ?

Autour d’elle, on lui dit :

« Maeva, tu es extrêmement déprimante. »

La phrase vient de Julia.

Qui deviendra… sa cofondatrice.

En 2020, elles lancent Helios.

𝐔𝐧𝐞 𝐚𝐥𝐭𝐞𝐫𝐧𝐚𝐭𝐢𝐯𝐞 𝐛𝐚𝐧𝐜𝐚𝐢𝐫𝐞 𝐭𝐫𝐚𝐧𝐬𝐩𝐚𝐫𝐞𝐧𝐭𝐞.

Avec une idée simple : 𝐨𝐫𝐢𝐞𝐧𝐭𝐞𝐫 𝐥𝐞𝐬 𝐝𝐞́𝐩𝐨̂𝐭𝐬 𝐯𝐞𝐫𝐬 𝐥𝐚 𝐭𝐫𝐚𝐧𝐬𝐢𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐞𝐭 𝐩𝐫𝐨𝐦𝐨𝐮𝐯𝐨𝐢𝐫 𝐜𝐡𝐚𝐪𝐮𝐞 𝐩𝐫𝐨𝐣𝐞𝐭 𝐟𝐢𝐧𝐚𝐧𝐜𝐞́.

Centrale solaire en Nouvelle-Calédonie.

Recyclage de produits complexes.

Zéro greenwashing.

Aujourd’hui :

👉 +𝟏𝟐 𝐌€ 𝐥𝐞𝐯𝐞́𝐬

👉 𝟓𝟎 𝟎𝟎𝟎 𝐜𝐥𝐢𝐞𝐧𝐭𝐬

👉 𝐨𝐛𝐣𝐞𝐜𝐭𝐢𝐟 : 𝟕𝟎 𝟎𝟎𝟎

👉 internalisation de la tech

Pendant sa dernière levée de fonds, Maeva reçoit un message inattendu :

Charles Egly (Younited ).

Elle lui dit que c’est « trop tard ».

La levée est presque bouclée.

Mais l’histoire bascule.

Les discussions s’enchaînent.

Les visions s’alignent.

Et quelques mois plus tard :

👉 helios.do 𝐞𝐬𝐭 𝐫𝐚𝐜𝐡𝐞𝐭𝐞́𝐞 𝐩𝐚𝐫 Younited.

Une nouvelle étape dans le développement d’Hélios — et ce n’est probablement que le début de l’aventure. Ne manquez pas le dernier épisode de Serial VC

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Disclaimer : L'investissement dans les actifs numériques comporte un risque de perte partielle ou totale du capital investi. Les performances passées ne préjugent pas des performances futures. Cette communication ne constitue pas un conseil en investissement.

Résumé de l’épisode :

Dans cet épisode de Serial VC, Alexandre Roubaud, fondateur de Bitstack, revient sur sa découverte du Bitcoin au Canada et sur le moment où il comprend que cette technologie peut devenir un véritable outil d’épargne, simple et accessible.

De son enfance à Aix-en-Provence à son intégration dans Y Combinator, il raconte les étapes qui l’ont amené à créer l’application d’épargne Bitcoin la plus utilisée en France.

Dans cet épisode, vous découvrirez :

• Comment Alexandre découvre le Bitcoin entre 300$ et 1 000$ en 2016
• Pourquoi il voit le Bitcoin avant tout comme un instrument d’épargne
• Les débuts et les ambitions de Bitstack
• Comment l’app transforme automatiquement la monnaie restante de chaque paiement en Bitcoin
• Les coulisses de sa sélection à Y Combinator
• Sa vision de l’entrepreneuriat, de la discipline et de la finance personnelle

À propos d’Alexandre Roubaud :

Entrepreneur français et passionné de finance personnelle, il cofonde Bitstack en 2021 avec une mission claire : rendre l’épargne Bitcoin accessible au plus grand nombre grâce à une expérience simple, automatisée et pédagogique.

Écoutez l’épisode complet :

Disponible sur toutes les plateformes : Spotify, Apple Podcasts, YouTube et plus.

Liens vers Bitstack :

http://www.bitstack-app.com/download

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EP31 – « Madame, on ne parle pas de casseroles ici. »

Les parents de Sandra Budimir sont croates.  

Quand la guerre des Balkans éclate dans les années 90, eux vivent déjà en France — mais une partie de leur famille est restée là-bas.  

👉 Des villages détruits.  

👉 Des proches appelés au front.  

👉 Plus d’école, plus de travail, plus d’avenir.  

Ses parents veulent les faire venir.  

Mais ils refusent.  

Parce que partir, c’était capituler.  

Sandra grandit avec cette idée gravée en elle : la discipline, le courage et la souveraineté ne se négocient pas.  

Par hasard, elle entre chez Altran.  

Elle découvre l’ingénierie d’affaires, s’impose dans l’aérospatiale et la défense, et construit une carrière à l’international.  

Dans un milieu encore très fermé, elle entend un jour cette phrase :  

« Ce n’est pas sérieux, madame. Ici, on ne parle pas de casseroles et de vaisselle. »  

Une remarque qui symbolise tout un système : celui d’un secteur verrouillé depuis 50 ans.  

Alors elle décide de le bousculer.  

Avec un ancien collègue, elle cofonde Starburst, un cabinet dédié à l’innovation dans l’aérospatiale et la défense.  

Puis elle crée BLAST, un programme d’accélération soutenu par la DGA, le CNES et des acteurs privés, pour faire émerger les startups.  

En 2021, elle franchit une nouvelle étape :  

Elle crée Expansion, un fonds de 100 M€ avec Charles Beigbeder et Ted, pour financer la deeptech européenne et défendre notre souveraineté technologique.  

Dans cet épisode de Serial VC, Sandra raconte comment la guerre a forgé sa vision et pourquoi l’Europe doit reprendre le contrôle de son destin technologique. 🚀  

---

🎧 Liens utiles :  

LinkedIn – Sandra Budimir : https://www.linkedin.com/in/sandrabudimir  

Expansion : https://expansion.vc  

Starburst : https://starburst.aero  

Serial VC – LinkedIn : https://www.linkedin.com/company/serialvc  

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#EP30 – « 𝐏𝐞𝐫𝐬𝐨𝐧𝐧𝐞 𝐧𝐞 𝐩𝐞𝐮𝐭 𝐝𝐢𝐫𝐞 𝐪𝐮𝐞 𝐥𝐞 𝐫𝐢𝐬𝐪𝐮𝐞 𝐜𝐲𝐛𝐞𝐫 𝐧𝐞 𝐯𝐚 𝐩𝐚𝐬 𝐬’𝐚𝐜𝐜𝐫𝐨𝐢𝐭𝐫𝐞.»

Jules Veyrat n’était pas destiné à l’assurance.

𝐒𝐩𝐨𝐫𝐭𝐢𝐟, 𝐥𝐞𝐜𝐭𝐞𝐮𝐫 𝐩𝐚𝐬𝐬𝐢𝐨𝐧𝐧𝐞́, il a même passé une année 𝐚̀ 𝐯𝐢𝐯𝐫𝐞 𝐚𝐯𝐞𝐜 𝐝𝐞𝐬 𝐩𝐞̂𝐜𝐡𝐞𝐮𝐫𝐬 𝐞𝐧 𝐀𝐥𝐚𝐬𝐤𝐚, 𝐝𝐚𝐧𝐬 𝐝𝐞𝐬 𝐩𝐥𝐚𝐧𝐭𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧𝐬 𝐝𝐞 𝐜𝐚𝐜𝐚𝐨 𝐚𝐮 𝐆𝐡𝐚𝐧𝐚.

𝐄𝐧 𝟐𝟎𝟏𝟗 , il a un ras-le-bol :

👉 𝐥𝐚 𝐯𝐚𝐧𝐢𝐭𝐞́ 𝐝𝐮 𝐬𝐭𝐚𝐫𝐭𝐮𝐩𝐞𝐫 𝐨𝐛𝐬𝐞́𝐝𝐞́ 𝐩𝐚𝐫 𝐥𝐞𝐬 𝐥𝐞𝐯𝐞́𝐞𝐬 𝐝𝐞 𝐟𝐨𝐧𝐝𝐬.

Il veut créer une boîte 𝐮𝐭𝐢𝐥𝐞, 𝐚𝐦𝐛𝐢𝐭𝐢𝐞𝐮𝐬𝐞 𝐞𝐭 𝐜𝐨𝐥𝐥𝐞𝐜𝐭𝐢𝐯𝐞.

C’est en échangeant avec des investisseurs américains qu’il découvre 𝐥𝐞 𝐫𝐢𝐬𝐪𝐮𝐞 𝐜𝐲𝐛𝐞𝐫 : 𝐮𝐧𝐞 𝐛𝐨𝐦𝐛𝐞 𝐚̀ 𝐫𝐞𝐭𝐚𝐫𝐝𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐥𝐞𝐬 𝐏𝐌𝐄 𝐞𝐭 𝐄𝐓𝐈 𝐞𝐮𝐫𝐨𝐩𝐞́𝐞𝐧𝐧𝐞𝐬.

💡𝐋’𝐢𝐝𝐞́𝐞 : 𝐩𝐫𝐨𝐭𝐞́𝐠𝐞𝐫 𝐥𝐞𝐬 𝐞𝐧𝐭𝐫𝐞𝐩𝐫𝐢𝐬𝐞𝐬 𝐜𝐨𝐧𝐭𝐫𝐞 𝐜𝐞 𝐫𝐢𝐬𝐪𝐮𝐞, 𝐠𝐫𝐚̂𝐜𝐞 𝐚̀ 𝐥’𝐚𝐬𝐬𝐮𝐫𝐚𝐧𝐜𝐞.

Mais rien n’était gagné.

𝐈𝐥 𝐥𝐞̀𝐯𝐞 𝟑𝐦€ 𝐬𝐮𝐫 𝐮𝐧 𝐏𝐏𝐓.

𝐄𝐬𝐬𝐮𝐢𝐞 𝐫𝐞𝐟𝐮𝐬 𝐬𝐮𝐫 𝐫𝐞𝐟𝐮𝐬 𝐝𝐞𝐬 𝐚𝐬𝐬𝐮𝐫𝐞𝐮𝐫𝐬.

Puis, le 10 décembre 2021, il vend sa première police cyber.

Aujourd’hui Stoïk compte :

✅ 𝟏𝟎 𝟎𝟎𝟎 𝐜𝐥𝐢𝐞𝐧𝐭𝐬

✅ 𝐮𝐧𝐞 𝐞́𝐪𝐮𝐢𝐩𝐞 𝐝’𝐢𝐧𝐭𝐞𝐫𝐯𝐞𝐧𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐢𝐧𝐭𝐞𝐫𝐧𝐚𝐥𝐢𝐬𝐞́𝐞 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐫𝐞́𝐩𝐨𝐧𝐝𝐫𝐞 𝐚𝐮𝐱 𝐚𝐭𝐭𝐚𝐪𝐮𝐞𝐬 𝐞𝐧 𝐮𝐫𝐠𝐞𝐧𝐜𝐞

Et une mission : 𝐩𝐫𝐨𝐭𝐞́𝐠𝐞𝐫 𝐥𝐞𝐬 𝟗𝟎% 𝐝’𝐞𝐧𝐭𝐫𝐞𝐩𝐫𝐢𝐬𝐞𝐬 𝐟𝐫𝐚𝐧𝐜̧𝐚𝐢𝐬𝐞𝐬 𝐞𝐧𝐜𝐨𝐫𝐞 𝐬𝐚𝐧𝐬 𝐚𝐬𝐬𝐮𝐫𝐚𝐧𝐜𝐞 𝐜𝐲𝐛𝐞𝐫.

Mais Jules ne s’arrête pas là.

Car ce risque ne s’arrête pas aux frontières.

𝐄𝐭 𝐥𝐞 𝐩𝐫𝐨𝐜𝐡𝐚𝐢𝐧 𝐬𝐢𝐧𝐢𝐬𝐭𝐫𝐞 𝐦𝐚𝐣𝐞𝐮𝐫 𝐧𝐞 𝐬𝐞𝐫𝐚 𝐩𝐚𝐬 𝐮𝐧𝐞 𝐪𝐮𝐞𝐬𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐞 « 𝐬𝐢 », 𝐦𝐚𝐢𝐬 𝐝𝐞 𝐪𝐮𝐚𝐧𝐝. »

C’est pourquoi Stoïk s’étend aujourd’hui à l’échelle européenne.

𝐀𝐯𝐞𝐜 𝐮𝐧𝐞 𝐜𝐨𝐧𝐯𝐢𝐜𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐬𝐢𝐦𝐩𝐥𝐞 : 𝐩𝐫𝐨𝐭𝐞́𝐠𝐞𝐫 𝐥𝐞𝐬 𝐏𝐌𝐄 𝐞𝐭 𝐄𝐓𝐈 𝐝𝐞 𝐭𝐨𝐮𝐭 𝐮𝐧 𝐜𝐨𝐧𝐭𝐢𝐧𝐞𝐧𝐭, 𝐚𝐯𝐚𝐧𝐭 𝐪𝐮’𝐢𝐥 𝐧𝐞 𝐬𝐨𝐢𝐭 𝐭𝐫𝐨𝐩 𝐭𝐚𝐫𝐝.

🎙️ 𝐋’𝐡𝐢𝐬𝐭𝐨𝐢𝐫𝐞 𝐜𝐨𝐦𝐩𝐥𝐞̀𝐭𝐞 𝐝𝐞 Jules 𝐞𝐭 𝐝𝐞 Stoïk 𝐞𝐬𝐭 𝐚̀ 𝐞́𝐜𝐨𝐮𝐭𝐞𝐫 𝐝𝐚𝐧𝐬 Serial VC !

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#EP29 – 𝐋𝐞 𝐣𝐨𝐮𝐫 𝐨𝐮̀ 𝐗𝐚𝐯𝐢𝐞𝐫 𝐍𝐢𝐞𝐥 𝐥𝐮𝐢 𝐚 𝐝𝐢𝐭 : “𝐓𝐮 𝐯𝐚𝐮𝐱 𝐦𝐢𝐞𝐮𝐱 𝐪𝐮𝐞 𝐜̧𝐚.”

La première fois qu’on s’est rencontrés, Adrien TOUATI m’a fait monter dans un van.

Direction : 𝐥𝐞𝐬 𝐥𝐨𝐜𝐚𝐮𝐱 𝐝𝐞 manager.one.

Une rencontre à son image — vive, généreuse.

Tout commence à 𝐕𝐢𝐥𝐥𝐞𝐭𝐚𝐧𝐞𝐮𝐬𝐞, 𝐞𝐧 𝟏𝟗𝟗𝟓.

Son père ramène un ordinateur de la fac.

Adrien a 13 ans.

Il tombe amoureux de la machine, s’en achète une autre avec l’argent de sa communion, et passe ses nuits à 𝐜𝐨𝐝𝐞𝐫.

Au lycée, il brille… puis décroche.

Trop passionné, pas assez scolaire.

Mais déjà 𝐨𝐛𝐬𝐞́𝐝𝐞́ 𝐩𝐚𝐫 𝐥𝐚 𝐭𝐞𝐜𝐡.

𝐏𝐫𝐞𝐦𝐢𝐞𝐫 𝐝𝐞́𝐜𝐥𝐢𝐜 : 𝐅𝐫𝐞𝐞.

Abonné n°5076, il écrit à 𝐗𝐚𝐯𝐢𝐞𝐫 𝐍𝐢𝐞𝐥 pour signaler un bug sur sa Freebox.

Le mail change tout.

Niel le repère, finance ses études et lui confie plusieurs projets :

👉 𝐅𝐫𝐞𝐞𝐀𝐧𝐠𝐞𝐥, 𝐮𝐧 𝐜𝐨𝐧𝐭𝐫𝐨̂𝐥𝐞 𝐩𝐚𝐫𝐞𝐧𝐭𝐚𝐥 𝐚𝐯𝐚𝐧𝐭 𝐥’𝐡𝐞𝐮𝐫𝐞

👉 𝐅𝐫𝐞𝐞𝐦𝐨𝐭𝐞, 𝐮𝐧𝐞 𝐭𝐞́𝐥𝐞́𝐜𝐨𝐦𝐦𝐚𝐧𝐝𝐞 𝐦𝐨𝐛𝐢𝐥𝐞

Après cette expérience, Adrien veut créer pour lui.

Il lance 𝐑𝐞𝐜𝐚𝐭𝐜𝐡, un guide télé interactif.

Télé-Loisirs cherche à se réinventer : ils s’associent.

Résultat : 𝐮𝐧 𝐦𝐢𝐥𝐥𝐢𝐨𝐧 𝐝’𝐮𝐭𝐢𝐥𝐢𝐬𝐚𝐭𝐞𝐮𝐫𝐬, puis 𝐮𝐧 𝐞𝐱𝐢𝐭 𝐚̀ 𝐏𝐫𝐢𝐬𝐦𝐚 𝐌𝐞𝐝𝐢𝐚.

𝐀𝐝𝐫𝐢𝐞𝐧 𝐚 𝟑𝟎 𝐚𝐧𝐬 𝐞𝐭 𝐝𝐞𝐯𝐢𝐞𝐧𝐭 𝐦𝐢𝐥𝐥𝐢𝐨𝐧𝐧𝐚𝐢𝐫𝐞.

Mais il ne s’arrête pas là.

En 2016, il fonde manager.one, la banque des entreprises.

Objectif : 𝐫𝐞𝐧𝐝𝐫𝐞 𝐥𝐚 𝐛𝐚𝐧𝐪𝐮𝐞 𝐚𝐮𝐬𝐬𝐢 𝐟𝐥𝐮𝐢𝐝𝐞 𝐪𝐮’𝐮𝐧𝐞 𝐚𝐩𝐩 𝐭𝐞𝐜𝐡.

Quatre ans plus tard, la société atteint l’équilibre — Une belle réussite dans la fintech.

𝐔𝐧𝐞 𝐨𝐟𝐟𝐫𝐞 𝐝𝐞 𝟓𝟎 𝐦𝐢𝐥𝐥𝐢𝐨𝐧𝐬 𝐝’𝐞𝐮𝐫𝐨𝐬 𝐚𝐫𝐫𝐢𝐯𝐞.

𝐈𝐥 𝐥𝐚 𝐫𝐞𝐟𝐮𝐬𝐞.

Aujourd’hui, Adrien applique ce qui fait sa force : 𝐬𝐢𝐦𝐩𝐥𝐢𝐟𝐢𝐞𝐫 𝐥𝐞 𝐜𝐨𝐦𝐩𝐥𝐞𝐱𝐞, 𝐚𝐯𝐞𝐜 𝐝𝐞𝐮𝐱 𝐯𝐚𝐥𝐞𝐮𝐫𝐬 𝐜𝐚𝐫𝐝𝐢𝐧𝐚𝐥𝐞𝐬 — 𝐛𝐢𝐞𝐧𝐯𝐞𝐢𝐥𝐥𝐚𝐧𝐜𝐞 𝐞𝐭 𝐫𝐞𝐜𝐨𝐧𝐧𝐚𝐢𝐬𝐬𝐚𝐧𝐜𝐞.

🎙️ 𝐋’𝐡𝐢𝐬𝐭𝐨𝐢𝐫𝐞 𝐜𝐨𝐦𝐩𝐥𝐞̀𝐭𝐞 𝐝’𝐀𝐝𝐫𝐢𝐞𝐧 𝐞𝐬𝐭 𝐚̀ 𝐞́𝐜𝐨𝐮𝐭𝐞𝐫 𝐬𝐮𝐫 Serial VC

Lien en commentaire.

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#EP28 — 𝟒𝟎 𝐦𝐨𝐢𝐬𝐬𝐨𝐧𝐬

Un agriculteur ne vivra, en moyenne, que 𝟒𝟎 𝐦𝐨𝐢𝐬𝐬𝐨𝐧𝐬 dans toute sa vie.

À l’échelle d’une vie, c’est peu.

Et 𝐜𝐡𝐚𝐪𝐮𝐞 𝐦𝐨𝐢𝐬𝐬𝐨𝐧 𝐜𝐨𝐦𝐩𝐭𝐞.

Au fil des années, Félix BONDUELLE et son associé, Vindicien Delcourt ont fait un constat :

👉 𝐥𝐞 𝐬𝐭𝐨𝐜𝐤𝐚𝐠𝐞 𝐝𝐞𝐬 𝐜𝐞́𝐫𝐞́𝐚𝐥𝐞𝐬 𝐫𝐞𝐬𝐭𝐞 𝐮𝐧 𝐝𝐞́𝐟𝐢 𝐦𝐚𝐣𝐞𝐮𝐫.

👉 𝐚̀ 𝐥𝐚 𝐟𝐞𝐫𝐦𝐞, les outils et la formation ne suffisent pas toujours.

👉 𝐥𝐞𝐬 𝐜𝐨𝐨𝐩𝐞́𝐫𝐚𝐭𝐢𝐯𝐞𝐬 doivent gérer des volumes énormes avec des moyens limités.

👉 𝐞𝐭 𝐥𝐞𝐬 𝐧𝐞́𝐠𝐨𝐜𝐢𝐚𝐧𝐭𝐬 se détournent progressivement de l’investissement dans le stockage.

De ce constat est née Javelot.

Une solution qui permet non seulement 𝐝𝐞 𝐩𝐢𝐥𝐨𝐭𝐞𝐫 𝐥𝐞 𝐫𝐞𝐟𝐫𝐨𝐢𝐝𝐢𝐬𝐬𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐝𝐞𝐬 𝐜𝐞́𝐫𝐞́𝐚𝐥𝐞𝐬, mais aussi 𝐝’𝐨𝐩𝐭𝐢𝐦𝐢𝐬𝐞𝐫 𝐥’𝐞𝐧𝐬𝐞𝐦𝐛𝐥𝐞 𝐝𝐞𝐬 𝐟𝐥𝐮𝐱 𝐝𝐞 𝐬𝐭𝐨𝐜𝐤𝐚𝐠𝐞.

Avec un objectif clair : 𝐩𝐫𝐞́𝐬𝐞𝐫𝐯𝐞𝐫 𝐥𝐚 𝐯𝐚𝐥𝐞𝐮𝐫 𝐝𝐮 𝐠𝐫𝐚𝐢𝐧 — cette matière vivante qui fournit 𝐥𝐚 𝐦𝐨𝐢𝐭𝐢𝐞́ 𝐝𝐞𝐬 𝐜𝐚𝐥𝐨𝐫𝐢𝐞𝐬 𝐜𝐨𝐧𝐬𝐨𝐦𝐦𝐞́𝐞𝐬 𝐝𝐚𝐧𝐬 𝐥𝐞 𝐦𝐨𝐧𝐝𝐞.

Mais 𝐢𝐧𝐧𝐨𝐯𝐞𝐫 𝐝𝐚𝐧𝐬 𝐥’𝐚𝐠𝐫𝐢𝐜𝐮𝐥𝐭𝐮𝐫𝐞 𝐧’𝐚 𝐫𝐢𝐞𝐧 𝐝’𝐞́𝐯𝐢𝐝𝐞𝐧𝐭.

Un secteur attaché à ses habitudes, réticent au changement.

Un temps long, là où la technologie vit dans l’urgence. Et une vérité : 𝐬𝐚𝐧𝐬 𝐜𝐨𝐧𝐟𝐢𝐚𝐧𝐜𝐞, 𝐫𝐢𝐞𝐧 𝐧’𝐚𝐯𝐚𝐧𝐜𝐞.

Dans cet épisode de Serial VC, Félix raconte 𝐥’𝐞́𝐪𝐮𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐞𝐧𝐭𝐫𝐞 𝐚𝐠𝐫𝐢𝐜𝐮𝐥𝐭𝐮𝐫𝐞 𝐞𝐭 𝐭𝐞𝐜𝐡𝐧𝐨𝐥𝐨𝐠𝐢𝐞, 𝐥𝐚 𝐪𝐮𝐞̂𝐭𝐞 𝐝𝐞 𝐬𝐨𝐮𝐯𝐞𝐫𝐚𝐢𝐧𝐞𝐭𝐞́ 𝐚𝐥𝐢𝐦𝐞𝐧𝐭𝐚𝐢𝐫𝐞 𝐞𝐭 𝐥𝐚 𝐯𝐢𝐬𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐞𝐫𝐫𝐢𝐞̀𝐫𝐞 𝐉𝐚𝐯𝐞𝐥𝐨𝐭.

👉 Lien du podcast en commentaire.

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#EP27 – 𝐉’𝐚𝐢 𝟏𝟐 𝐚𝐧𝐬. 𝐉𝐞 𝐬𝐮𝐢𝐬 𝐦𝐚𝐥𝐚𝐝𝐞, 𝐢𝐥 𝐞𝐬𝐭 𝟕𝐡, 𝐞𝐭 𝐦𝐚 𝐦𝐞̀𝐫𝐞 𝐚𝐩𝐩𝐞𝐥𝐥𝐞 𝐥𝐞 𝐦𝐞́𝐝𝐞𝐜𝐢𝐧 𝐞𝐧 𝐛𝐨𝐮𝐜𝐥𝐞.

En 2012, 𝐫𝐞́𝐬𝐞𝐫𝐯𝐞𝐫 𝐮𝐧 𝐫𝐞𝐧𝐝𝐞𝐳-𝐯𝐨𝐮𝐬 𝐞𝐧 𝐥𝐢𝐠𝐧𝐞 ? 𝐈𝐦𝐩𝐨𝐬𝐬𝐢𝐛𝐥𝐞.

Pas d’appli, pas de réservation en ligne : 𝐣𝐮𝐬𝐭𝐞 𝐝𝐞𝐬 𝐬𝐭𝐚𝐧𝐝𝐚𝐫𝐝𝐬 𝐬𝐚𝐭𝐮𝐫𝐞́𝐬 𝐞𝐭 𝐝𝐞𝐬 𝐬𝐞𝐜𝐫𝐞́𝐭𝐚𝐫𝐢𝐚𝐭𝐬 𝐝𝐞́𝐛𝐨𝐫𝐝𝐞́𝐬.

C’est dans ce contexte que Benoit Grassin 𝐜𝐨𝐟𝐨𝐧𝐝𝐞 MonDocteur.

En même temps qu’une autre startup encore inconnue : Doctolib

Les deux équipes se croisent dans les mêmes salles d’attente, prospectent les mêmes médecins, 𝐬𝐞 𝐥𝐢𝐯𝐫𝐞𝐧𝐭 𝐮𝐧𝐞 𝐠𝐮𝐞𝐫𝐫𝐞 𝐜𝐨𝐦𝐦𝐞𝐫𝐜𝐢𝐚𝐥𝐞 𝐬𝐚𝐧𝐬 𝐦𝐞𝐫𝐜𝐢. Chaque rendez-vous décroché est une victoire, chaque médecin signé, un territoire gagné.

𝐐𝐮𝐞𝐥𝐪𝐮𝐞𝐬 𝐚𝐧𝐧𝐞́𝐞𝐬 𝐩𝐥𝐮𝐬 𝐭𝐚𝐫𝐝, 𝐌𝐨𝐧𝐃𝐨𝐜𝐭𝐞𝐮𝐫 𝐬𝐞𝐫𝐚 𝐫𝐚𝐜𝐡𝐞𝐭𝐞́ 𝐩𝐚𝐫 𝐃𝐨𝐜𝐭𝐨𝐥𝐢𝐛.

Un exit subi, mais aussi une première leçon : 𝐥𝐞𝐬 𝐢𝐝𝐞́𝐞𝐬 𝐧𝐞 𝐜𝐨𝐦𝐩𝐭𝐞𝐧𝐭 𝐩𝐚𝐬, 𝐬𝐞𝐮𝐥𝐞 𝐥’𝐞𝐱𝐞́𝐜𝐮𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐟𝐚𝐢𝐭 𝐥𝐚 𝐝𝐢𝐟𝐟𝐞́𝐫𝐞𝐧𝐜𝐞.

Benoît repart alors de zéro avec Pixpay.

Son constat : 𝐥𝐞𝐬 𝐛𝐚𝐧𝐪𝐮𝐞𝐬 𝐭𝐫𝐚𝐝𝐢𝐭𝐢𝐨𝐧𝐧𝐞𝐥𝐥𝐞𝐬 𝐝𝐞́𝐥𝐚𝐢𝐬𝐬𝐞𝐧𝐭 𝐜𝐨𝐦𝐩𝐥𝐞̀𝐭𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐥𝐞𝐬 𝐣𝐞𝐮𝐧𝐞𝐬.

Pourtant, les ados dépensent, épargnent et veulent apprendre à gérer leur argent. Pixpay vient combler ce vide avec une néobanque pensée pour eux, donnant autonomie aux ados et visibilité aux parents.

𝐄𝐧 𝐪𝐮𝐞𝐥𝐪𝐮𝐞𝐬 𝐚𝐧𝐧𝐞́𝐞𝐬, 𝐏𝐢𝐱𝐩𝐚𝐲 𝐬’𝐢𝐦𝐩𝐨𝐬𝐞 𝐜𝐨𝐦𝐦𝐞 𝐮𝐧𝐞 𝐫𝐞́𝐟𝐞́𝐫𝐞𝐧𝐜𝐞 𝐞𝐧 𝐅𝐫𝐚𝐧𝐜𝐞 sur ce segment délaissé. Un marché jeune, mais stratégique, qui attire finalement le britannique GoHenry. 𝐑𝐞́𝐬𝐮𝐥𝐭𝐚𝐭 : 𝐮𝐧 𝐞𝐱𝐢𝐭 𝐜𝐡𝐨𝐢𝐬𝐢, 𝐜𝐞𝐭𝐭𝐞 𝐟𝐨𝐢𝐬-𝐜𝐢.

👉 𝐃𝐞𝐮𝐱 𝐞𝐱𝐢𝐭𝐬. 𝐃𝐞𝐮𝐱 𝐡𝐢𝐬𝐭𝐨𝐢𝐫𝐞𝐬.

Et une constante : exécuter mieux, plus vite, plus fort que les autres. Et Benoît n’en a sûrement pas fini avec l’entrepreneuriat….

🎙️ Je l'ai reçu sur Serial VC pour revenir sur ce parcours hors norme. Liens de l'épisode en commentaire.

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#EP26 — « 𝐃𝐚𝐧𝐬 𝐥’𝐢𝐧𝐯𝐞𝐬𝐭𝐢𝐬𝐬𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐬𝐨𝐜𝐢𝐚𝐥𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐫𝐞𝐬𝐩𝐨𝐧𝐬𝐚𝐛𝐥𝐞, 𝐭𝐮 𝐩𝐨𝐮𝐯𝐚𝐢𝐬 𝐟𝐢𝐧𝐚𝐧𝐜𝐞𝐫 𝐓𝐨𝐭𝐚𝐥 𝐄́𝐧𝐞𝐫𝐠𝐢𝐞𝐬. »

C’est ce paradoxe qui a poussé Joseph Choueifaty à créer Goodvest.

En pleine période Covid, il constate que les Français ont de l’épargne qui dort mais aucune solution crédible pour investir en accord avec leurs valeurs.

𝐈𝐥 𝐝𝐞́𝐜𝐢𝐝𝐞 𝐚𝐥𝐨𝐫𝐬 𝐝𝐞 𝐥𝐚𝐧𝐜𝐞𝐫 𝐥𝐞 𝐩𝐫𝐞𝐦𝐢𝐞𝐫 𝐜𝐨𝐧𝐭𝐫𝐚𝐭 𝐝’𝐚𝐬𝐬𝐮𝐫𝐚𝐧𝐜𝐞-𝐯𝐢𝐞 𝐚𝐥𝐢𝐠𝐧𝐞́ 𝐚𝐯𝐞𝐜 𝐥’𝐀𝐜𝐜𝐨𝐫𝐝 𝐝𝐞 𝐏𝐚𝐫𝐢𝐬. 𝐒𝐚𝐧𝐬 𝐞́𝐧𝐞𝐫𝐠𝐢𝐞𝐬 𝐟𝐨𝐬𝐬𝐢𝐥𝐞𝐬. 𝐒𝐚𝐧𝐬 𝐠𝐫𝐞𝐞𝐧𝐰𝐚𝐬𝐡𝐢𝐧𝐠.

Le chemin est semé d’embûches. Un an pour trouver un assureur. Des dizaines de refus d’investisseurs. Jusqu’à une rencontre clé chez Generali qui permettra enfin de lancer le produit.

Les résultats sont rapides. Dès la première année, Goodvest réunit : 

👉🏼 𝟓𝟎𝟎 𝐜𝐥𝐢𝐞𝐧𝐭𝐬 𝐞𝐭 𝟓 𝐦𝐢𝐥𝐥𝐢𝐨𝐧𝐬 𝐝’𝐞𝐮𝐫𝐨𝐬 𝐬𝐨𝐮𝐬 𝐠𝐞𝐬𝐭𝐢𝐨𝐧. 

Trois ans plus tard, c’est plus de :

👉🏼 𝟏𝟔 𝟎𝟎𝟎 𝐜𝐥𝐢𝐞𝐧𝐭𝐬, 𝟐𝟎𝟎 𝐦𝐢𝐥𝐥𝐢𝐨𝐧𝐬 𝐝’𝐞𝐮𝐫𝐨𝐬 𝐝’𝐚𝐜𝐭𝐢𝐟𝐬 𝐜𝐨𝐧𝐟𝐢𝐞́𝐬, 𝐞𝐭 𝐮𝐧 𝐨𝐛𝐣𝐞𝐜𝐭𝐢𝐟 𝐜𝐥𝐚𝐢𝐫 : 𝐚𝐭𝐭𝐞𝐢𝐧𝐝𝐫𝐞 𝐥𝐞 𝐦𝐢𝐥𝐥𝐢𝐚𝐫𝐝 𝐝’𝐢𝐜𝐢 𝟐𝟎𝟐𝟕.

Dans cet épisode de Serial VC , on parle d’investissement responsable, du système de retraite, et de la manière dont les Français gèrent leur argent.

Le lien est en commentaire.

𝐄𝐭 𝐜𝐞𝐭𝐭𝐞 𝐟𝐨𝐢𝐬, 𝐯𝐨𝐭𝐫𝐞 𝐞́𝐩𝐚𝐫𝐠𝐧𝐞 𝐧𝐞 𝐟𝐢𝐧𝐚𝐧𝐜𝐞𝐫𝐚 𝐩𝐚𝐬 𝐓𝐨𝐭𝐚𝐥 𝐄́𝐧𝐞𝐫𝐠𝐢𝐞 😂.

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#𝐄𝐏𝟐𝟓 — 𝐎𝐛𝐣𝐞𝐜𝐭𝐢𝐟 : 𝐬𝐚𝐮𝐯𝐞𝐫 𝐥𝐞𝐬 𝐨𝐜𝐞́𝐚𝐧𝐬

Mélanie Le Guen, CFA grandi à Brest, entourée par la mer.

Entre le GR34, la voile (pas toujours un succès), l’océan n’a jamais cessé de l’accompagner.

Son parcours n’était pas tracé d’avance. 𝐈𝐧𝐭𝐞́𝐠𝐫𝐞𝐫 𝐮𝐧𝐞 𝐬𝐨𝐜𝐢𝐞́𝐭𝐞́ 𝐝𝐞 𝐠𝐞𝐬𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐬𝐚𝐧𝐬 𝐞́𝐜𝐨𝐥𝐞 “𝐭𝐚𝐫𝐠𝐞𝐭” ? 𝐃𝐢𝐟𝐟𝐢𝐜𝐢𝐥𝐞.

Avec persévérance, elle décroche un premier stage en multi-stratégies chez le Crédit Mutuel Arkéa, retournant ainsi dans sa Bretagne natale.

C’est là qu’un rapprochement avec Ofi Invest Asset Management donnera naissance à SWEN Capital Partners :

𝟏𝟓 𝐩𝐞𝐫𝐬𝐨𝐧𝐧𝐞𝐬 𝐚̀ 𝐥’𝐨𝐫𝐢𝐠𝐢𝐧𝐞, 𝐩𝐫𝐞̀𝐬 𝐝𝐞 𝟏𝟓𝟎 𝐩𝐞𝐫𝐬𝐨𝐧𝐧𝐞𝐬 𝐚𝐮𝐣𝐨𝐮𝐫𝐝’𝐡𝐮𝐢. 𝐃𝐞̀𝐬 𝐥’𝐨𝐫𝐢𝐠𝐢𝐧𝐞, 𝐥’𝐀𝐃𝐍 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐬𝐨𝐜𝐢𝐞́𝐭𝐞́, 𝐜’𝐞𝐬𝐭 𝐥’𝐢𝐦𝐩𝐚𝐜𝐭 :

𝐢𝐧𝐭𝐞𝐧𝐭𝐢𝐨𝐧𝐧𝐚𝐥𝐢𝐭𝐞́, 𝐦𝐞𝐬𝐮𝐫𝐚𝐛𝐢𝐥𝐢𝐭𝐞́, 𝐚𝐝𝐝𝐢𝐭𝐢𝐨𝐧𝐧𝐚𝐥𝐢𝐭𝐞́.

En 2018, Olivier Raybaud et Christian Lim lancent Blue Ocean Partners.

Trois ans plus tard, ils rejoignent SWEN :

👉🏼 𝐮𝐧 𝐩𝐫𝐞𝐦𝐢𝐞𝐫 𝐟𝐨𝐧𝐝𝐬 𝐝𝐞 𝟏𝟕𝟎𝐦€ (𝟐𝟎 𝐬𝐨𝐜𝐢𝐞́𝐭𝐞́𝐬), 𝐞𝐭 𝐝𝐞́𝐣𝐚̀ 𝐮𝐧 𝐝𝐞𝐮𝐱𝐢𝐞̀𝐦𝐞 𝐜𝐥𝐨𝐬𝐞́ 𝐚̀ 𝟏𝟔𝟎𝐦€, 𝐜𝐚𝐩 𝐬𝐮𝐫 𝟑𝟎𝟎𝐦€.

Avec Mélanie, on aborde des questions essentielles :

➡️ Comment construire un portefeuille avec des maturités technologiques différentes ?

➡️ Quelles sont les plus grandes menaces qui pèsent aujourd’hui sur les océans ?

➡️ Quelles tendances VC émergent dans l’économie bleue ?

➡️ Et comment, dans un monde où la mer est aussi un enjeu de souveraineté, l’investissement océanique prend une dimension géopolitique incontournable.

Parce qu’au fond, son intuition est simple mais puissante :

𝐈𝐧𝐯𝐞𝐬𝐭𝐢𝐫 𝐩𝐞𝐮𝐭 – 𝐞𝐭 𝐝𝐨𝐢𝐭 – 𝐫𝐞́𝐠𝐞́𝐧𝐞́𝐫𝐞𝐫.

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#𝐄𝐏𝟐𝟒 — 𝐋𝐞 𝐭𝐨𝐮𝐫𝐢𝐬𝐦𝐞 𝐩𝐞̀𝐬𝐞 𝟏𝟏 % 𝐝𝐞𝐬 𝐞́𝐦𝐢𝐬𝐬𝐢𝐨𝐧𝐬 : 𝐞𝐭 𝐬𝐢 𝐨𝐧 𝐜𝐡𝐚𝐧𝐠𝐞𝐚𝐢𝐭 𝐧𝐨𝐭𝐫𝐞 𝐟𝐚𝐜̧𝐨𝐧 𝐝𝐞 𝐯𝐨𝐲𝐚𝐠𝐞𝐫 ?

Guillaume Jouffre grandi à 𝐁𝐫𝐢𝐯𝐞-𝐥𝐚-𝐆𝐚𝐢𝐥𝐥𝐚𝐫𝐝𝐞, dans un 𝐦𝐢𝐥𝐢𝐞𝐮 𝐦𝐨𝐝𝐞𝐬𝐭𝐞.

Brillant, il passe par Polytechnique, puis la LSE.

Il commence chez Oliver Wyman.

À 23 ans, il prend l’avion pour la première fois.

𝐏𝐮𝐢𝐬 𝐢𝐥 𝐞𝐧𝐜𝐡𝐚𝐢̂𝐧𝐞 𝐥𝐞𝐬 𝐯𝐨𝐥𝐬.

Pendant son voyage de noces, il tombe sur le rapport du GIEC.

Il fait ses calculs.

𝟔𝟎 𝐭𝐨𝐧𝐧𝐞𝐬 𝐝𝐞 𝐂𝐎₂.

𝐓𝐫𝐞𝐧𝐭𝐞 𝐚𝐧𝐬 𝐝𝐞 𝐪𝐮𝐨𝐭𝐚 𝐜𝐚𝐫𝐛𝐨𝐧𝐞 𝐩𝐞𝐫𝐬𝐨𝐧𝐧𝐞𝐥. En très peu de temps.

C’est 𝐮𝐧 𝐜𝐡𝐨𝐜.

Et surtout, 𝐮𝐧𝐞 𝐩𝐫𝐢𝐬𝐞 𝐝𝐞 𝐜𝐨𝐧𝐬𝐜𝐢𝐞𝐧𝐜𝐞.

Il réalise que 𝐥𝐞 𝐭𝐨𝐮𝐫𝐢𝐬𝐦𝐞 𝐞𝐬𝐭 𝐮𝐧 𝐬𝐞𝐜𝐭𝐞𝐮𝐫 𝐜𝐥𝐞́, 𝐦𝐚𝐢𝐬 𝐫𝐞𝐬𝐭𝐞 𝐚𝐛𝐬𝐞𝐧𝐭 𝐝𝐞𝐬 𝐩𝐫𝐢𝐨𝐫𝐢𝐭𝐞́𝐬 𝐜𝐥𝐢𝐦𝐚𝐭𝐢𝐪𝐮𝐞𝐬.

𝐔𝐧 𝐬𝐞𝐜𝐭𝐞𝐮𝐫 𝐞́𝐧𝐨𝐫𝐦𝐞, 𝐩𝐞𝐮 𝐜𝐡𝐚𝐥𝐥𝐞𝐧𝐠𝐞́.

Alors 𝐢𝐥 𝐝𝐞́𝐜𝐢𝐝𝐞 𝐝’𝐚𝐠𝐢𝐫.

Il lance GreenGo avec une ambition claire :

𝐫𝐞́𝐜𝐨𝐧𝐜𝐢𝐥𝐢𝐞𝐫 𝐥𝐞 𝐩𝐥𝐚𝐢𝐬𝐢𝐫 𝐝𝐞 𝐯𝐨𝐲𝐚𝐠𝐞𝐫 𝐚𝐯𝐞𝐜 𝐥𝐚 𝐫𝐞́𝐝𝐮𝐜𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐞 𝐧𝐨𝐭𝐫𝐞 𝐢𝐦𝐩𝐚𝐜𝐭 𝐜𝐚𝐫𝐛𝐨𝐧𝐞.

Avant même de coder, il structure :

𝟑𝟎𝟎 𝐬𝐥𝐢𝐝𝐞𝐬. Marché, compréhension fine de sa cible, modèles économiques.

Pas une intuition jetée sur une page : 𝐮𝐧𝐞 𝐭𝐡𝐞̀𝐬𝐞 𝐜𝐨𝐧𝐬𝐭𝐫𝐮𝐢𝐭𝐞.

La première version ?

𝟓𝟎 𝐡𝐞́𝐛𝐞𝐫𝐠𝐞𝐮𝐫𝐬. 𝟏𝟎𝟎 𝐥𝐨𝐠𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭𝐬.

Aujourd’hui, GreenGo 𝐞𝐬𝐭 𝐝𝐞𝐯𝐞𝐧𝐮𝐞 𝐮𝐧𝐞 𝐫𝐞́𝐟𝐞́𝐫𝐞𝐧𝐜𝐞 𝐝𝐮 𝐯𝐨𝐲𝐚𝐠𝐞 𝐥𝐨𝐜𝐚𝐥 𝐛𝐚𝐬 𝐜𝐚𝐫𝐛𝐨𝐧𝐞 𝐞𝐭 𝐫𝐞́𝐩𝐨𝐧𝐬𝐞 𝐚̀ 𝐮𝐧𝐞 𝐪𝐮𝐞𝐬𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐪𝐮’𝐨𝐧 𝐞́𝐯𝐢𝐭𝐞 𝐬𝐨𝐮𝐯𝐞𝐧𝐭 : 𝐜𝐨𝐦𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐯𝐨𝐲𝐚𝐠𝐞𝐫 𝐬𝐚𝐧𝐬 𝐜𝐨𝐦𝐩𝐫𝐨𝐦𝐞𝐭𝐭𝐫𝐞 𝐥’𝐚𝐯𝐞𝐧𝐢𝐫 ?

🎧 𝐔𝐧 𝐞́𝐩𝐢𝐬𝐨𝐝𝐞 𝐝𝐞 Serial VC 𝐚̀ 𝐞́𝐜𝐨𝐮𝐭𝐞𝐫 𝐝𝐚𝐧𝐬 𝐥𝐞 𝐭𝐫𝐚𝐢𝐧. 🤣

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