Tout part d'un constat : chaque jour, les freelances sont incités à travailler toujours plus, à acquérir toujours plus de clients, à générer toujours plus de chiffre d’affaires.
À une époque où tout s’accélère, il est bon de ralentir.
- Sortir de la course à la croissance effrénée dopée au développement personnel, à l’hyperproductivité et à la culpabilisation
Optimiser son équilibre vie pro/vie perso
Vivre et travailler à notre rythme, qui nous est propre
Prendre soin de notre santé, éviter le stress et maximiser notre bien-être
“Il n’y a aucune honte à procrastiner, à être paresseux ou à vouloir toujours tout faire vite fait, bien fait : au contraire, en y mettant du cœur et de la méthode, c’est la voie royale. Je ne dis pas que ce n’est pas utile de se tuer à la tâche et de viser la lune, je dis juste qu’il n’y a aucun mal à ne pas vouloir cette vie et à créer ses propres idéaux. Pour toutes celles et tous ceux qui n’ont pas envie de devenir des robots au service du capitalisme, des ressources humaines aliénées et des bons petits soldats, il y a une alternative.”
Très concrètement, pour moi, être slow freelance, c’est :
- Travailler moins (mais plus intelligemment)
Gagner plus (ou au moins la même chose)
Choisir chaque aspect de la vie de freelance (en se laissant imposer le moins de contraintes possible).
L’un des piliers, pour moi, c’est de travailler seulement lorsqu’on est le plus productif pour gagner un temps phénoménal et réussir à faire plus en moins de temps.
En pratique, voilà les règles clés pour réussir le slow freelancing :
- Ne jamais se brader, même quand on s’inquiète pour la fin du mois
Accepter de travailler parfois le weekend ou le soir selon le volume de travail
Avoir confiance en soi (personnellement et professionnellement)
Oser accepter des missions sur des sujets nouveaux
Se former en permanence pour exceller dans son domaine
Travailler à fond son personal branding pour être reconnu(e) comme expert(e)
Participer à des événements gratuits, collaborer bénévolement sur des contenus et autres moyens de se faire connaître rapidement
Développer au maximum son réseau (et le solliciter), se connecter à son secteur et ne pas hésiter à « être partout »
Pas mal de sujets liés avec le slow freelancing vont être abordés : le minimalisme, la parentalité, les side projects, les clichés, la productivité, l’argent, l’écologie… bref, je vais te parler des aspects professionnels et pratiques du slow freelancing, mais aussi sous ses angles philosophiques, sociétaux, politiques, écologiques, et j’en passe.
Ce concept ne sort pas de nulle part, il s’inspire d’autres mouvements liés au slow et applique certains principes au freelancing : slow life, slow food, slow growth, slow web… l’idée de base consiste à démontrer qu’une autre voie existe face au dogme du “toujours plus”.
Petit disclaimer : le slow freelancing, ce n’est pas pour tout le monde. Il faut en avoir conscience.
On fait un bout de chemin ensemble ?
L'article de référence sur le slow freelancing : https://briceschwartz.com/slow-freelancing/
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La page LinkedIn : https://www.linkedin.com/company/82743657/
Allez, à mercredi prochain !
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