À 33 ans, Kilian Bron pilote enduro free ride, explorateur hors norme, traverse la vie sur son VTT, tel un funambule.

 Avec ses tournées ciné-conférences, il partage ses expériences. La découverte de lieux sublimes et la rencontre de personnalités exceptionnelles sont au cœur des documentaires éblouissants et captivants qu’il produit. 

Le vététiste de l’extrême filme ses exploits pour plus d'un million d'abonnés sur ses réseaux sociaux.

Insolite, atypique, cet athlète qui a décidé de mettre en scène ses exploits sort des sentiers battus et repousse toujours ses limites. 

Personnalité audacieuse, curieuse et passionnée, cet aventurier cherche à vivre des expériences uniques pour mieux les partager. 

Celui qui défie le vertige en VTT, qui embrasse l'inattendu, trouve de la joie dans l'adrénaline et l'exploration de nouveaux horizons.

Le temps d’un stop à SPORTEL Awards, nous avons eu le privilège de croiser ce champion.

Le temps d’une pause…

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C’est une médaille d’argent qui vaut de l’or. Parce qu’en finissant deuxième du 100 mètres haies aux JO de Paris, Cyréna Samba-Mayela a dissipé le gros nuage qui flottait au-dessus de l’équipe de France d’athlétisme.

Plus fort encore, celle qui n’avait que 23 ans le jour de sa finale a touché les spectateurs en plein cœur. Et ça, c’est quelque chose qui ne s’explique pas. Une question de vibrations, de connexion, de charisme aussi.

En l’invitant pour ce podcast, on pensait trouver face à nous l’une des ces reines du sprint pleines de confiance, qui n’hésite pas à afficher leur décontraction et à faire de l’intox avant d’aller dans les starting-blocks.

Mais assez vite, on a compris que Cyréna Samba-Mayela était différente. Posée, presque réservée, prenant le temps de soupeser ses réponses, sans tricher malgré tout, n’hésitant à ouvrir son cœur au moment d’évoquer le soutien vital de ses parents ou les dures épreuves rencontrées avant les Jeux.

On a aussi parlé de ses autres passions, comme le dessin ou la mode. Ou encore d’un départ pour les Etats-Unis qui a changé beaucoup de choses dans la perception de son sport, et plus largement de la vie.

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214 jours et 11 heures de navigation… en fait plus de 8 mois en mer pour la fameuse Ocean Globe Race !

Entre septembre 2023 et avril 2024, Marie Tabarly et son équipage bravaient les océans…et remportaient la course autour du monde à la voile à bord du bateau « Pen Duick VI », ce magnifique bateau construit par son père.

Courageuse, intrépide, sauvage, audacieuse, déterminée, conquérante, indomptable, héroïque…

La fille d’Eric Tabarly a de l’ADN de championne.

On sait que la pomme ne tombe jamais loin du pommier.

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Avec ses potes de l’équipe de France de rugby à 7, il nous a bien fait rêver pendant les Jeux de Paris. Une médaille d’or obtenue avec un jeu flamboyant, une cote de sympathie boostée par des pas de danse inspirés : tout avait souri à Antoine Zeghdar en 2024.

Alors, en le retrouvant du côté de la Principauté pour Sportel Awards, on savait que le champion olympique aurait beaucoup de choses à nous dire.

Parce que Monaco, c’est chez lui. Là où il a vu le jour en 1999, là où il a fait ses premiers pas sur un terrain de rugby. Là encore où vit sa famille. Quand les médias le surnomment “le plus Monégasque des Français”, Antoine Zeghdar affiche une réelle fierté.

Le robuste gaillard à la tête bien faite sait où il va, il maîtrise son discours et n’oublie jamais de remercier ceux qui ont participé à son éclosion au plus haut niveau, que ce soit du côté des clubs de Monaco, Nice ou Toulon.

Et même si l’échéance paraît encore très lointaine, on dirait bien qu’Antoine rêve déjà de faire le doublé aux JO de Los Angeles, en 2028.

Avec lui, on a essayé de percer le secret d’une belle rage de vaincre.

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Tout le monde a encore ces images dans la tête, des images de combat, de victoire, surtout des images d’émotions des derniers JO à Paris, la France a pleuré de joie devant les médailles de ses judokas.

Joan-Benjamin Gaba a fait trembler les tribunes. Il a fait rêver les téléspectateurs l’été dernier avec sa médaille d’argent en individuel et sa médaille d’or en équipe mixte, et il vient de récidiver.
Il vient de décrocher son premier titre mondial en individuel dans la catégorie des moins de 73 kilos.

CHAMPION DU MONDE !

Nous l’avons rencontré en octobre dernier à SPORTEL Awards, nous l’avons interviewé pour ce podcast et croyez-nous, Joan-Benjamin Gaba à 24 ans, c’est vraiment de l’ADN de champion.

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Laura Flessel a été ministre des Sports.
Mais pendant quelques jours à Monaco, il fallait l’appeler Madame la présidente, puisque l’ancienne escrimeuse était à la tête du jury des Sportel Awards, entourée d’autres grands champions.

Quand on l’a rencontrée, elle avait déjà eu pas mal de pain sur la planche.
Mais Laura nous l’a dit très vite : quand elle fait quelque chose, elle le fait à fond, elle ne sait pas faire autrement.

Alors, celle qui a l’un des plus beaux palmarès du sport français, avec notamment cinq médailles olympiques et six titres de championne du monde, s’est livrée sans détour.
On a voulu savoir si elle comprenait comment ce lien si fort entre elle et le public s’était créé.

On a aussi voulu savoir quelles étaient les étoiles qui avaient fait rêver la gamine de Pointe-à-Pitre, quels obstacles elle avait dû franchir en tant que femme noire.
Et comment elle entrait dans un état second lorsqu’elle démarrait une compétition.

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Elle l’avait dit : après Paris, j’arrête !

À 36 ans, sacrée en poursuite, Marie Patouillet a mis un terme à sa carrière de cycliste après les Jeux paralympiques, avec une médaille d’or en poursuite et une autre d’argent en contre-la-montre sur piste.

Victime d’une malformation orthopédique du pied gauche, façonnée par l’esprit de compétition, cette militante LGBT que l’on a rencontrée à SPORTEL Awards, a vraiment de l’ADN de championne…

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Mythique commentateur sportif, il est un homme passionné et passionnant. La radio, la télé, les journaux, les magazines, les livres…
Le tennis, le golf, la natation, le patinage artistique, le chant, la guitare, l’humour…
… Même si Nelson Monfort a déjà eu mille vies, il se prépare à en vivre mille autres.

Des projets, des tours de chant, des spectacles, du théâtre, des lectures… L’animateur et journaliste sportif franco-américain s’apprête aussi à vocaliser sur les routes de France.

Au micro de notre podcast, il s’essaie même sur un titre d’anthologie avec sa voix de crooner.

Nelson Monfort, une énergie inépuisable, une vitalité contagieuse, une personnalité hors du commun.

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Pour débuter cette nouvelle saison d’ADN de champion, nous avons la chance d’accueillir le monument du handball au palmarès XXL : Nikola Karabatic !

A SPORTEL Awards, le jeune retraité de quarante ans, est reparti avec un autre trophée, le Prix de la Légende.

Alors, on lui a demandé ce que ce mot, légende, signifiait. On a aussi senti qu’après tant d’années à avoir joué le gladiateur, Nikola Karabatic était prêt à donner autre chose.

A transmettre son expérience hors norme, à jeter un regard plus précis sur les secrets de sa réussite et à mieux décortiquer la dimension mentale.

On l’a dit, on le répètera encore, cet homme-là est une légende… 

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Dans cet épisode, on passe un moment avec Gwendal Peizerat, ancien danseur sur glace, médaillé d’or aux JO de Nagano en 2002, avec Marina Anissina. Et avant même de démarrer, on savait que ce podcast ne serait pas comme les autres. Parce que Gwendal, il aime faire les choses à sa manière, avec une spontanéité et un enthousiasme communicatif.

L’air de rien, celui qui a aussi remporté deux championnats d’Europe et un championnat du monde nous a confié qu’il n’avait jamais vraiment eu la flamme d’un compétiteur. Et que le patinage, c’était sympa, mais qu’il s’y était surtout accroché parce que la discipline réunissait plusieurs de ses passions : les sports de glisse, la danse, le contact avec le public, mais aussi la musique.

Vous ne le savez peut-être pas, mais aujourd’hui Gwendal Peizerat se donne à fond dans la guitare, poste ses chansons sur les réseaux et fait des concerts. Entré dans la cinquantaine, le Lyonnais, qui est aussi chef d’entreprise, déteste qu’on l’enferme dans une case. Et c’est sans doute ce qui le rend si libre…

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