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StopCovid, réflexion sur un virus qui a bon dos
Les mots, même s’ils sont en anglais, ne s’avancent pas masqués. Tracking, c’est traquer. Tracing, c’est retracer. La question fondamentale qui se pose en conscience à chacun d’entre nous avec l’application Stop Covid que le gouvernement veut nous fourguer en urgence est donc la suivante : accepterons-nous en la téléchargeant sur nos smartphones d’être suivis à la trace 24H sur 24, 7 jours sur 7 dans chacun de nos gestes et dans toutes nos rencontres pour, éventuellement, échapper au virus ou permettre, éventuellement, à d’autres d’y échapper après le confinement ? Pour ma part, je réponds non. Non pas un non désinvolte et indifférent mais un non au nom de deux principes : la liberté collective et la responsabilité individuelle. Je ne veux pas d’un bracelet électronique, je n’ai pas commis de crime, et j’ai la chance de vivre en France, pas en Arabie saoudite où les hommes qui ont des moyens imposent à leurs femmes d’en porter un pour les empêcher de s’enfuir par avion. D’autre part, je suis assez grande fille et j’aime assez les gens pour adopter de moi-même, pour moi-même et pour les autres les mesures qui s’imposent. Pour paraphraser une célèbre formule : le gouvernement peut avoir technologiquement raison et politiquement tort. Ce n’est pas parce qu’une intention est bonne – l’est-elle en l’occurrence, c’est aussi une question – que l’instrument pour la faire aboutir l’est ipso facto, dans un rapport de cause à effet magique.
Les chercheurs, du bébé génétiquement modifié élaboré comme par hasard en Chine au Stop Covid en passant par la grossesse des transgenres, mettent désormais au point en tous domaines ce qui était impensable depuis la nuit des temps. Ils ont devant eux un champ illimité d’apprentissage sorcier et il n’y a pas d’exemple qu’ils y renoncent. L’espèce humaine est en voie de transformation radicale, un vertige absolu. Le curseur doit être placé quelque part sur l’inédit qui fait notamment la fortune des entreprises privées titanesques comme Amazon, Google, Apple, Ali Baba qui nous contrôlent déjà et veulent contrôler entièrement chacun de nous. Le curseur, c’est le rôle du politique, seul lui le peut encore.
Or, nos hommes et femmes politiques se révèlent dans l’affaire inouïe du corona des menteurs et des trompeurs, en charge d’une société à la fois martyrisée et avachie par les règles administratives et l’assistanat, aux défenses immunitaires philosophiques affaiblies,. Deux mois après, nos gouvernants sont incapables de faire en sorte que nous disposions de masques et de tests, le déconfinement annoncé unilatéralement par Macron est un triste foutoir qui aggrave la méfiance, nous découvrons que nous avons définitivement quitté le club des grandes et fortes nations. Mais, incroyable, le Président de la République et le Premier Ministre ont quand même eu le culot de tenter de nous faire passer en catimini, sans vote à l’Assemblée, sans aucun débat public le Stop Covid, le confinement électronique ! Les vigies de la démocratie ont réussi à le faire mettre au programme du Palais Bourbon ce mardi, mais le dispositif du déconfinement est comme la lessive, « tout en un », si bien que l’affaire est pliée. Stop Covid ou l’application aux données anonymisées mais qui seront bien sûr un jour ou l’autre croisées avec des données personnelles libres maîtrisant ainsi la liberté de déplacement, de réunion, de travail, de toutes les interactions sociales. On peut le prendre comme on veut, CNIL ou pas, cette transparence s’appelle totalitarisme. Le pire serait qu’il soit pour la première fois dans l’histoire de l’humanité, à cause d’un virus apolitique et sans passeport, librement consenti par le peuple de la Révolution. Organisons vite, vite une pétition nationale Le cerveau résiste au confinement !
By RCJStopCovid, réflexion sur un virus qui a bon dos
Les mots, même s’ils sont en anglais, ne s’avancent pas masqués. Tracking, c’est traquer. Tracing, c’est retracer. La question fondamentale qui se pose en conscience à chacun d’entre nous avec l’application Stop Covid que le gouvernement veut nous fourguer en urgence est donc la suivante : accepterons-nous en la téléchargeant sur nos smartphones d’être suivis à la trace 24H sur 24, 7 jours sur 7 dans chacun de nos gestes et dans toutes nos rencontres pour, éventuellement, échapper au virus ou permettre, éventuellement, à d’autres d’y échapper après le confinement ? Pour ma part, je réponds non. Non pas un non désinvolte et indifférent mais un non au nom de deux principes : la liberté collective et la responsabilité individuelle. Je ne veux pas d’un bracelet électronique, je n’ai pas commis de crime, et j’ai la chance de vivre en France, pas en Arabie saoudite où les hommes qui ont des moyens imposent à leurs femmes d’en porter un pour les empêcher de s’enfuir par avion. D’autre part, je suis assez grande fille et j’aime assez les gens pour adopter de moi-même, pour moi-même et pour les autres les mesures qui s’imposent. Pour paraphraser une célèbre formule : le gouvernement peut avoir technologiquement raison et politiquement tort. Ce n’est pas parce qu’une intention est bonne – l’est-elle en l’occurrence, c’est aussi une question – que l’instrument pour la faire aboutir l’est ipso facto, dans un rapport de cause à effet magique.
Les chercheurs, du bébé génétiquement modifié élaboré comme par hasard en Chine au Stop Covid en passant par la grossesse des transgenres, mettent désormais au point en tous domaines ce qui était impensable depuis la nuit des temps. Ils ont devant eux un champ illimité d’apprentissage sorcier et il n’y a pas d’exemple qu’ils y renoncent. L’espèce humaine est en voie de transformation radicale, un vertige absolu. Le curseur doit être placé quelque part sur l’inédit qui fait notamment la fortune des entreprises privées titanesques comme Amazon, Google, Apple, Ali Baba qui nous contrôlent déjà et veulent contrôler entièrement chacun de nous. Le curseur, c’est le rôle du politique, seul lui le peut encore.
Or, nos hommes et femmes politiques se révèlent dans l’affaire inouïe du corona des menteurs et des trompeurs, en charge d’une société à la fois martyrisée et avachie par les règles administratives et l’assistanat, aux défenses immunitaires philosophiques affaiblies,. Deux mois après, nos gouvernants sont incapables de faire en sorte que nous disposions de masques et de tests, le déconfinement annoncé unilatéralement par Macron est un triste foutoir qui aggrave la méfiance, nous découvrons que nous avons définitivement quitté le club des grandes et fortes nations. Mais, incroyable, le Président de la République et le Premier Ministre ont quand même eu le culot de tenter de nous faire passer en catimini, sans vote à l’Assemblée, sans aucun débat public le Stop Covid, le confinement électronique ! Les vigies de la démocratie ont réussi à le faire mettre au programme du Palais Bourbon ce mardi, mais le dispositif du déconfinement est comme la lessive, « tout en un », si bien que l’affaire est pliée. Stop Covid ou l’application aux données anonymisées mais qui seront bien sûr un jour ou l’autre croisées avec des données personnelles libres maîtrisant ainsi la liberté de déplacement, de réunion, de travail, de toutes les interactions sociales. On peut le prendre comme on veut, CNIL ou pas, cette transparence s’appelle totalitarisme. Le pire serait qu’il soit pour la première fois dans l’histoire de l’humanité, à cause d’un virus apolitique et sans passeport, librement consenti par le peuple de la Révolution. Organisons vite, vite une pétition nationale Le cerveau résiste au confinement !

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