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Or


Tu crois connaître le Téléthon ?
Prépare-toi à voir l’envers du décor. Pas celui qu’on te sert avec des violons, des plans serrés sur des larmes et des animateurs qui insistent lourdement pour te faire sentir coupable de respirer sans douleur…
Non non. Ici, on parle vrai. Brut. SOLIDE.
Aujourd'hui, je te raconte pourquoi j’ai voulu sortir cette réflexion une semaine avant le 5 décembre : pour que tu aies le temps de digérer. De réfléchir. Peut-être même de te fâcher (et c’est très bien).
On revisite l’histoire du Téléthon, ses chiffres, ses millions, ses nobles intentions… et ses zones d’ombre. Parce que oui : quand on te parle de soutien, d’égalité, de droits, mais que 20 ans après la loi sur le handicap, des lieux publics sont toujours impraticables en fauteuil… excuse-moi, mais il y a une question qu'on peut légitimement se poser : où passe la moitié du pactole ?
J’ai osé dire tout haut ce que beaucoup pensent tout bas. Et j’assume.
Et puis, Jérémy Ferrari vient verbaliser mes pensées : il met les pieds dans le plat avec la finesse d’un lance-flammes. Misérabilisme, mise en scène, voyeurisme émotionnel… il dit tout. Je ne pouvais pas faire cet épisode sans lui.
On parle de :
➡️ Pourquoi certaines associations préfèrent montrer des « petites Charlotte qui pleurent » plutôt que des personnes handicapées qui vivent, rient, aiment, baisent, bossent et conduisent avec leurs pieds.
➡️ Comment on glisse, mine de rien, d’un appel à la solidarité à une injonction morale : « Tu vas bien ? Tu n’as pas le droit. Ouvre ton porte-monnaie. »
➡️ Ce que la société fabrique dans nos têtes quand elle réduit le handicap à de la pitié soigneusement empaquetée pour la télé.
Et puis je te ramène à l’essentiel.
À la S.O.L.I.D.E. attitude.
À la responsabilité personnelle.
À ton intention quand tu donnes.
Parce qu’ici, on ne te dira jamais de ne pas participer.
On ne t’enfermera jamais dans un “il faut”.
Tu es libre — vraiment libre — de soutenir QUI tu veux.
Mais si tu donnes…
👉 Que ça parte de la JOIE.
👉 Pas de la pitié.
👉 Pas de la culpabilité.
👉 Pas de cette misère fabriquée pour te faire pleurer comme si le handicap était une tragédie permanente.
C’est faux. Et ça m’insulte.
Ça nous insulte toutes.
Dans cet épisode, tu vas comprendre pourquoi la pitié abîme, pourquoi la solidarité élève, et pourquoi le handicap n’a jamais eu besoin qu’on joue du piano triste pour exister.
Et peut-être — peut-être — que tu ne regarderas plus jamais les campagnes caritatives de la même façon.
☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆
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➤ Écouter le 1er épisode de la série Stop à la validation à travers le 👀 les autres : prenez votre autonomie avec le défi 100% Solide
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
By Vanessa DrozTu crois connaître le Téléthon ?
Prépare-toi à voir l’envers du décor. Pas celui qu’on te sert avec des violons, des plans serrés sur des larmes et des animateurs qui insistent lourdement pour te faire sentir coupable de respirer sans douleur…
Non non. Ici, on parle vrai. Brut. SOLIDE.
Aujourd'hui, je te raconte pourquoi j’ai voulu sortir cette réflexion une semaine avant le 5 décembre : pour que tu aies le temps de digérer. De réfléchir. Peut-être même de te fâcher (et c’est très bien).
On revisite l’histoire du Téléthon, ses chiffres, ses millions, ses nobles intentions… et ses zones d’ombre. Parce que oui : quand on te parle de soutien, d’égalité, de droits, mais que 20 ans après la loi sur le handicap, des lieux publics sont toujours impraticables en fauteuil… excuse-moi, mais il y a une question qu'on peut légitimement se poser : où passe la moitié du pactole ?
J’ai osé dire tout haut ce que beaucoup pensent tout bas. Et j’assume.
Et puis, Jérémy Ferrari vient verbaliser mes pensées : il met les pieds dans le plat avec la finesse d’un lance-flammes. Misérabilisme, mise en scène, voyeurisme émotionnel… il dit tout. Je ne pouvais pas faire cet épisode sans lui.
On parle de :
➡️ Pourquoi certaines associations préfèrent montrer des « petites Charlotte qui pleurent » plutôt que des personnes handicapées qui vivent, rient, aiment, baisent, bossent et conduisent avec leurs pieds.
➡️ Comment on glisse, mine de rien, d’un appel à la solidarité à une injonction morale : « Tu vas bien ? Tu n’as pas le droit. Ouvre ton porte-monnaie. »
➡️ Ce que la société fabrique dans nos têtes quand elle réduit le handicap à de la pitié soigneusement empaquetée pour la télé.
Et puis je te ramène à l’essentiel.
À la S.O.L.I.D.E. attitude.
À la responsabilité personnelle.
À ton intention quand tu donnes.
Parce qu’ici, on ne te dira jamais de ne pas participer.
On ne t’enfermera jamais dans un “il faut”.
Tu es libre — vraiment libre — de soutenir QUI tu veux.
Mais si tu donnes…
👉 Que ça parte de la JOIE.
👉 Pas de la pitié.
👉 Pas de la culpabilité.
👉 Pas de cette misère fabriquée pour te faire pleurer comme si le handicap était une tragédie permanente.
C’est faux. Et ça m’insulte.
Ça nous insulte toutes.
Dans cet épisode, tu vas comprendre pourquoi la pitié abîme, pourquoi la solidarité élève, et pourquoi le handicap n’a jamais eu besoin qu’on joue du piano triste pour exister.
Et peut-être — peut-être — que tu ne regarderas plus jamais les campagnes caritatives de la même façon.
☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆
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