Hier, je t’ai raconté comment j’ai tenu tête à sept politiciens… et remporté la partie.
Mais aujourd’hui, on va parler de quelque chose de beaucoup plus inconfortable : la militante fragile.
Celle qui croit militer alors qu’elle est juste en train de brûler tout ce qu’elle touche.
Celle qui pense « convaincre », mais qui, en réalité, vainc son entourage… 

Oui, je vais t’emmener dans une histoire vécue où un groupe d'amies à exploser à cause d'une personne emportée dans une colère non-digérée et surtout, mal-dirigée.

Et tu vas comprendre à quel point la rage n’a jamais changé le monde dans le bon sens.
Jamais.

C’est l’illusion la plus répandue chez les militantes brûlées de l’intérieur.

Ce que je te révèle dans cet épisode, c’est pourquoi :

• le militantisme émotionnel détruit les liens, même les plus précieux ;

• la colère maquillée en conviction n’est jamais solide, c’est juste du feu déguisé en flamme sacrée ;

• le bruit n’influence personne, contrairement à ce que les réseaux sociaux nous font croire ;

• les vraies militantes — celles qui changent quelque chose — sont les plus alignées intérieurement ;

• et surtout : pourquoi une militante fragile isole… mais une militante solide fédère.

Tu vas aussi découvrir le piège psychologique qui transforme certaines personnes en machines à confondre tout et n’importe quoi : la fausse équivalence, le biais de confirmation, la fusion émotionnelle — bref, le trio infernal qui fait perdre la tête et les alliés en même temps.

Et derrière cette histoire, il y a une vérité :
Tu ne peux pas militer pour quoi que ce soit tant que tu n’es pas droite à l’intérieur.
Toujours l’ÊTRE avant le FAIRE.
Toujours la pierre avant le feu.

Dans cet épisode, je t’invite aussi à faire un exercice radicalement simple, mais redoutablement puissant :
repérer où, ces derniers temps, tu as réagi au lieu d’agir.
Puis te visualiser dans ta version la plus solide — celle qui ne claque pas la table, mais attire le respect sans dire un mot.

Cet épisode va peut-être te faire revoir ta façon de défendre ce qui compte pour toi.
Mais surtout, il pourrait bien transformer ta manière d’agir dans le monde.

Parce qu’au fond, ce n’est pas une question de chance.
C’est une question de choix.

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À 17 ans, j’ai fait quelque chose que même moi, à l’époque, je n’avais pas compris : j’ai tenu tête à sept politiciens… et j’ai gagné.
Pas par arrogance. Pas par bravoure. Pas pour jouer la rebelle.

Non. Juste parce que j’ai ouvert la bouche.

Si tu as déjà senti cette boule dans le ventre, ce moment où tu SAIS que tu dois parler mais où ton cerveau hurle « LAISSE TOMBER, TU VAS TE RIDICULISER », alors c'est pour toi.

Parce que oui, j’avais une bonne idée.
Oui, j’étais prête à la défendre.
Et oui… à cinq minutes de passer devant eux, j’ai voulu tout annuler.

J'avais 17 ans et zéro filtre :
Je voulais dire à ces « vieux croutons » que leur gros livre touristique était un cadeau inutile.
Je voulais proposer « Mix & Remix », le dessinateur romand culte que TOUT le monde adorait.
Et je l’ai fait.

Mais... j’ai grandement douté de moi.
J’ai cru que mon idée finalement à chier.
J’ai failli me taire.

Et pourtant…

Quand le président a fini par annoncer, un peu gêné :
« Cette année… à la demande de l’apprentie… nous offrons Mix & Remix »,
j’ai vu les sourires des jeunes.
À cet instant précis, j’ai su que j’avais eu raison.
Que ma voix avait du poids.

Que ce n’était pas une question de chance, mais un choix.

Ce que je n’avais pas compris, c’est que je venais de poser mon premier acte militant.
Pas avec une pancarte.
Pas en criant de rage. Juste… en assumant ma voix.

Et toi ?
Tu en es où avec ta voix ?
Tu parles… ou tu t’excuses d’exister ?
Tu dis ce que tu penses… ou tu préfères déranger personne ? Mais à quel prix ? 

Dans cet épisode, je te montre comment un simple « je dis ce que j’ai à dire » peut littéralement changer ton rapport à toi-même, t’arracher à la dépendance affective et poser la première pierre d’une solidité intérieure qui transforme tout.

Spoiler : la puissance n’arrive jamais quand tu es prête.
Elle arrive quand tu oses l'ouvrir.

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Tu crois connaître le Téléthon ?

Prépare-toi à voir l’envers du décor. Pas celui qu’on te sert avec des violons, des plans serrés sur des larmes et des animateurs qui insistent lourdement pour te faire sentir coupable de respirer sans douleur…
Non non. Ici, on parle vrai. Brut. SOLIDE.

Aujourd'hui, je te raconte pourquoi j’ai voulu sortir cette réflexion une semaine avant le 5 décembre : pour que tu aies le temps de digérer. De réfléchir. Peut-être même de te fâcher (et c’est très bien).

On revisite l’histoire du Téléthon, ses chiffres, ses millions, ses nobles intentions… et ses zones d’ombre. Parce que oui : quand on te parle de soutien, d’égalité, de droits, mais que 20 ans après la loi sur le handicap, des lieux publics sont toujours impraticables en fauteuil… excuse-moi, mais il y a une question qu'on peut légitimement se poser : où passe la moitié du pactole ?

J’ai osé dire tout haut ce que beaucoup pensent tout bas. Et j’assume.

Et puis, Jérémy Ferrari vient verbaliser mes pensées : il met les pieds dans le plat avec la finesse d’un lance-flammes. Misérabilisme, mise en scène, voyeurisme émotionnel… il dit tout. Je ne pouvais pas faire cet épisode sans lui.

On parle de :
➡️ Pourquoi certaines associations préfèrent montrer des « petites Charlotte qui pleurent » plutôt que des personnes handicapées qui vivent, rient, aiment, baisent, bossent et conduisent avec leurs pieds.
➡️ Comment on glisse, mine de rien, d’un appel à la solidarité à une injonction morale : « Tu vas bien ? Tu n’as pas le droit. Ouvre ton porte-monnaie. »
➡️ Ce que la société fabrique dans nos têtes quand elle réduit le handicap à de la pitié soigneusement empaquetée pour la télé.

Et puis je te ramène à l’essentiel.

À la S.O.L.I.D.E. attitude.
À la responsabilité personnelle.
À ton intention quand tu donnes.

Parce qu’ici, on ne te dira jamais de ne pas participer.

On ne t’enfermera jamais dans un “il faut”.
Tu es libre — vraiment libre — de soutenir QUI tu veux.

Mais si tu donnes…
👉 Que ça parte de la JOIE.
👉 Pas de la pitié.
👉 Pas de la culpabilité.
👉 Pas de cette misère fabriquée pour te faire pleurer comme si le handicap était une tragédie permanente.

C’est faux. Et ça m’insulte.
Ça nous insulte toutes.

Dans cet épisode, tu vas comprendre pourquoi la pitié abîme, pourquoi la solidarité élève, et pourquoi le handicap n’a jamais eu besoin qu’on joue du piano triste pour exister.

Et peut-être — peut-être — que tu ne regarderas plus jamais les campagnes caritatives de la même façon.

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Aujourd’hui, un simple dépôt de linge au pressing a tourné en masterclass sur la pitié, la projection… et la manière dont le handicap n’appartient JAMAIS à celle qu’on croit.

Je me gare devant la porte, comme toujours. Pas un caprice, pas un privilège « handicapé » — juste du pragmatisme. Mais il y a toujours une Ginette, quelque part, prête à voir de « l’injustice » dans ce qui est juste de l’efficacité. Bref, Ginette attendra : dans cet épisode, ce n’est pas elle la vedette… c’est Michel.

Michel, retraité sympathique, 1m65 de bonne volonté et 70 ans d’habitudes, m’arrête à la sortie :
« Madame… je vous souhaite bien du courage. »

Bien. Du. Courage.

Si j’étais encore au stade 1 du parcours SOLIDE — la Méconnaissance — j’aurais explosé. « Du courage POUR QUOI ? Tu me vois comme une tragédie ambulante ? » 😡
Mais voilà : la pitié n’est pas un jugement sur toi. C’est un aveu sur l’autre.
C’est sa limite. Son film. Son imaginaire.

Et c’est là que ça devient fascinant.

Parce qu’au fond, Michel ne parle pas de moi. Il parle de ce que lui pense qu’il ne pourrait pas porter s’il était à ma place.

La pitié n’insulte pas : elle informe.

Elle dit : « voilà ce que je crois de la vie, du handicap, de la dignité humaine… et voilà où je suis coincé ».

Et si tu crois que je subis ces projections, détrompe-toi.

À l’étape 3 (Exploration), j’aurais même pu lui demander une pièce.

À l’étape 4 (Ouverture), j’aurais observé la scène comme une comédie douce-amère.

À l’étape 5 (L'Expérience de la Foi), je choisis la paix.

Toujours.

Parce que ce n’est pas une question de chance… c’est une question de choix.

Alors aujourd’hui, ce n’est pas Michel qui m’a souhaité du courage.

C’est moi qui lui en ai souhaité. Parce que lui, il n’a pas encore posé son choix intérieur.

Si toi aussi tu veux arrêter de laisser le regard des autres décider de ta valeur, si tu veux comprendre pourquoi certaines phrases te

blessent encore et comment les transformer en puissance… viens découvrir SOLIDE.

Demain, on parlera du Téléthon… cette période où la générosité et la pitié se mélangent comme un mauvais cocktail.

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Tu crois que ta créativité est “en panne” ?
Non. Elle n’est pas en panne.
Elle est bridée. Comme ta sexualité.

Oui, j’ai dit ce que j’ai dit.

Dans cet épisode de la série 100% Solide, je t’emmène dans la troisième étape de la méthode S.O.L.I.D.E. : l’Exploration. Celle où on commence à respirer, à oser, à sentir, à créer. Celle où la sexualité n’est pas un sujet “à part”… mais le cœur battant de ta puissance. Parce qu’une sexualité qui s’étouffe, c’est une créativité qui agonise. Et une femme qui se coupe de sa créativité… se coupe d’elle-même.

Cette année 2025 m’a fracassée. Deuils, pertes, chaos affectif, tempête intérieure. Le genre d’année qui te brouille le cap, te trouble la foi, te déconnecte de ton excellence. Alors j’ai fait ce que je demande à mes clientes de faire : je suis revenue à l’ÊTRE.

J’ai tout coupé.
Téléphone en mode avion.
Silence total.
Et j’ai écrit.
Encore. Encore. Encore.

Parce que dans mes pensées, ça brille. Ça fuse. Ça danse.
Et sur papier… ça devient vérité.

Dans cet épisode, je te lis un extrait très intime : ce que j’ai découvert en m’auto-coachant, ce qui m’a sauté au visage, et pourquoi l’écriture est mon canal sacré, mon endroit de grâce, celui où mes mots retrouvent leur chair.

Et oui… j’aborde aussi l’histoire érotique que j’ai écrite cet été.

Une histoire vécue, brûlante, délicieuse — pas pornographique, mais sensuelle, incarnée, pleine de vérité.
Je te raconte pourquoi elle dort encore dans mes brouillons… et pourquoi elle va bientôt atterrir dans les boîtes mail de celles qui veulent du vivant, de l'Eros.

Cet épisode ouvre des portes que tu évites d’ouvrir.
Et il te rappelle que tu n’es pas un problème à réparer, mais une femme qui retrouve sa voix… et son désir.

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Si tu ne connais pas ton corps, qui le gouverne à ta place ? C'est une vraie question.

Ce que tu es sur le point d'écouter va bousculer ta manière de parler à tes enfants, et peut-être même te confronter à tes propres tabous. Mais c’est une nécessité absolue pour quiconque valorise l’Équité, la Liberté et la sécurité de l'être.

Tu es en pleine Etape 3 : L'Exploration de la Méthode Solide. Et aujourd'hui, on parle de cul. Mais on ne va pas juste en parler ; on va lui donner son nom.

Mon constat est le reflet de mon expérience et de la réalité du terrain :

Pendant dix ans, j'ai traité des affaires d'infractions aux mœurs au sein de la police cantonale. J'ai vu l'indicible. J'ai surtout constaté une vérité terrifiante, que personne n'ose dire à voix haute : un nombre sidérant de victimes sont piégées, non pas seulement par l'acte, mais par le silence qui entoure leur corps.

Elles n'ont pas les mots. Elles n'ont pas les termes pour nommer ce qui leur a été fait, pour décrire leur propre anatomie, pour poser les limites. Le tabou, le non-dit, sont une prison pour l'esprit et, pire, un défaut de protection colossal.

J’ai discuté avec une maman de cinq enfants qui a brisé ce mur de silence. Elle nomme le clitoris, le pénis, le vagin et les bourses. Elle donne à ses enfants le vocabulaire technique de leur propre anatomie, sans cacher, sans rougir.

Et là, tu as le choix :

1. Tu continues de penser que c'est trop gênant, trop tôt, trop privé.

2. Tu réalises que donner les mots, ce n'est pas seulement éduquer : c'est donner le pouvoir de l'auto-défense verbale. C’est offrir l’Autorité Intérieure qui rend « 100% Solide ». C’est passer de l’impuissance de la méconnaissance (Repère 1 de la Méthode Solide) à la pleine conscience de l’exploration.

Le message est clair : Si tu ne donnes pas à tes enfants les outils linguistiques de leur corps, tu les laisses désarmés. C’est la responsabilité que tu as en tant que parent.

Moi, je n'ai pas d'enfant. Je le dis, c'est un choix. Je ne me sens pas légitime de donner des leçons de parentalité. Mais je me sens légitime d'exposer la Vérité nue vue depuis l'autre côté de la barre.

Alors, dis-moi, parent : Comment gères-tu cette éducation ?

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Tu passes ta vie à courir après une acceptation que la société capitaliste et les régimes t'ont promis. Tu achètes des crèmes, des vêtements, des méthodes miracles pour "être mieux demain". Résultat ? Tu nourris un système qui gagne des millions à te faire détester tes cuisses, ton ventre, ou ce corps que tu crois "hors norme".

Tu t'es faite piéger. On s'est toutes faites piéger.

Mais il y a pire. Si, comme moi, tu vis avec un handicap, la dictature de la perfection est décuplée par le regard médical. Ton corps n'est plus un véhicule de vie, mais un problème à régler, une énigme à étudier. Résultat : zéro notion de plaisir. Ta sexualité ? Inexistante.

Stop.

Hier, nous t'avons parlé de la Méconnaissance, la phase de souffrance spirituelle, et de l'Expérience de la Foi, l'étape de sérénité absolue. Aujourd'hui, je te ramène au milieu, dans l'étape cruciale de l'Exploration. C'est là que tu vas devoir affronter le plus grand mensonge de ta vie : ton corps t'appartient, et il est temps de le réclamer.

Dans cet épisode, tu vas découvrir :

• Pourquoi le corps médical t'a volé ta perception du plaisir.

• Comment la société de consommation t'a conditionnée à rejeter ton corps pour mieux te faire consommer.

• Le secret des femmes qui, à 40-50 ans, s'en "foutent littéralement du regard des autres" et s'ouvrent à l'épanouissement sexuel. C'est plus simple que tu ne le penses.

• Le petit pas radical que tu peux faire aujourd'hui (et non, ce n'est pas d'acheter mon ebook !) pour transformer ton corps de "malade" en temple de plaisir. J'ai une suggestion qui a changé ma vie et ma perception de l'acceptation.

Si tu n'es pas prête à lâcher prise sur toutes les injonctions qui pèsent sur tes épaules, n'écoute pas cet épisode. Il risquerait de te donner la terrible idée de t'aimer pleinement et de changer ton aura.

C'est ta chance d'arrêter de voir ton corps comme un chantier permanent et d'enfin aligner ton Ambition avec ta Liberté.

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Tu crois que la foi, c’est une histoire de croyance ? Une affaire de cerveau qui « pense positif » ?
Non. Faux. Archifaux.

Et si tu continues à voir la foi comme un concept mental, tu vas passer à côté du truc le plus puissant que tu portes en toi : ton cœur.

Dans cet épisode de la série « 100% Solide », je reviens après quelques jours d’absence (oui, encore… et alors ?) pour t’emmener droit dans le 5e stade de la méthode S.O.L.I.D.E : l’Expérience de la Foi.

Pas la foi des livres. Pas la foi des religions. Pas la foi des dogmes.
La foi viscérale.
La foi qui pulse.
La foi qui traverse.
La foi qui change une vie — la tienne.

Tout est parti d’une question posée lors de ma dernière conférence. Une femme, les yeux brillants, me dit :
« Ce cinquième point… c’est moi. Je le sens. Mais je ne sais pas comment l’atteindre. Je veux comprendre. Je veux le vivre. »

Alors dans cet épisode, je te dévoile :

🔥 Pourquoi la foi n’a RIEN à voir avec une croyance (et pourquoi les coachs qui te parlent de “crois en toi” se trompent d’étage)
🔥 Pourquoi ta représentation de Dieu / du Créateur influence directement la qualité de ta vie (même si tu ne crois en rien)
🔥 Pourquoi ton cœur est l’organe le plus négligé de ta vie alors qu’il est littéralement… le siège de ta solidité (t'as compris ça, t'as tout compris!)

Tu vas comprendre que “la foi”, ce n’est pas quelque chose que tu dois “mériter”.
Ce n’est pas une récompense.
Ce n’est pas une superstition.

C’est une relation.
Une verticalité.

Une puissance intime que tu as peut-être oubliée… mais qui n’a pas oublié ton nom.

Et surtout :
Ce n’est pas une question de chance.
C’est une question de choix.
Le choix de revenir à ton cœur.
Le choix de l’entretenir comme l’espace sacré qu’il est.
Le choix de redevenir inébranlable, même quand tout tremble.

Prépare-toi.
On part au cœur de ce qui te rend — vraiment — solide.

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L’épisode que tu t’apprêtes à écouter, j’aurais pu le bâcler.
J’aurais pu me dire : « Oh, c’est bon, 71 épisodes, on s’en fout pour un jour ».

J’aurais pu choisir le confort, le canapé, la flemme.
J’aurais pu, mais je ne l’ai pas fait. Parce que être solide, c’est choisir. Toujours.

Le plaisir ou la contrainte. Le kiff ou la discipline.

À 22h passées, fatiguée, sans l’étincelle magique… j’ai quand même appuyé sur REC.
Pourquoi ?
Parce que ma verticalité ne négocie pas avec mon humeur.
Parce que quand tu grandis avec la maladie des os de verre, tu comprends très tôt ceci :
la souffrance, tu ne peux pas la choisir.
Le plaisir, oui.

Alors je t’ouvre ce chapitre très intime :
– comment j’ai appris à faire de la place au plaisir, même quand mon corps était une zone sinistrée ;
– comment des talons de 14 cm totalement inutiles sont devenus un acte de souveraineté ;
– pourquoi la discipline n’est pas le contraire du plaisir… mais son garde du corps ;
– comment continuer quand l’envie fout le camp, quand la créativité se barre, quand l’engagement pèse.

Et surtout :
je te renvoie le miroir.
Parce que ce podcast n’est pas un spectacle.
C’est ton terrain d’entrainement pour devenir SOLIDE.

Alors dis-moi :
Tu te places où, toi, entre le kiff et la contrainte ?
Tu t’autorises quoi ?
Tu t’interdis quoi ?

Et qu’est-ce que ça dit de ta liberté, de ton autonomie, de ton ÊTRE ?

Si tu veux comprendre pourquoi certaines femmes avancent envers et contre tout…
et pourquoi d’autres abandonnent au premier frottement…

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Aujourd’hui, je te révèle un outil spirituel que tu utilises déjà… mais probablement comme une touriste.

Un outil qui change tout dès l’instant où tu assumes que tu l’emploies : la prière.

Pas la version cucul-la-praline de cette mentalité judéo-chrétienne (qui me fait, perso, 🤮). Pas celle qu’on murmure quand tout va mal...
Non.
Je te parle d’un levier intérieur, concret, mesurable, ultra-pragmatique.

Le genre de truc qui réorganise ton mental, ton émotionnel et ton corps comme si tu venais d'appuyer sur reset.

Parce que oui :
Quand ton intérieur s’aligne → ton comportement s’aligne.
Et quand ton comportement s’aligne → le réel suit.

C’est pas de la « spiritualité bisounours ».
C’est quantique.
C’est mathématique.
C’est SOLIDE.

Dans cet épisode, je te raconte comment une simple intention claire dirigée vers le père décédé de mon conjoint s’est matérialisée… en moins d’une semaine !
Pas dans un rêve.
Pas dans une vision.
Pas dans les nuages.

Non : dans un objet physique posé dans ses mains, avec une charge émotionnelle si forte qu’il n’a rien compris à ce qui lui arrivait.
(Et pourtant, il ne croit ni à l’après-vie, ni aux signes, ni à rien d’invisible. Autant te dire : c’est GRAND.)

Je t’explique pourquoi la prière fonctionne sans mystique, sans dogme, sans incantations.
Juste : intention → direction → manifestation.

Et surtout pourquoi la majorité des gens prient… mais prient MAL.

Dans cet épisode, tu vas découvrir :
• Pourquoi ton cœur est l’antenne la plus puissante de ton corps
• Pourquoi prier pour quelqu’un doit rester secret, sinon tu casses tout
• Comment une intention pure devient un laser créateur
• Pourquoi tu n’as pas besoin d’être croyante pour utiliser la prière
• Et la question qui va t’obliger à arrêter d’être spectatrice de ta vie :

À quoi veux-tu donner une direction aujourd’hui ?
Pas demain.
Pas après ton prochain burn-out spirituel.
Maintenant.

Parce qu’il existe deux types de personnes :
•• Celles qui espèrent que leur vie s’améliore
•• Et celles qui dirigent leur intention pour transformer leur réalité

Toi, tu choisis dans quelle catégorie tu veux vivre.

Encore une fois :
Ce n’est pas une question de chance, c’est une question de choix.

Prends 10 minutes.
Écoute l’épisode.
Et utilise enfin la prière comme le laser intérieur qu’elle est.

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