By Toits plume
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Aujourd’hui, direction la Bretagne : je t’emmène avec moi au Ty Village de St Brieuc.
C’est le nom du premier village de tiny houses en France. Ce regroupement de micromaisons sur roues, qui prend place sur un terrain de 3500 m2 divisé en 21 emplacements, propose en premier lieu une solution de logement aux étudiants de la ville. Mais il a aussi vocation d’accueillir des habitants et habitantes de tiny à la recherche d’un terrain.
Pour ce nouveau portrait, j’interviewe Aurélie, la jeune femme à l’initiative du Ty Village. Elle nous raconte ici la naissance du projet pendant ses études d’ingénieure environnementale, et les démarches qu’elle a menées pour le voir aboutir. Tu verras qu’elle a su mener sa barque avec finesse pour convaincre tout le monde de la suivre, des banques aux assurances en passant par les élus de la ville... Son secret ? Des alliés sur lesquels compter, une approche pédagogique et un solide business plan. Bonne écoute !
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Quand on franchit la porte qui ouvre sur le monde fascinant des tiny houses, on tombe assez rapidement sur Baluchon. Et pour cause : non seulement c’est l’une des premières entreprises de construction de tiny house en France, mais c’est aussi la plus populaire sur les réseaux sociaux. Sa marque de fabrique ? Un design à la créativité débordante, des matériaux français soigneusement choisis, des finitions aux petits oignons et une identité visuelle reconnaissable entre toutes, le tout mis en valeur par les superbes photos de Vincent.
Baluchon se positionne dans le haut de gamme et on peut dire que ça lui réussit, n’en déplaise aux personnes qui critiquent les prix de ses tiny. Alors certes, elles ne sont pas à la portée de toutes les bourses. Mais en optant pour la qualité, que ce soit dans le choix des matériaux, le travail du bois ou le soin infini du détail, Baluchon nous pousse à réfléchir au coût des choses que l’on achète. Dans une société qui fait la course aux bonnes affaires, où l’on cherche à payer toujours moins cher, quelle valeur donne-t-on aux produits de qualité ? au savoir-faire d’artisans et d’artisanes ? aux choix éthiques ? Dans cette deuxième partie, on se penche sur ces questions à travers le quotidien de Vincent et du reste de l’équipe Baluchon.
En toute fin d’épisode, on parle aussi de ce qui peut se passer quand on prend trop vite confiance au volant d’un véhicule qui tracte une tiny house... Bonne écoute !
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Toits Plume, saison 2… c’est parti ! Cette année, je vous emmène découvrir les histoires de 4 pionniers et pionnières du mouvement tiny house en France. Va y avoir du lourd !
Pour le premier épisode de la saison, je vous propose d’écouter Vincent, technicien en écoconstruction et cofondateur de Baluchon.
Faut-il encore le préciser ? Baluchon est l'un des fabricants de tiny house les plus connus en France, et sans aucun doute le fabricant français le plus populaire dans le monde. Mais loin d'avoir pris la grosse tête, les Baluch' ont à cœur de partager leur expérience ainsi que leur vision de l’habitat et de l’artisanat. C’est pourquoi ils ont accepté de me recevoir dans leur atelier au sud de Nantes afin d'y enregistrer le témoignage de Vincent.
Dans cette première partie, Vincent nous explique comment ses études dans le bâtiment et ses voyages en sac à dos ont nourri sa réflexion sur le micro-habitat mobile. Je l’ai interrogé sur son métier de technicien en écoconstruction, et sur les différentes raisons qui ont fait le succès et l’originalité de Baluchon. Au cours de la discussion, on s’est aussi posé la question de savoir si les tiny houses sont oui ou non des habitats écologiques. La réponse est plus nuancée qu’on pourrait le penser… Bonne écoute !
Spoiler alert : on parlera du prix des tiny de Baluchon oui oui… mais dans le prochain épisode ;)
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Aujourd’hui sort un épisode un peu spécial, puisqu’on va dire du mal des tiny houses. Non, disons plutôt qu’on va passer en revue les contraintes de ces petites maisons qui font tant rêver.
Promesse de légèreté, la vie en tiny house a fini par se faire pesante pour Mylène et Thibaut. Pourquoi ne reviendront-ils jamais à cette forme d’habitat ? Et en quoi l’appartement qu’ils occupent aujourd’hui leur convient mieux en comparaison ?
Ils nous racontent tout dans cette 2e partie de leur portrait. Bonne écoute !
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C'est parti pour un nouveau portrait en duo ! Dans cet épisode, j’ai cédé mon micro afin de pouvoir enregistrer ensemble Mylène et Thibaut. Ce n’est ni dans une tiny house, ni dans une forêt que je les ai rejoints, mais bien dans une zone résidentielle en banlieue de Chambéry. Car après deux ans et demi de vie en micro-maison sur roues, ils ont décidé de réemménager dans un appartement conventionnel.
Le prochain épisode examinera sans filtre toutes les raisons de ce choix, mais pour l’instant, on va se concentrer sur le chemin de Mylène et Thibaut. « Chemin » au sens figuré, tout d’abord parce qu’ils retraceront les différentes étapes de leur projet, du plaisir de se projeter jusqu’à la découverte du terrain parfait, en passant par les travaux d’aménagement de leur cocon. Mais aussi « chemin » au sens propre, parce qu’ils nous raconteront le permis remorque et l’odyssée mémorable du transport de la maison dans les Alpes.
Bonne écoute !
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Il y a quelques années, Clara et Corentin se sont lancés dans un projet pas si tiny : autoconstruire leurs propres tiny houses avant d’en fabriquer ensemble à titre professionnel. Pour compléter sa formation d’architecte, Clara a décidé de reprendre les études à 36 ans en s’inscrivant en BTS.
Dans cet épisode, elle parle de son parcours en vue d’exercer un métier en accord avec ses aspirations : nous avons discuté des raisons qui l’ont poussée à repenser sa carrière, de son éthique de travail et de l’atout que représente aujourd’hui son expérience d’architecte.
J’en ai aussi profité pour l’interroger sur son vécu de femme dans un milieu majoritairement masculin.
Au fil de la conversation, tu trouveras quelques conseils pour :
Mais pour commencer, j’ai demandé à Clara de revenir sur sa formation : j’avais hâte de découvrir comment elle avait vécu son retour à l’école, et comment s’était passé son stage chez le premier fabricant de tiny house en France… Bonne écoute !
Pour contacter et suivre Clara et Corentin :
Nous rejoindre sur le groupe Facebook Collectif Tiny House
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Clara et Corentin vivent en tiny house depuis 6 mois avec leurs deux fils de 6 et 10 ans. Trois ans plus tôt, ils ont bouleversé leurs carrières respectives d’architecte et d’ingénieur en informatique pour se jeter corps et âme dans l’aventure tiny house.
Dans cette première partie, Clara explique comment elle et Corentin en sont venus à se lancer dans, non pas un… mais DEUX projets de tiny house en simultané : elle nous confie les galères de chantier en extérieur, ainsi que les joies et les doutes qui sont le propre de toute autoconstruction.
Avec son regard d’architecte, elle raconte aussi comment elle ajuste l’aménagement de sa micro-maison au gré du quotidien.
Pour elle, la magie des tiny houses tient moins dans le minimalisme que dans la souplesse liée à ce mode de vie. Tu verras pourquoi en fin d'épisode. Bonne écoute !
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A travers sa minimaison, Lise vient questionner la notion de propriété sous toutes ses formes. Elle aspire à placer l’idée de mise en commun au cœur de sa vie, avec comme maître mot : le partage.
Dans cette 2e partie, je l'interroge sur son processus de désencombrement et sur ses déménagements successifs, mais aussi sur la législation en vigueur, sur son expérience de cohabitation avec les personnes qui l’accueillent sur leur terrain, et même sur l’habitat comme forme de militantisme politique.
En toute fin d’épisode, elle nous en dit aussi plus sur l’association Hameaux légers, que j’avais mentionnée avec Clément et dans l’épisode introductif de Toits plume.
Bonne écoute !
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Ancienne cheffe de projet en agence de communication, Lise a quitté la ville en 2015 pour renouer avec la nature à travers une nouvelle forme d’habitat : la tiny house. Plutôt que d’opter pour l’autoconstruction, qui demande du temps et des compétences, elle s’est tournée vers une entreprise qui a conçu et fabriqué sa future maison. Il fallait qu'elle soit suffisamment spacieuse et habilement agencée pour lui permettre d’y vivre sereinement avec ses deux filles.
Il y a cinq ans presque jour pour jour, Lise s’installait dans sa micro-maison sur roues. A ce titre, elle fait partie des premiers habitants de tiny house en France, et j’avais hâte de recueillir son témoignage avec le recul des années.
Dans cette première partie de notre entrevue, elle raconte la transformation intérieure qui l’a menée à s’intéresser aux tiny houses, comment elle a embarqué ses enfants en douceur dans ce projet de vie et comment elle a appréhendé l’autonomie en énergie au fil du temps.
Bonne écoute !
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Pour le deuxième épisode de Toits plume, je suis allée interroger Clément un an après le début de son autoconstruction.
J’étais curieuse de savoir comment son chantier s’était déroulé, s’il avait respecté les délais et le budget qu’il s’était fixés, mais aussi s’il était parvenu à trouver un terrain sur lequel s’installer. Était-il content de sa nouvelle maison, de sa vie après la construction ?
Pour cette rétrospective, j’ai intercepté Clément alors qu’il était en vadrouille dans le parc du Verdon... Bonne écoute !
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