"Ces musiques de facture parfois douteuse, reflétant tantôt les conservatismes les plus archaïques de l’Andalousie, tantôt les tribulations peu géniales d’un bourgeois bohème madrilène composant sur ses fréquentes déceptions amoureuses, chantant le patrimoine andalou, étaient pour moi le seuil d’un pays de cocagne. Un pays encore impossible (je n’y avais pas encore voyagé seul pour m’en sentir l’habitant) donc un pays parfait."