Olivier Mathiot a été un des principaux porte-paroles de l’entrepreneuriat et de la scène tech en France depuis ces 10 dernières années.

J’ai eu l’occasion de le croiser à plusieurs reprises que ce soit avec sa casquette de Business Angel, de porte parole du mouvement des Pigeons ou encore lorsqu’il Co-présidait l’association France Digitale qui rassemble la plus grosse communauté de startups et d’investisseurs en Europe. 

Pour l’anecdote, nous avons même eu le plaisir de l’avoir comme mentor d’une de nos éditions du concours Fundtruck qui est organisé par Sowefund.  

Mais Olivier est surtout reconnu comme étant l’un des 5 Cofondateurs de Price Minister. Il a occupé le poste de directeur marketing et communication de la société jusqu’à sa cession en 2010 au groupe Japonais Rakuten. Une très belle réussite française puisque le rachat du groupe s’est fait pour la coquette somme de 200M€.

En 2014 il succède à Pierre Kosciusko Morizet au poste de PDG de l’entreprise et y restera jusqu’en 2018.

Aujourd’hui, Olivier a décidé de retrouver un peu le soleil de son enfance et s’est installé à Aix où il a pris la présidence  de Thecamp un projet hyper innovant dédiée à la croissance positive. 

En parallèle, Olivier continue d’être très actif dans l’investissement et réfléchit à de nombreux projets, son dernier en date, un podcast !  Il produit et co-anime l’émission @40 nuances de next avec @thomas Benzazon.

Bref, une trajectoire impressionnante pleine d’enseignements et d’anecdotes que je vous recommande d’écouter jusqu’au bout ! 

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Il a écrit en 2013 : La gauche a mal à son entreprise aux éditions Plon https://fr.shopping.rakuten.com/search/la+gauche+a+mal+a+son+entreprise

Vous pouvez retrouver son podcast 40 Nuances de Next : https://podcast.ausha.co/40-nuances-de-next

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 Enseignant, c’est le métier qu’aurait aimé faire Gérald Karsenti s’il n’avait pas pris une toute autre trajectoire, celle du monde des affaires. 

Il est aujourd’hui le Président Directeur Général de SAP France. Pour ceux qui ne connaissent pas l’entreprise allemande SAP, sachez que c’est le premier éditeur de logiciels en Europe et le quatrième dans le monde. Le seul à pouvoir « un peu » rivaliser avec les mastodontes américains. 

Toute sa carrière professionnelle, Gérald l’a faite dans l’industrie de l’informatique des services et de l’édition de logiciel. Nous aborderons son impressionnant parcours: d’ingénieur commercial chez IBM à grand dirigeant d’entreprises internationales (IBM, Cap Gemini, HP, Oracle, SAP) 

Engagé dans la cause de la mixité et de l’égalité Femme Homme, Gérald nous partagera aussi tout au long de cet épisode passionnant sa vision du leadership, du management, de la détection de talents et de la gestion du changement. 

Nous discuterons aussi de startups et d’investissement, d’Europe et de culture, de son amour de la France et de son engagement.

Bref un épisode à écouter jusqu’au bout, et tout de suite, je laisse place à notre conversation.

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Il est depuis plus de 12 ans professeur affilié à HEC Paris où il enseigne le leadership, la transformation digitale et la gestion du changement. 

Bibliographie: 

• La fin du paradoxe de l'informatique, l'heure du retour sur investissement, Les Éditions d'Organisation, 1999

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 16 Milliards ! C’est le nombre de bouteilles d’eau consommées en France tous les ans. Et je dis bien consommées et non produites car dans ce cas, c’est encore plus, la France exporte beaucoup de bouteilles d’eau. 

Or la grande majorité de ces bouteilles sont en plastique ! En plus la distance moyenne que parcourt une bouteille d’eau avant d’être consommée est de 650KM, principalement par fret routier. Donc en terme environnemental, c’est tout simplement aberrant ! et bien la personne que je vais vous présenter dans ce nouvel épisode de Trajectoires en a fait son combat. Il s’est donné une mission de taille : mettre fin à la bouteille en plastique !

Nous évoquerons comme à l’accoutumée son parcours depuis l’enfance, ses études jusqu’aux bancs de Dauphine, ses premières expériences chez Veolia Transport et Veolia Environnement. Sa trajectoire a continué par un passage chez Alter Eco avant de se lancer dans le grand bain de l’entrepreneuriat.

Son idée ? Valoriser l’eau oui, mais plus celle qui sortira du camion: celle qui coule du robinet. Comment ? Grâce à l'Eau CASTALIE, qui fait de l’eau du robinet une eau rafraîchie, plate ou gazeuse, sans goût de chlore, servie dans une bouteille en verre ou des gourdes. Une solution globale qui permet notamment aux entreprises, restaurateurs, et hôtels d’avoir une très belle alternative aux Bouteilles en plastiques. 

Alors ne manquez pas ma conversation avec Thibault Lamarque CEO et fondateur de Castalie. 

Un épisode très instructif à l’impact écologique clair comme de l’eau de source, à écouter sur toutes les bonnes plateformes! 

https://www.castalie.com/

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Aujourd’hui j’ai le grand plaisir de partager avec vous ma rencontre avec Wilfried Granier. 

Wilfried fait partie de ces brillants entrepreneurs à succès. 

On entend trop peu parler de lui alors que sa dernière société connaît une croissance fulgurante, et cela, sans lever de fonds !!! 

Ingénieur de formation, il a été consultant puis il crée une première société avec un associé qui finira par le racheter et le nommer Directeur Général Délégué de sa société Adverline, société cotée en bourse qui sera rachetée plus tard par le groupe Laposte. 

C’est donc en passant du statut d’entrepreneur à celui d'intrapreneur que Wilfried continue sa carrière, et, bien qu’ayant une situation professionnelle très confortable, il finit néanmoins par quitter son poste avec l’envie de tout remettre à plat pour mieux recommencer.

Il s’essaiera à l’immobilier avec succès mais cela ne l’anime pas suffisamment. 

Le super déclic viendra d'un apprentissage compliqué de la guitare. À l’époque, trouver un prof passait soit par des sites de petites annonces soit par un papier déposé chez le commerçant de quartier.

L’idée est là : il veut créer le Airbnb du cours particulier !

En 2013, fulgurance sur le nom : Superprof. Facilement compréhensible partout, il correspond parfaitement à l’entreprise qu’il a envie de créer : mettre en relations des supers professeurs avec des élèves désireux d’approfondir leurs connaissances.

Il démarre seul sur ses fonds propres et très vite le succès est au rendez-vous : rachat du principal concurrent, accroissement du nombre de profs et d’élèves, recrutements, développement à l’international….

Aujourd’hui, soit 6 ans après sa création, les chiffres sont vertigineux :

·         11 millions de profs et d’élèves dans le monde

·         200 collaborateurs

·         28 pays

·         CA de 12 millions d’euros (toujours sans aucune levée de fonds)

Bref, je vous laisse découvrir la brillante trajectoire de Wilfired Granier, patron de SuperProf. 

Son entreprise: https://www.superprof.fr/ 

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Cela fait un peu plus de 10 ans que j’évolue dans l’écosystème du financement des entreprises. 

La personne que je souhaite vous présenter aujourd’hui est une vraie référence pour moi.

À tout juste 26 ans, il crée une société de gestion avec comme objectif de démocratiser l’investissement dans le non coté. 

Premier coup dur, problème de timing : éclatement de la bulle internet ! Il faut revoir le business et prendre des mesures difficiles en se séparant d’une partie des collaborateurs.

Les années passent et enfin, après 4 années de dur labeur, l’activité prend enfin et 123 Investment Manager se développe de plus en plus rapidement, prenant une place d’acteur majeur dans le secteur du non coté. 

14 ans plus tard, crise de la quarantaine :) ? alors que sa société se porte extrêmement bien avec plus d’1 milliard sous gestion, cet entrepreneur décide de se lancer dans une toute nouvelle aventure : le financement participatif dans le prêt, ou crowdlending. 

À partir d’une feuille blanche, il lance Lendix en 2014 qui changera de nom et deviendra October, aujourd’hui la plateforme de prêt aux entreprises numéro 1 en Europe. 

Vous l’avez peut-être reconnu, dans ce nouvel épisode nous abordons la brillante trajectoire d’Olivier Goy, qui nous partage son histoire, depuis l’enfance jusqu’à ses passions en passant par sa vision de l’entreprise et de l’entrepreneuriat. 

« Entreprendre : c’est s’inscrire dans la durée, entreprendre c’est une hygiène de vie, entreprendre, c’est faire des concessions » je ne vous en dis pas plus : 

C’est l’histoire d’un grand monsieur de la #Fintech : Olivier Goy 

- Sa pépite du moment: https://fr.october.eu/

- Sa première aventure entrepreneuriale dont il est toujours le principal actionnaire: https://123-im.com/

- La fondation qu'il a créé avec sa femme Virginie que je vous recommande d'aller voir et soutenir : https://www.fondationphoto4food.com/ 

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Retrouvez Trajectoires sur les réseaux sociaux : 

Linkedin : https://www.linkedin.com/company/trajectoires-podcast

Instagram : https://www.instagram.com/trajectoires_podcast 

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Serial entrepreneur, Ludovic Huraux n’était pourtant pas prédestiné à se lancer dans ce type d’aventure lorsque l’on s’intéresse à son enfance et son environnement familial.

Introverti et grand timide c’est grace à sa débrouillardise, de belles rencontres et la force de persuasion de ses meilleurs amis qu’il va se lancer dans l’aventure et créer sa première entreprise: Attractive world, une nouvelle plateforme de rencontre. 

Parmi les nombreuses idées qu’il présente à l’époque à ses fidèles acolytes, il y a celle d’ une place à prendre sur le marché florissant des rencontres amoureuses suite à l’introduction en bourse de Meetic, à condition cette fois de s’adresser à un autre segment : les célibataires exigeants.

Sitôt la plateforme lancée, c’est le matching parfait, le produit séduit immédiatement et trouve son public. C’est ce qu’on appelle en bon franglais, trouver son « market fit » . Coup de bol? Coup de maitre? Il faut certainement un peu de ces deux ingrédients pour emmener si loin une entreprise qu’il revendra quelques années plus tard. 

Car Ludovic ne s’arrêtera pas là et lancera début 2016 Shapr dont l’ambition était de devenir le nouveau Linkedin des milleniums. Il lèvera rapidement beaucoup d’argent (plus de 20M€ depuis le début de l’aventure) mais trouver son market fit n’est pas si évident! 

Entreprendre n’est pas pas un long fleuve tranquille, Ludovic nous partagera tout au long de cet épisode et sans filtre, ses galères comme ses succès, ses moments de doute et l’analyse qu’il en fait avec un peu de recul.  

Il nous partagera par exemple son désir de relever de nouveaux défis malgré une entreprise qui tournait bien, la nécessité presque absolue pour lui de lancer une nouvelle aventure à l’international (et cela peut-être un peu prématurément nous expliquera-t-il).. 

bref, à force de travail et d’un peu de prise de hauteur, un nouveau modèle scalable pour Shapr semble s’être dessiné pour atteindre rapidement la rentabilité.

Beaucoup de chemin reste à parcourir mais Ludovic Huraux semble bien parti dans cette Trajectoire alors je vous invite dès à présent à rejoindre notre belle conversation! 

Les livres qu’il nous recommande dans cet échange:

https://livre.fnac.com/a12957507/Sebastien-Bohler-Le-bug-humain

https://livre.fnac.com/a2896498/Eckhart-Tolle-Le-pouvoir-du-moment-present#omnsearchpos=1

Son site pro: https://shapr.co/bienvenue-sur-shapr

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Dans ce nouvel épisode j’ai le plaisir de partager avec vous ma conversation avec Jean Moreau.

Jean est cofondateur et CEO de Phenix, une entreprise avec une très grande et belle mission : proposer des solutions pour lutter contre le gaspillage alimentaire et donner une seconde vie aux invendus. 

Encore une entreprise de l’ESS qui va difficilement trouver son marché et sa rentabilité pourrait-on se dire ? Pour ceux qui continuent de tenir ce discours, laissez moi vous surprendre : Phenix a déjà levé plus de 20M€, croyez moi, impact positif et profitabilité ne sont pas incompatibles ! Et soyez assurés que ses investisseurs espèrent bien un retour sur investissement! 

L’ambition : bâtir une alternative durable à Veolia, Suez et Paprec, les acteurs historiques de la gestion des déchets. 

Comme à l’accoutumé dans Trajectoires, nous découvrirons dans cet épisode le beau parcours de Jean Moreau, de son enfance toulousaine à ses (très) longues études avant de démarrer une brillante carrière en banque d’affaires. 

Le prestige, la compétition, la stimulation intellectuelle,  le salaire… le feront tenir un temps, mais quelques années plus tard Jean est rattrapé par sa quête de sens et finira par tout plaquer pour lancer Phenix avec son acolyte Baptiste Corval. 

Aujourd’hui à la tête de plus de 170 collaborateurs, Jean continue d’être très engagé dans l’ecosystème startup « for good » et est impliqué dans de nombreuses associations. 

Notamment à la tête de Tech For Good France,  LE réseau des entrepreneurs & investisseurs qui développent et financent des solutions tech et digitales pour accélérer la transition vers une société plus durable et responsable. 

Dans cette épisode nous abordons ensemble de nombreux sujets et je remercie Jean pour sa transparence tout au long de notre échange, je crois que c’est un savoir-être que l’on trouve de plus en plus dans cette nouvelle génération d’entrepreneurs, et je trouve cela très appréciable. 

Le site de Phenix: https://wearephenix.com/

Le site de Tech4Good France: https://www.techforgoodfr.org/

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 Aujourd’hui, j’ai le grand plaisir de partager avec vous ma rencontre avec celui que l’on surnomme « le parrain » des startups : Jean-David Chamboredon ! 

Il est membre fondateur et co-président pendant quatre années de France Digitale,  l’association qui rassemble la 1ère communauté tech française et européenne de startups.

Jean-David est aussi reconnu pour avoir été l’un des instigateurs puis porte-parole du Mouvement des Pigeons qui a réuni plus de 75 000 entrepreneurs en colère contre la politique fiscale de Francois Hollande. 

Après une très belle carrière de 13 années chez Cap Gemini, Jean-David se reconvertie dans le venture capital et évoluera dans différents fonds au cours desquels il investira dans des pépites comme Seloger.com , Price Minister ou encore Screentonic.  

En 2009, il rejoindra ISAI, la société d’investissement initié par des entrepreneurs de la tech comme Pierre Kosciusko-Morizet ou encore Geoffroy Roux de Bézieux dont il prendra la tête en tant que Président Executif.

Dans cet épisode nous aurons donc l’occasion d’aborder sans filtre le métier d’investisseur professionnel et le monde passionnant du venture capital et des startups, dans lequel il évolue maintenant depuis plus de 20 ans.

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Pour ce nouvel épisode, j’ai l’immense plaisir de partager avec vous ma conversation avec Eric Larchevèque, un entrepreneur comme je les aime ... À à peine 46 ans, il a déjà vécu plusieurs vies.

Eric Larchevêque, ce nom vous dit quelque chose? 

Entrepreneur dans la tech, en passant par l’hôtellerie, joueur de poker professionnel ou encore investisseur, vous l’aurez peut-être aperçu récemment dans cette nouvelle émission d'M6, vous savez, « Qui veut être mon associé ? » animée par Julien Courbet. 

Non, pas du coté des entrepreneurs mais bien de celui du jury d’investisseurs, aux côtés de grands noms comme Catherine Barba, Marc Simoncini, Frédéric Mazzella et j’en passe…. 

Il est fondateur, CEO et maintenant chairman de la société LEDGER, une entreprise française en pleine croissance qui s’est fait connaître par la conception et la commercialisation de petits coffres forts physiques sous forme de clefs USB à destination des détenteurs de cryptomonnaie. 

Comme vous le savez, ce sont ceux qui ont vendus les pelles et les pioches qui se sont le plus enrichis pendant la ruée vers l’or ! Et bien ... c’est un peu la position d’Eric Larchevêque et des ses associés avec LEDGER face à l’apparition du Bitcoin, de la blockchain et des cryptomonnaies.

Aujourd’hui Éric est dans une nouvelle phase de sa vie, et je sens bien qu’à l’approche de la cinquantaine, il a envie de transmettre son expérience avec bienveillance, d’apporter ses conseils au-delà de ses investissements... bien qu’il ait encore de nombreux projets en cours et à venir. Alors si vous avez la chance de croiser son chemin, ne laissez pas passer pareille opportunité ! Qui ne voudrait pas être son associé ? :)  

Tout de suite, je laisse place à cet échange passionnant. 

Son site perso: https://www.ericlarcheveque.com/

Ledger: https://www.ledger.com/

Revoir les épisodes de "Qui veut être mon associé" https://www.6play.fr/qui-veut-etre-mon-associe--p_15951

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 Peu avant l'explosion de la pandémie, j’ai eu la chance de croiser l’impressionnante et passionnante trajectoire de Bertrand Badré, personnalité du monde de la finance qui a été directeur général et directeur financier de la Banque Mondiale, conseiller pour l’Afrique et le développement auprès du Président Jacques Chirac ou encore directeur financier des banques Crédit Agricole et Société Générale.

Des crises, Bertrand en a traversées quelques unes... d'ailleurs cet entretien quelques jours avant le confinement témoignait déjà de l’instabilité dans laquelle était notre société et notre système, et ce terme de "crise", nous l’avons évoqué à plusieurs reprises. 

Au travers de cet échange nous apprendrons tout d'abord à mieux connaitre le brillant parcours de cet énarque que nous découvrirons au travers de quelques anecdotes et dates historiques. Nous verrons comment Bertrand, au gré de belles rencontres, a su évoluer jusqu’a prendre la tête de la banque mondiale à Washington qui est, je le rappelle pour les auditeurs un peu moins avertis, une des deux institutions financières avec le FMI qui ont été crées au lendemain de la seconde guerre mondiale avec les accords de Bretton Woods sous le nom de Banque Internationale pour la reconstruction et le développement. (BIRD)

Mais vous verrez également que Bertrand Badré n’est pas un financier "comme les autres". Il quitte le Groupe de la Banque Mondiale en 2016 et lance un fonds d'investissement baptisé Blue like An Orange Sustainable Capital, où il vise à combiner performance économiques et impact en essayant de répondre aux objectifs de développement durable du l'ONU (https://www.un.org/sustainabledevelopment/fr/objectifs-de-developpement-durable/). 

Avec ce fonds, Bertrand Badre s’incrit dans une nouvelle trajectoire :  celle de participer à la promotion d’une nouvelle finance, plus juste et plus durable, qui peut et qui doit contribuer au bien commun.

- Il a notamment écrit à ce sujet « Can Finance Save the World ? » https://livre.fnac.com/a9865659/Bertrand-Badre-Money-Honnie 

- Sa nouvelle aventure: https://bluelikeanorangecapital.com/ 

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