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Share Une “Sécu” de l’alimentation, ça ressemblerait à quoi au juste ?
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Une “Sécu” de l’alimentation, ça ressemblerait à quoi au juste ?
Une “carte vitale” pour bien se nourrir et pouvoir choisir. L’alimentation est trop souvent le poste budgétaire sur lequel on arbitre lorsque l’on n'a pas ou peu de moyens financiers. Boris Tavernier ne s’y résigne pas.
Et si la solution était de créer une nouvelle branche de la sécurité sociale ? Elle ouvrirait un droit à disposer de 150 euros à dépenser chaque mois pour son alimentation. Les cotisations seraient établies en fonction des revenus de chacun.
L’idée ancienne d’une “Sécu de l’alimentation” refait surface, portée par des associations et certaines collectivités locales en France, où des expérimentations se multiplient.
Mais alors, cela ressemblerait à quoi concrètement ?
Écoutez
Pour Soluble(s), Boris Tavernier détaille les contours de cette idée qui est déjà expérimentée dans plusieurs villages ou villes comme à Montpellier dans l’Hérault (France).
Boris Tavernier est le fondateur de VRAC (Vers un Réseau d’Achat en Commun).
Cette association s’engage, depuis dix ans, pour la justice alimentaire. VRAC a mis en place un réseau d’achat local et a installé des épiceries bio à prix abordables dans plus de 90 quartiers populaires en France et en Belgique.
En France, dix millions de personnes sont en situation de pauvreté (avec moins de 1 102 euros par mois pour une personne seule), selon les derniers chiffres de l’Insee de 2019.
Entre 3,2 et 3,5 millions de personnes ont recours à l'aide alimentaire dans l’hexagone.
POUR ALLER PLUS LOIN
Le site du réseau VRAC : https://vrac-asso.org/
TIMECODES
00:00 Introduction
01:04 Le parcours engagé de Boris Tavernier
02:08 “Notre système alimentaire est un tueur en série”
03:33 Un système inspiré de la sécurité sociale
06:28 Des expérimentations locales
10:06 Qui cotise, combien ?
11:23 L’association VRAC, le bio aux pieds des cités
15:08 Merci à Boris Tavernier
Fin
--
❤️ Dites-le avec des étoiles, 5 même ! ⭐️⭐️⭐️⭐️⭐️
Pensez à vous abonner pour ne manquer aucun nouvel épisode !
On aime beaucoup lire vos commentaires sur Apple Podcasts et Soptify.
Visitez le site de Soluble(s), le podcast qui médiatise les solutions ! https://csoluble.media/
ou
Ouvrez dans votre appli de podcasts préférée - Linktree : https://linktr.ee/soluble.s.podcast
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Connaissez-vous : "Le ruissellement", la newsletter du podcast qui médiatise les solutions ? C'est sur LinkedIn (gratuit, mensuel) : https://www.linkedin.com/newsletters/7104012692293574656/?displayConfirmation=true
A bientôt,
Simon
Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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Une “carte vitale” pour bien se nourrir et pouvoir choisir. L’alimentation est trop souvent le poste budgétaire sur lequel on arbitre lorsque l’on n'a pas ou peu de moyens financiers. Boris Tavernier ne s’y résigne pas.
Et si la solution était de créer une nouvelle branche de la sécurité sociale ? Elle ouvrirait un droit à disposer de 150 euros à dépenser chaque mois pour son alimentation. Les cotisations seraient établies en fonction des revenus de chacun.
L’idée ancienne d’une “Sécu de l’alimentation” refait surface, portée par des associations et certaines collectivités locales en France, où des expérimentations se multiplient.
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En France, dix millions de personnes sont en situation de pauvreté (avec moins de 1 102 euros par mois pour une personne seule), selon les derniers chiffres de l’Insee de 2019.
Entre 3,2 et 3,5 millions de personnes ont recours à l'aide alimentaire dans l’hexagone.
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01:04 Le parcours engagé de Boris Tavernier
02:08 “Notre système alimentaire est un tueur en série”
03:33 Un système inspiré de la sécurité sociale
06:28 Des expérimentations locales
10:06 Qui cotise, combien ?
11:23 L’association VRAC, le bio aux pieds des cités
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