Au lycée, Ifa réfléchit à son avenir. Elle sait qu’elle veut un métier qui lui permettra d’aider les autres. A l’aise à l’oral, c’est alors tout naturellement qu’elle se dirige vers le droit. Arrivée en Licence, elle découvre que cette spécialité requiert une nouvelle logique parfois compliquée à appréhender. 

Entre job étudiant, redoublement et stages, Ifa réussit à valider ses deux premières années de droit. Forte de son expérience, elle décide en parallèle de créer “Geomancis media” sur Instagram, Youtube et Tik Tok. Elle y parle du Droit et de tout ce qui s’y rattache.

 Aujourd’hui, Ifa est au Portugal pour sa Licence 3. Elle y effectue un stage en parallèle de ses cours, tout en gardant en tête cette envie d’apprendre et de gagner en expérience... 

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 Tout a commencé au lycée où Robin, poussé par sa professeure d’italien, intègre une école d’ingénieur à Lyon. Un peu sceptique, il découvre réellement cet univers grâce à un étudiant qui lui présente l’école. 

Il commence alors sa première année qui sera rythmée par des rencontres, beaucoup de travail et la covid. En confinement, Robin a un peu de temps et sait qu’au fond de lui ce qu’il aime faire, c’est créer. Il lance alors son podcast « Etudiant Indépendant » et endosse le rôle de l’étudiant qui partage et aide d’autres étudiants ou futurs étudiants. Puis, toujours aussi désireux de concevoir de nouvelles choses, il lance sa page Instagram et sa chaîne Youtube.

 Entretemps, Robin rentre en deuxième année. Il connait alors la colocation, une charge de travail encore plus importante, mais reste motivé et passionné par ce qu’il fait. Finalement, il entame sa troisième année avec une spécialisation en télécommunications tout en continuant à créer et apporter de précieux conseils aux étudiants…  

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 Laurane est étudiante en BTS Diététique. Il y a quelques mois, elle finissait sa Licence Entraînement Sportif en STAPS et le moins que l’on puisse dire c’est que ces trois années

Sortie d’un Bac S, Laurane se bat pour intégrer STAPS. Lors de sa première année, elle se blesse. Elle sait alors qu’elle va devoir entamer sa seconde année, tout en rattrapant plusieurs matières de Licence 1. Alors que personne ne croit en elle, Laurane persévère et finit par valider sa Licence 1 et la majorité des matières de Licence 2. Une épreuve complexe va tout de même lui demander un travail acharné. Elle la validera finalement aux rattrapages du second semestre de sa dernière année, alors qu’elle-même commençait à désespérer. 

Entre blessures, déceptions, rattrapages et problèmes administratifs, Laurane aura témoigné d’une résilience sans faille et d’une obstination à tout épreuve et aura finalement prouvé que croire en soi coûte que coûte est une des clés de la réussite !  

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 Au collège, Lisa se fracture le poignet, elle va chez le kiné, puis y fait un stage et là… c’est la révélation ! Elle sera kiné plus tard !

 Mais arrivée au lycée, elle se rend compte que son bac et ses apprentissages ne lui permettront pas d’aller en PACES. Son envie d’être kiné étant plus forte que tout, elle décide de partir en Espagne, plus précisément à Madrid, pour étudier. A 18 ans, elle déménage à 1600 kilomètres de chez elle. Une nouvelle ville, une colocation, des études payantes : les deux premières années lui auront demandé de grandes capacités d'adaptation. Puis une troisième année plus qu'appréciée et finalement, la dernière année tant attendue.

 Durant ces quatre longues années, Lisa a pu constater à quel point l’expatriation n’était pas forcément "le rêve éveillé" que l’on pouvait décrire sur les réseaux sociaux : la barrière de la langue, le fait de passer de la campagne à la ville, la vie en communauté, l'obligation d'être séparée de ses proches. Enfin, même si ce métier était une vocation, faire un prêt étudiant à 18 ans a été une grande décision, rajoutant de la pression à celle déjà existante ! Entre prises de conscience et études passionnantes, Lisa nous raconte son expatriation !  

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 Enfant, Lauriane rêvait d’être actrice. Motivée par ce rêve, le 7ème art prend peu à peu une place importante dans sa vie. Jusqu’au jour où Lauriane décide d'entrer en faculté d’arts du spectacle : son rêve se concrétise !

Du théâtre à l’histoire du cinéma, tout la passionne, Lauriane se sent vraiment à sa place dans cette licence. Les 3 années se déroulent à merveille, entre les cours et les heures de libre pour élaborer des projets personnels.  Car Lauriane sait qu’il va falloir se battre pour avoir une place dans ce milieu. Alors, elle décide de créer « Le crible cinéma » une page Instagram dédiée à la critique cinématographique. Et puis quelques temps après, un peu par hasard, elle lance un compte Tik Tok sur l’histoire du cinéma, avec le désir que l’art soit à la portée de tous.

Ces projets et sa passion pour la critique et le cinéma lui permettent ainsi de décrocher le Master qu’elle désirait tant. Mêlant journalisme et culture, elle le commencera dès la rentrée. Finalement, Lauriane aura réussi son pari et ceci, malgré la réticence des gens qui l’entouraient. Elle poursuit sa route guidée par ses rêves d'enfant qui ne l'ont jamais

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Parfois, nous vivons des choses compliquées... et même souvent. La vie est faite de hauts et de bas. Il nous arrive d'avoir vraiment envie de nous arrêter pour souffler, réfléchir et prendre du recul. Malheureusement quand on est étudiant, ce n’est pas possible alors on persiste avec le risque de s'enliser, puis de redoubler. Parce que la charge mentale était beaucoup trop forte ou parce que le chemin choisi n’était pas forcément le bon. C’est le cas de Gaby. Après avoir redoublé pour obtenir son bac, Gaby arrive en Faculté de Psychologie.

 Arrivée en troisième année, elle se rend compte de la complexité de certaines matières et un stage l’aide à comprendre que le chemin qu’elle a emprunté n’est peut-être pas celui qui lui correspond. Alors elle redouble une première fois, puis une deuxième et se dirige ensuite vers une troisième année de Licence de Sciences de l’Education. Elle  sait alors qu'elle a trouvé sa voix : elle deviendra Professeur des Ecoles. Gaby entame alors un master MEEF.

 Étudiante salariée, elle finit son master non sans difficultés, fatiguée mais heureuse d’avoir trouvé sa voix, qu’importe le temps que ça lui aura pris. Redoubler est souvent perçu comme un échec, c'est dommage. C'est une étape qui permet à ceux qui la vivent de prendre du temps, de réfléchir, d’évoluer et finalement de mieux avancer ! Un échec a toujours du bon car, la plupart du temps c'est dans les moments difficiles que nous nous révélons !

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 L’injustice et l’inégalité des chances sont des ressentis que beaucoup d’étudiants ont déjà connus, me semble-t-il. Une école privée / la faculté, un job étudiant / des parents qui peuvent subvenir à nos besoins, une bourse / rien, un appartement étudiant à gérer / la maison de ses parents… C’est difficile à vivre et plus encore lorsque toutes ces injustices et ces inégalités s’additionnent. Romain nous parle de son amour pour la biologie, puis pour l’immunologie. Et ensuite, de sa prise de conscience et de sa désillusion lorsqu’il est arrivé à la fac. La faculté où l’égalité des chances ne règne pas vraiment. Où l'on ne nous dit pas qu’il faut avoir le "meilleur dossier" et les "meilleures notes" pour accéder aux années d’après. Où ce que l’on est et ce que l’on aime ne comptent pas beaucoup. Il nous parle de ces années où il a su qu’il aurait moins de chances que ses camarades car il devait travailler en parallèle et que le stage sur lequel il était tombé n’était pas celui qui lui permettrait d’avoir le "parfait dossier". Mais, il nous parle aussi de la suite et de la façon dont il a réussi à se relever ! 

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Mélanie a commencé par étudier l’horlogerie. Mais, forcée de constater que ça ne lui plaisait plus, Elle s’est alors dirigée vers l’aéronautique. Très vite, elle a compris que c’était sa voix et qu’elle en ferait son métier. Pourtant tout n’a pas été simple. Les cours sont compliqués, les entreprises peuvent être difficiles à trouver. 

Par ailleurs, avec seulement 17% de femmes à son effectif, l’aéronautique est un secteur qui ne reflète pas la « parité ». Même si les entreprises essayent de faire avancer les choses, cela prend du temps. Mélanie l’a très vite compris. Mais son caractère et sa détermination l’ont poussée à se faire sa place et à montrer qu’être une femme n’est pas un frein et ne le sera jamais ! 

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  Elisa est étudiante en M1 en Communication à Lyon. Après une licence très enrichissante à l’université, elle décide d’intégrer une école de Communication et par la même occasion, de trouver une alternance. Mais cela se passe en mars 2020, en plein confinement, ce qui rend la tâche ardue. Elle décide alors de se créer une page Instagram dédiée à cette recherche, d’envoyer des dizaines de mails et de suivre une ligne directrice qui, finalement, lui aura permis de trouver son alternance dans une entreprise en adéquation avec ses valeurs.

Il y a quelques semaines, Elisa recherchait une nouvelle alternance afin de poursuivre sa deuxième année de Master, comme pour acquérir plus d’expérience : une seule demande lui aura permis d’obtenir satisfaction !   

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 Lucas travaille aujourd’hui dans un drive alimentaire en contrat de 35 heures, un poste à responsabilités dans lequel il a réussi à s’épanouir. Mais ça n’a pas toujours été facile. Au collège, Lucas a rencontré des difficultés de concentration. Durant la même période, il découvre l’armée. Il sait alors ce qu’il veut faire. Mais au bout de quelques années, rien ne va plus, Lucas comprend qu’il a vécu un choc post traumatique durant une de ses missions. Il arrête l’armée et passe par une étape emplie de doutes avec l’impression d’avoir échoué.  Il est perdu, beaucoup de questions l’assaillent : qu’est-ce que l’armée lui a apporté et que peut-il faire sans diplôme ? Pour se sentir mieux, il se replonge dans sa première passion : la musique.  Il écrit et se relève peu à peu. Il connaît alors l’intérim, puis un temps partiel dans ce fameux drive et enfin, un poste à temps complet. Il évolue, grandit mais n’oublie pas tout ce qu’il a traversé, comme les obstacles qu’il a surmontés ou les objectifs qu’il s’est fixés ! 

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