Voyage-en-Voilier

Si vous voulez en savoir plus sur l’EAD ou la scolarisation des enfants dans une école locale pendant un voyage, vous êtes au bon endroit.

Et si vous êtes plus CNED ou IEF, allez écouter l’interview de Sabine : École à bord : Interview de Sabine du voilier Izayan.

Aujourd’hui, nous allons parler école en voyage avec Vanessa.Elle vit et voyage en famille sur le catamaran Ohana, actuellement ancré près de l’île de Sal au Cap Vert.

Elle et sa famille ont déjà pratiqué déjà 2 façons de faire l’école en voyage :

* L’EAD, les cours à distance belge,* la scolarisation temporaire en école locale, dans l’école internationale de Sal au Cap Vert.

Vous apprendrez dans cette interview :

* Pourquoi ils ont beaucoup apprécié ces deux modes de fonctionnement,* Et vous saurez un peu mieux comment on peut s’organiser dans la vie de tous les jours pendant un voyage.

Vous verrez, Vanessa donne beaucoup de détails concrets, cela permet vraiment de mieux se projeter.

Alors qui sont-ils ?

Il s’agit d’une famille belge.

Vanessa, JP, et leurs 2 fils Diego, 9 ans et Esteban, 6 ans.

Ils vivent et voyagent sur le catamaran Ohana.

Ce voyage est pour eux un projet de longue date. Afin de passer plus de temps en famille et de mieux profiter de la vie, tous ensemble.

Vous pouvez les suivre sue leur page Facebook : Ohana’s trip.

Leur parcours sur les mers (pour le moment) :

Ils sont partis de Dunkerque en octobre 2020.

Ce fut un départ plus tardif que prévu, à cause du Covid. Encore lui. Il aura compliqué bien des départs en voyage ces dernières années.

Mais les plus courageux et motivés d’entre nous ne renoncent pas à cause de ce genre de « détails ». On s’organise en conséquence, c’est tout. Et à ce que je sache, ce n’est jamais regretté.

Alors, ils ont d’abord traversé le Golf de Gascogne, puis visité l’Espagne, le Portugal, les îles Canaries et enfin, le Cap Vert, où ils sont depuis 8 mois.

C’est une longue étape, mais le voyage est loin d’être fini. Puisqu’il s’agit d’un voyage à durée indéterminé. Peut-être un tour du monde. On le saura dans quelques années.

Ils en profitent au maximum avant de se laisser porter plus loin. Où ? Tout dépendra du vent et surtout de l’ouverture des frontières (ce qui est nettement moins poétique, mais on n’y peut rien, c’est l’air du temps).

Le but de ce voyage : faire des rencontres, découvrir des cultures et des pays différents. Ainsi que tout ce qu’un voyage en famille pourra leur apporter.

Vous trouvez qu’ils n’ont pas l’air de profiter de la vie ?!

Quelques informations clefs sur l’EAD :

Il s’agit de L’E-learning ou Enseignement à Distance (EAD) proposé par la Fédération Wallonie-Bruxelles, donc des cours à distance belge.

Concrètement,

Voici la première de ma nouvelle série d’interviews sur le thème de l’école à bord ou l’éducation en voyage.

Vous pouvez écouter nos autres interview, sur le thème des voyages en voilier ici : Interviews de navigateurs.

Ainsi pour débuter cette série, j’ai décidé de commencer par interviewé une très bonne amie. Non seulement elle a fait une bonne partie de l’éducation de son fils en voyage, mais en plus, elle prépare actuellement une thèse en science de l’éducation.

C’est pourquoi, en plus de sa propre expérience, elle partagea avec nous son avis sur les avantages et les inconvénients d’une éducation « différente » des scolarisations classiques.

Alors de qui s’agit-il ?

Voici une brève présentation de l’équipage du voilier Izayan :

Sabine, vis et voyage en voilier depuis 2001, au départ de Mayotte. Elle est aussi professeur des écoles en Polynésie française et prépare actuellement un doctorat en science de l’éducation.

Son mari, Gary, est moniteur de plongée. C’est lui qui s’est occupé de l’instruction de leur fils, lorsque Sabine était en poste d’enseignante quelque part.

Leur fil Sohan, 15 ans, est actuellement scolarisé au lycée de Raiatea en Polynésie française.Il a effectué une grande partie de sa scolarité avec ses parents, en alternant, passage à l’école, IEF et CNED.

D’ailleurs si vous le souhaitez, vous pouvez venir découvrir la Polynésie sur leur voilier 😉Plus d’informations ici : Croisière Polynésie ou sur leur page Facebook.

Voilier Izayan dans les Tuamotu

Notre rencontre

J’ai rencontré Sabine la première fois à Kauehi, aux Tuamotu.

Le fait est que nous nous sommes plus ou moins suivies pendant plusieurs années sans vraiment nous croiser.Nous avons enseigné dans les mêmes écoles, mais à 1 ou 2 années d’intervalle. Pour nous retrouver enfin ensemble à l’école d’Anau, sur l’île de Bora Bora.

Quelque part, ce n’est pas si étonnant. En effet, nous cherchions toutes deux la même chose. Des écoles agréables, de préférence en bord de mer, sur des îles faciles d’accès en voilier et avec un mouillage agréable.

Sabine, Mary et Elyanne sur le Vitamin’sea à Bora Bora.

Aujourd’hui, nous nous retrouvons sur l’île de Raiatea, pour cette interview. Et nous sommes toutes les deux en disponibilité. Nous avons pris une pause, d’un an ou plus, dans ce travail d’enseignante. Moi, pour reprendre le voyage, elle pour préparer sa thèse de doctorat, tout en voyageant 😉

Son regard et son expérience de l’école en voyage sont très riches, et apportent beaucoup. Que ce soient pour ceux qui débutent dans ce domaine ou ceux qui veulent découvrir d’autres façons de vivre les apprentissages en voyage.

Ils ont presque tout essayé pour l’école à bord :

Lors de leurs longues années de voyage, ils ont essayé presque tous les modes de scolarisation :

PS : Scolarisation classiqueMS : instruction en famille (IEF)GS-...

Vous rêvez voyage en voilier et passez du temps sur internet pour concrétiser vos rêves ?Alors vous êtes alors probablement déjà tombé sur cette famille « Poussé par le vent », que ce soit sur leur chaine YouTube « Poussé par le vent » ou leur blog du même nom.

Il s’agit de Sarah, Aurélien, Nael (4 ans) et Mia (2 ans) qui vivent

et voyagent tous les 4 sur le voilier Maloya, un Océanis 411, depuis mai

2017.

C’est Sarah, l’instigatrice de leur voyage, que j’interviewe pour vous aujourd’hui.

* Elle nous décrit les fondements et le tout début d’un voyage en voilier avec un bébé. Qu’est-ce qui a poussé deux anciens champions de windsurf à se lancer dans ce périple ?

* Elle nous parle de leurs grands moments, mais aussi des difficultés rencontrées en cours de route.

* Et pour finir, vous saurez tout de leurs futurs projets. Que ce soient dans le domaine du voyage ou du numérique.

Vous retrouverez toutes nos interviews de voiliers autour du monde ici : « Interview de navigateurs »

Vous pouvez également écouter le podcast de Sarah « Oleti » sur son site « Sarah Hébert ».

Sarah et Aurélien sont tout deux anciens champions de Windsurfs, ils ont entrepris de faire un tour du monde de la glisse sur leur voilier Maloya.

Nous les avons rencontrés il y a un peu plus de 6 mois, sur l’île de Raiatea. C’est vraiment une famille géniale. Nous sommes tout de suite très bien entendu. Les enfants aussi ce qui ne gâche rien 😉

Ils sont actuellement en « pause, remplissage de caisse de bord » sur cette île pour 2-3 ans.

Parmi leurs différents projets, Sarah propose actuellement de participer à un chalenge SUP yoga. Vous pouvez retrouver les informations à ce sujet sur leurs page Facebook « Poussé par le vent »

Avec du cœur, tout est possible !

Sarah Hebert

Voilier Maloya au couché du soleil

Kagou, c’était nos nouveaux voisins… juste avant que l’on quitte Bora-Bora.Une famille super cool, sur un ovni 43. Avec une petite demoiselle, Lou, 3 ans, qui est allée à l’école avec nos enfants.

Ce qui les différencie des autres voiliers rencontrés en voyage ?

2 choses principalement :

* Ils font du 6 mois/6 mois. C’est-à-dire 6 mois en voyage autour du monde avec leur voilier puis 6 mois en France, pour travailler et remplir la caisse de bord.

* Et ils ne font pas que naviguer, mais ils volent 😲

Comment ça, ils volent ???

En parapente, tout simplement, et ça, un peu partout dans le monde !

En fait leur truc, c’est ça : ils passent 6 mois à Chamonix où Olivier à son entreprise de parapente et Sophie enseigne le Yoga. Puis 6 mois sur Kagou, à naviguer de la France jusqu’à la Polynésie où ils sont actuellement.

Et c’est ce qu’ils nous expliquent concrètement dans ce podcast. L’intérêt de ce mode de vie/de voyage, mais aussi les complications que cela entraine.

Et même si on en parle pas trop dans l’interview, je le mentionne ici, parce que ça aussi c’est stupéfiant; ils font aussi de magnifiques photos en robe haute couture, suspendus dans les cieux ensoleillés !

Regardez ce que ça donne :

Vous pouvez les retrouver et les suivre sur leur communauté Facebook : Kagou flying boat.

Petites précisions sur cette interview

Alors, oui, l’enregistrement audio n’est pas de très bonne qualitéNous débutons encore dans le domaine. Ce n’est que la 4ème que nous réalisons et la première en extérieur… nous n’avions donc pas bien pris en compte le vent…

J’ai donc fait quelques coupure, là où ça devenait difficile à écouter.

Ainsi, nous avons hésité à la diffuser, à cause de sa qualité sonore médiocre… mais en même temps, je trouvais les infos qu’ils nous donnent tellement intéressantes ! Surtout pour ceux qui souhaiterais se lancer dans ce type de voyage, en 6mois terre/6 mois mer.Il y a là de vraies pépites, c’est pourquoi on vous la propose quand même.

Toutefois, s’il y a des choses qui ne vous semblent pas claires ou si vous avez d’autres questions à ce sujet, n’hésitez pas à nous les poser ! Soit en commentaire, soit directement via notre formulaire de contact. Et si le sujet vous intéresse vraiment et que la qualité du son vous dérange trop, dites-le-nous, nous éditerons une transcription texte de celle-ci.

Et avec un peu de chance, nous recroiserons Kagou prochainement et nous pourrons améliorer tout ça !

Pour finir, si vous avez envie de découvrir d’autres aventures de navigateurs au long cours vous pouvez aussi écouter l’Interview de Chloé du voilier Colibri.

Vous aimez les podcasts et les anecdotes de navigateurs, retrouvez nos autres interviews ici : – Interview de Chloé du voilier Colibri– Interview du navigateur – ingénieur Benoît Marie

Laura est la petite sœur de Mary. Petite dernière d’une famille de 4 enfants, elle a passé toute son enfance sur un voilier. De ses 5 ans (presque 6) jusqu’à ses 19 ans.Elle nous raconte dans cette interview, ses bons, mais aussi, ses mauvais souvenirs.Et pour Laura, l’enfance sur un voilier n’a pas toujours été rose !

Le Noé, le navire familial, est un voilier de 12 m en acier. C’est donc à 6 : Antoine, Sylvie, Mary (13 ans), Lucie (11 ans), Louis (8 ans) et Laura (5 ans), que la famille a traversé l’Atlantique puis le Pacifique pour arriver en Polynésie il y a un peu plus de 20 ans de cela.

Durant cette interview, Laura retrace les grandes lignes du voyage, mais nous parle surtout de son ressenti de petite fille. En effet, une enfant ne voit pas cette aventure sur les mers, avec les mêmes yeux que nous, adultes. Et il est certain que les particularités de ce mode de vie ne sont pas toujours faciles et agréables pour une petite fille qui n’a rien connu d’autre.

Elle aborde également dans ce podcast, l’école à bord. En effet, nous avons tous les 4 suivi le CNED durant nos années de voyage. Les cours par correspondance sont souvent un élément central dans la vie des jeunes marins. En général, qu’ils aiment où qu’ils n’aiment pas, il faut en passer par là.

Ce qui a été le plus difficile pour elle, durant cette enfance itinérante ? Vous le saurez en écoutant l’interview 😉

Pour compléter cette interview, on vous ajoute ici les photos de certains moments forts su voyage. Ils ont marqué ses jeunes années. Et par dessus tout, ils ont fait d’elle la jeune femme, sûre d’elle, audacieuse, mais prudente, qu’elle est aujourd’hui. Et ainsi, vous pourrez mieux visualiser les choses.

Et si vous aimez les belles photos, de jeune aventureuse, pas forcément sur les bateaux, mais un peu partout dans le monde, vous pouvez suivre Laura sur Instagram.

Vous rêvez de parcourir le monde en voilier. De partir à l’aventure par-delà les mers.Chloé et Michel, du voilier Colibri l’ont fait !

Sur un petit voilier de 10 m, ces deux Réunionnais ont quitté Brest il y a maintenant un an et demi. Et nous les avons rencontrés ici, à Bora-Bora.

Si vous aimez les interviews de navigateur, vous pouvez aussi écouter l’interview du navigateur – ingénieur Benoît Marie !

Comment avons-nous fait leur rencontre ?

Il y a 3 semaines de cela, nous avons reçu un message sur notre blog. Il s’agissait de Chloé.

Elle nous demandait des informations sur les mouillages à Bora Bora et proposait de se rencontrer.

Puis quelques jours plus tard, le Colibri jetait l’ancre à une centaine de brasses du Phœnix !

Ce fut un plaisir de faire leur rencontre.

Et de revivre un peu grâce à eux la vie de voyage et de découvertes que nous avons mis sur pause depuis quelques années.

De surcroit, Antonin a été enchanté de croiser de cette manière deux spécialistes « agricole ». Ils ont parlé tomates et radis pendant des heures !

Nous avons aussi eu l’occasion de ressortir nos jeux de société, c’est toujours une manière passionnante d’agrémentée une soirée : D

Ce n’est pas la première fois que nous faisons connaissance avec d’autres voiliers grâce au blog. Mais cette fois, nous nous sommes dit que justement, nous pourrions partager avec nos lecteurs le plaisir d’une nouvelle rencontre.

C’est pourquoi nous avons décidé de les interviewer, pour vous !

Ainsi, vous aussi aurez l’occasion de découvrir une partie de leur histoire.

Mais par-dessus tout, nous souhaitons vous montrer que c’est possible !

Si vous le voulez vraiment vous pouvez tout comme eux, comme nous, vivre un voyage et des aventures passionnantes.

Et ce sont ces belles entrevues, au hasard de la mer, qui nous font adorer cette vie si différente.

L’interview

Cliquez ici pour écouter cette interview.

Elle dure 6 minutes 45.

Vous pouvez également retrouver Chloé, Michel et le voilier Colibri sur leur page Facebook !

Bonjour,Vous allez écouter une interview de Benoît Marie dans laquelle il nous parle entre autres de sécurité en mer, il nous donne sa méthode pour choisir quel matériel embarquer en longue navigation ainsi que des astuces pour le routage météo. Ce skipper professionnel nous dévoile également comment il en est arrivé aujourd’hui à concevoir des prototypes de bateaux sur foils.

Mary & Anto :

Nous recevons aujourd’hui Benoît Marie, vainqueur de la mini transat en 2013 à la fois navigateur ingénieur et conférencier il s’est spécialisé depuis dans les bateaux sur foils. Vous pouvez le retrouver sur le site benoitmarie.com.

Bonjour Benoît, donc pour commencer est-ce que tu peux nous parler un peu de toi, comment tu en es arrivé là ?

Benoît Marie :

Bonjour, effectivement moi j’ai un parcours d’ingénieur, j’ai commencé l’optimist comme pas mal d’enfants quand j’avais sept ans, avec des parents qui m’ont fortement incité à faire de la voile puisque c’était leur passion respective.

Un de mes premiers souvenirs d’enfance c’étaient sur le bateau de nos voisins, on habitait en région parisienne à l’époque, et les premiers souvenirs d’enfant que j’ai, c’est les nuits en mer avec mes parents sur ce petit bateau en bois. C’était un chassiron qui s’appelait Andromède.

Ce qui est rigolo c’est que ce bateau-là appartenait à la famille Viat, dont le fils Louis est aussi dans le milieu de la voile professionnelle, c’est assez rigolo de s’être retrouvé vingt ans plus tard.

Donc j’ai fait de l’optimist en compétition, enfin d’abord en école de voile puis en compétition, puis j’ai fait des études d’ingénieur pour me spécialiser dans la voile de compétition.

Donc j’ai toujours rêvé de faire de la course au large et de faire la mini transat qui est le point de départ de pas mal de carrières professionnelles.

Et c’est ce que j’ai fait en 2013 après deux ans de projet, et ça s’est bien passé puisque je l’ai gagné du premier coup, et c’est ce qui a lancé ma carrière sportive que je poursuis depuis sur des bateaux à foils de toutes tailles.

Mary & Anto :

Ok, et qu’est-ce qui te plaît le plus en ce travail ?

Benoît Marie :

Ce qui me plaît le plus c’est différent choses, moi je suis un technicien donc moi ce qui me plaît vraiment c’est la technique : faire avancer les bateaux le plus vite possible, réfléchir à leurs améliorations, comment trouver de petites innovations, des petites améliorations un peu partout que ce soit en aéro, en hydro, en structure, en système, en tout ce qu’on veut.

Donc c’est vraiment le technique qui me plaît bien sur les bateaux de haute performance .

Et puis une autre facette que j’aime énormément, c’est ces voyages, qu’on n’est pas obligé de faire qu’en courses, mais que je trouve sympa de voyager. Les courses aux larges on rejoint un autre continent un autre pays une autre culture et pour moi c’est toujours magique, qu’on le fasse en croisière d’ailleurs, ou en compétition c’est la même chose.

Et puis sur les circuits internationaux, c’est un peu pareil même si on prend la voiture ou l’avion.

Cliquez sur « play » pour l’écouter ou faites un clic droit ici et « enregistrez la cible du lien sous » pour le télécharger directement si vous voulez l’écouter sur votre appareil!

De quoi s’agit-il ?

Nous avions déjà partagé avec vous il y a quelques temps notre journal de bord, rédigé pendant notre navigation Navigation Whangareï → Tubuai.Vous retrouverez ici la partie plus humaine de cette navigation, c’est a dire comment nous l’avons vécu. Nous avons choisi de le faire en podcast pour privilégié ce coté humain justement.

C’est notre tout premier donc ne soyez pas trop sévères avec nous ^^ et ça n’a pas été facile !Dites nous vraiment si vous préférez ce support ou si vous auriez préféré une version texte !

Pour mémoire :

* Navigation de Whangarei en Nouvelle Zélande jusqu’à Tubuai en Polynésie Française* 2320 miles nautiques* 25 jours de mer* Départ le 23 mai 2015* Mary est alors enceinte de 7 mois (au départ) 8 mois (à l’arrivée)* Antonin gère donc seul le voilier la plus part de la navigation.* Il s’agit d’une de nos navigations les plus difficile (juste après Australie -> Nouvelle Zélande)