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Or
Dans cette émission, nous discutons d'une étude récente publiée dans la revue Nature Communications, qui met en évidence les conséquences du changement climatique et de l'assèchement de l'atmosphère sur la croissance de la forêt boréale canadienne et sa capacité à absorber le carbone. Cette étude, à laquelle Martin Girardin de Ressources naturelles Canada a participé, a analysé 3 559 sites forestiers à travers le pays, y compris dans les territoires du Nord-Ouest et au Yukon.
Il s'avère que les différentes espèces de la forêt boréale réagissent différemment à l'assèchement de l'atmosphère, en particulier l'épinette noire qui se révèle être particulièrement sensible. Lorsqu'il fait très chaud, cette espèce ferme ses stomates, ce qui ralentit sa croissance et diminue sa capacité à capturer du carbone. Cette recherche montre donc qu'au long terme, les forêts ne pourront plus absorber autant de carbone qu'auparavant.
Dans cette émission, nous discutons d'une étude récente publiée dans la revue Nature Communications, qui met en évidence les conséquences du changement climatique et de l'assèchement de l'atmosphère sur la croissance de la forêt boréale canadienne et sa capacité à absorber le carbone. Cette étude, à laquelle Martin Girardin de Ressources naturelles Canada a participé, a analysé 3 559 sites forestiers à travers le pays, y compris dans les territoires du Nord-Ouest et au Yukon.
Il s'avère que les différentes espèces de la forêt boréale réagissent différemment à l'assèchement de l'atmosphère, en particulier l'épinette noire qui se révèle être particulièrement sensible. Lorsqu'il fait très chaud, cette espèce ferme ses stomates, ce qui ralentit sa croissance et diminue sa capacité à capturer du carbone. Cette recherche montre donc qu'au long terme, les forêts ne pourront plus absorber autant de carbone qu'auparavant.