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Le texte évoque le principe selon lequel l'adoration doit être conforme à la législation islamique, non seulement dans sa cause, mais aussi dans son genre. Il illustre cela en prenant l'exemple de l'immolation d'un cheval le jour de la fête du sacrifice (Al-‘îd-al-Adhâ).
L'argument avancé est que sacrifier un cheval lors de cette fête est contraire à la législation dans son genre. Les raisons de cette opposition peuvent être les suivantes :
1. **Non-Conformité aux Pratiques Législatives :** La législation islamique spécifie les types d'animaux qui sont admissibles pour le sacrifice lors de la fête de l'Aïd al-Adhâ, et un cheval n'est pas parmi ces animaux. Par conséquent, sacrifier un cheval à cette occasion ne correspondrait pas au genre d'adoration légalement prescrit.
2. **Respect des Règles Établies :** Le texte insiste sur le respect des règles et des normes établies par la législation islamique en ce qui concerne les actes d'adoration. Les enseignements du Prophète Muhammad (paix soit sur lui) et les pratiques légalement établies doivent être suivis de manière précise et sans ajout d'éléments non spécifiés.
3. **Eviter l'Innovation (Bid'a) :** En sacrifiant un cheval lors de l'Aïd al-Adhâ, on risque d'introduire une innovation dans la pratique religieuse, ce qui est déconseillé dans l'islam. Les actes d'adoration doivent être basés sur ce qui a été enseigné et pratiqué par le Prophète, sans ajouts ou modifications non autorisés.
Ainsi, le texte met en avant l'importance de respecter les règles établies par la législation islamique non seulement dans les causes des actes d'adoration, mais aussi dans leur nature et leur genre spécifiques. Cela souligne la nécessité de suivre strictement les enseignements légaux pour garantir la validité des actes d'adoration dans l'islam.
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By Kunuz AdinLe texte évoque le principe selon lequel l'adoration doit être conforme à la législation islamique, non seulement dans sa cause, mais aussi dans son genre. Il illustre cela en prenant l'exemple de l'immolation d'un cheval le jour de la fête du sacrifice (Al-‘îd-al-Adhâ).
L'argument avancé est que sacrifier un cheval lors de cette fête est contraire à la législation dans son genre. Les raisons de cette opposition peuvent être les suivantes :
1. **Non-Conformité aux Pratiques Législatives :** La législation islamique spécifie les types d'animaux qui sont admissibles pour le sacrifice lors de la fête de l'Aïd al-Adhâ, et un cheval n'est pas parmi ces animaux. Par conséquent, sacrifier un cheval à cette occasion ne correspondrait pas au genre d'adoration légalement prescrit.
2. **Respect des Règles Établies :** Le texte insiste sur le respect des règles et des normes établies par la législation islamique en ce qui concerne les actes d'adoration. Les enseignements du Prophète Muhammad (paix soit sur lui) et les pratiques légalement établies doivent être suivis de manière précise et sans ajout d'éléments non spécifiés.
3. **Eviter l'Innovation (Bid'a) :** En sacrifiant un cheval lors de l'Aïd al-Adhâ, on risque d'introduire une innovation dans la pratique religieuse, ce qui est déconseillé dans l'islam. Les actes d'adoration doivent être basés sur ce qui a été enseigné et pratiqué par le Prophète, sans ajouts ou modifications non autorisés.
Ainsi, le texte met en avant l'importance de respecter les règles établies par la législation islamique non seulement dans les causes des actes d'adoration, mais aussi dans leur nature et leur genre spécifiques. Cela souligne la nécessité de suivre strictement les enseignements légaux pour garantir la validité des actes d'adoration dans l'islam.
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