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By 365histoires
The podcast currently has 22 episodes available.
En 1991, pendant le ramadan, un jeune musulman de l’île Kalimantan en Indonésie (ex Bornéo) eut un rêve qui le perturba. Il rêva qu’il était assis sur une chaise, et ses bras y étaient attachés par des cordes. Un homme, qu’il reconnut comme étant Jésus, vint vers lui. Jésus toucha les cordes et elles tombèrent de ses bras. Jésus lui dit :
— Cherche la potence.
— Quelle potence ? demanda-t-il
Mais Jésus répéta simplement :
— Cherche la potence.
Le jeune homme se réveilla de son rêve, se demandant qu’elle pouvait en être la signification, mais au bout de quelques jours, il l’oublia, et sa vie continua.
Deux ans plus tard, durant le ramadan en 1993, il eut un autre rêve. Cette fois, Jésus vint vers lui en lui disant :
— Je t’avais dit de chercher la potence. Pourquoi n’as-tu pas fait ce que j’ai dit ?
Le jeune homme répondit :
— Où est la potence, et comment puis-je la trouver ?
Jésus lui indiqua une colline très éloignée et dit :
— Va, cherche la potence.
Dans son rêve, il courut dans la direction que Jésus lui avait indiquée. Il lui sembla parcourir des kilomètres au milieu des épines et de la jungle épaisse. Épuisé, il finit par arriver à une clairière, et là, devant lui, une croix était dressée. C’était la potence que Jésus lui avait demandé de chercher !
Le jour suivant, le jeune homme alla voir le chef de la mosquée et lui raconta ses étranges rêves. Il demanda à l’imam s’il connaissait la signification de la croix. L’imam répondit :
—Cherche la vérité.
— Le Jésus des chrétiens est-il la vérité ? demanda-t-il.
Mais l’imam répéta simplement :
— Cherche la vérité.
La nuit suivante, le jeune homme rêva à nouveau, et cette fois, il vit un cimetière chrétien -parce que devant toutes les tombes, il y avait une croix. Alors qu’il regardait les tombes, celles-ci s’ouvrirent tout à coup, et ceux qui étaient enterrés s’élevèrent vers le ciel où Jésus les attendait. Il cria à Jésus qu’il n’était pas prêt parce qu’il n’avait pas encore la croix ! Il se réveilla de son rêve très perturbé. Il connaissait une petite église près de son village et alla y trouver le pasteur. Le jeune homme demanda si le pasteur pouvait l’aider à comprendre ses rêves. Le pasteur lui donna une Bible et l’ouvrit à Jean 14 : 6. Jésus lui dit : Je suis le chemin, la vérité et la vie.
Ce jeune homme commença à venir à l’église durant plusieurs semaines avant de donner enfin sa vie au Seigneur Jésus. « Le chemin, répondit Jésus, c’est moi (parce que) Je suis la vérité et la vie. Personne ne parviendra jusqu’au Père sans passer par moi ».
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elle désirait le questionner et réclamer son aide.
Tout en lui servant une tasse de thé, elle lui dit comment elle priait avec insistance depuis longtemps pour recevoir le salut, mais sans résultat. Pour toute réponse, le serviteur de Dieu s’écria :
— Oh ! Madame, j’ai terriblement soif ; voudriez-vous avoir l’obligeance de m’offrir une tasse de thé ?
Stupéfaction de l’hôtesse, répondant aussitôt :
— Mais, Monsieur, vous êtes servi ? La tasse est là, devant vous. Il vous suffit de la prendre !
L’entretien se poursuivit, la dame revenant sans cesse à ses problèmes, l’évangéliste l’interrompant encore une ou deux fois pour réclamer une tasse de thé, tandis que celle qui lui avait été servie refroidissait devant lui.
Finalement, Mme C. comprit : ce salut qu’elle réclamait à grands cris, il était déjà à sa disposition, il lui suffisait de s’en emparer ! Ce qu’elle fit sans attendre…
Oui, notre salut a été parfaitement accompli par Jésus-Christ à la croix. Il est, depuis lors, offert à tous. Comment le recevoir ? C’est très simple : il suffit de reconnaître son état de péché, son incapacité à « se sauver soi-même », et d’accepter dans la reconnaissance le grand salut que Dieu donne à ceux qui se repentent et croient.
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Aimez-vous regarder vos anciens albums de photos ? L’autre jour, j’en ai feuilleté plusieurs ; cela m’a rappelé beaucoup de bons moments passés en famille, des paysages de mon enfance, tant de visages aimés…
En général, nous aimons conserver un souvenir photographique des meilleurs instants de la vie, mais personne n’aurait l’idée de se faire prendre en photo quand ce n’est pas à son avantage et de garder trace de ses mauvais moments : une colère par exemple. Aimeriez-vous qu’un album remette sous vos yeux tous les péchés que vous avez commis ? Vous ne le regarderiez pas souvent et encore moins le montreriez-vous à d’autres. Eh bien, Dieu enregistre nos vies tout entières. Il connaît toutes nos actions, nos paroles et même nos pensées. Il se souvient de chaque détail et jugera chaque vie humaine.
Heureusement, tout notre passé coupable peut être effacé. Ces fautes que nous avons oubliées, mais qui chargent notre conscience, comme celles dont le souvenir nous afflige longtemps après, peuvent être complètement ôtées. Dieu ne se souviendra plus d’aucune d’elles.
Comment est-ce possible ? Par le sang de Christ. Nous étions condamnés, mais le Fils de Dieu est mort sur la croix à la place de ceux qui se confient en Lui. Sa vie offerte a répondu à la justice et à la sainteté de Dieu.
Il a fait la paix par le sang de sa Croix, Colossiens 1. 20. Maintenant, Dieu pardonne et reçoit tous ceux qui viennent à Lui par Jésus.
J’ai effacé… comme une nuée, tes péchés, Esaïe 44 : 22.
Le sang de Jésus-Christ, son Fils, nous purifie de tout péché, 1 Jean 1 : 7.
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Henri avait 6 ans. Ses parents étaient des chrétiens fidèles et convaincus. Ils avaient tout naturellement enseigné les grandes vérités de la Bible à leur petit garçon. Henri était assidu à l’école et il avait beaucoup de bons camarades. Il menait donc une vie d’enfant plutôt harmonieuse et jouissait du privilège de grandir dans une famille heureuse et unie.
Mais soudainement cette vie de famille gaie et paisible fut changée en drame. Le petit Henri fut atteint d’une maladie grave qui pouvait mettre ses jours en danger. Après un assez long séjour à l’hôpital, les médecins n’osaient toujours pas se prononcer sur l’issue de cette terrible épreuve. Bien entendu, les parents d’Henri priaient avec ferveur pour la guérison de leur petit garçon bien-aimé. Leurs amis chrétiens partageaient leur inquiétude et se joignirent à eux pour demander à Dieu une intervention de sa toute-puissance.
Un jour lorsque le petit Henri, toujours dans son lit d’hôpital, parlait au téléphone avec son meilleur camarade de jeu, il dit : « Tu sais, je crois que je vais bientôt rentrer à la maison chez papa et maman. En tout cas, je l’espère bien. Mais si jamais je ne rentre pas chez eux, je rentrerai à la maison de Dieu. »
Quelques jours plus tard, le petit Henri s’éteignit paisiblement dans son lit d’hôpital, laissant ses parents et ses camarades dans une immense tristesse et avec la question lourde et pesante : pourquoi ? Oui, pourquoi Henri devait-il mourir si jeune ? Pourquoi Dieu ne l’avait-il pas guéri ?
Ici-bas, il y aura toujours des questions qui resteront sans réponse. Parfois, nous avons peut-être un élément de réponse. Dans d’autres cas, tout semble inexplicable, incompréhensible et totalement dénué de sens. Pourtant, les paroles que le petit Henri adressa à son meilleur camarade au téléphone expriment bien la nature de l’espérance du chrétien. En effet, Henri avait d’abord un espoir humain et tout à fait légitime. C’était de pouvoir bientôt rentrer chez son papa et sa maman. Mais malgré son jeune âge, il avait compris la gravité de la situation. C’est pour cela qu’il ajouta que si jamais cet espoir ne se réalisait pas, il avait une autre espérance. « Alors je rentrerai à la maison de Dieu », disait-il.
C’est le psalmiste dans la Bible qui dit : Pour moi, j’espérerai toujours. Comment pouvait-il dire une chose pareille ? Il savait très bien que certains de nos espoirs terrestres ne se réaliseraient pas. Il savait que toutes nos attentes ne seraient pas comblées. Il connaissait probablement le témoignage de Job qui disait : J’attendais le bonheur, mais le malheur est arrivé ; j’espérais la lumière, mais les ténèbres sont venues. Pourtant, le psalmiste pouvait dire qu’il espérerait toujours car, exactement comme le petit Henri, il avait une autre espérance qui allait au-delà de toutes les attentes terrestres.
Savez-vous que dans la Bible, Jésus-Christ est appelé « notre espérance » ? En mettant votre confiance et votre espoir en Lui comme Sauveur et Seigneur, vous ne serez jamais totalement sans espérance. Vous aurez vous aussi cette autre espérance qui ne dépend plus des circonstances d’ici-bas. Et malgré les questions qui resteront sans réponse, vous pourrez dire vous aussi :
Pour moi, j’espérerai toujours ! Psaumes 71 :14.
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Un visiteur se promenait sur un endroit escarpé du rivage de la mer Morte, quand il perdit l’équilibre et glissa dans l’eau. Il ne savait pas nager et, pour ne pas s’enfoncer et se noyer, il se mit à se débattre dans tous les sens et de toutes ses forces. Mais il finit par s’épuiser et vit qu’il n’y avait rien à faire. C’est alors qu’il s’aperçut que l’eau le portait : en effet, les minéraux et le sel contenus dans la mer lui confèrent une densité telle, qu’en restant calme, sans bouger, il découvrit qu’il flottait.
Spirituellement, il en est de même pour nous ; cessons de gesticuler et de nous débattre dans de stériles efforts et abandonnons-nous avec confiance en Dieu qui nous aime et qui soutient toutes choses.
Ne t’ai-je pas dit que si tu crois, tu verras la gloire de Dieu ? Jean 11 :40.
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Un jeune homme entre en rêve dans un magasin. Derrière le comptoir se tient un ange. Le jeune homme lui demande :
—Que vendez-vous ?
L’ange lui répond :
— Tout ce que vous désirez.
Alors, le jeune homme commence à énumérer :
— Si vous vendez tout ce que je désire, alors j’aimerais bien : la fin de la guerre dans le monde, la fin des bidonvilles en Amérique latine, l’intégration dans la société de tous les marginaux, du travail pour tous les chômeurs, plus d’amour et de vie communautaire dans l’Eglise…
L’ange lui coupe la parole :
— Excusez-moi, Monsieur, vous m’avez mal compris, ici nous ne vendons pas de fruits, nous ne vendons que les graines.
Dans l’Evangile de Jean, chapitre 12 : 24, notre vie spirituelle est comparée à une graine ou un grain de blé :
En vérité, en vérité, je vous le dis, si le grain de blé qui est tombé en terre ne meurt, il reste seul ; mais, s’il meurt, il porte beaucoup de fruit. Celui qui aime sa vie la perdra, et celui qui hait sa vie dans ce monde la conservera pour la vie éternelle.
Beaucoup de gens cherchent les fruits sans passer par la mort et nous devons déjà commencer par mourir à nous même, c’est-à-dire renoncer à nos plans et à notre volonté pour chercher le plan et la volonté de Dieu. Les hommes veulent toujours avoir des fruits mais ils n’acceptent pas d’avoir le rôle de la graine qui doit mourir. Or, nous devons mourir à nous-mêmes exactement comme a fait Jésus, qui a renoncé à faire ses plans pour faire la volonté de son père céleste. L’exemple de Jésus l’a démontré toute sa vie, mais il y a un exemple bien spécifique dans ce passage. Nous retrouvons Jésus en agonie, la crucifixion vient, il est dans le jardin de Gethsémané, Matthieu 26 : 38 – 39.
Il leur dit alors : Mon âme est triste jusqu’à la mort ; restez ici, et veillez avec moi.
Puis, ayant fait quelques pas en avant, il se jeta sur sa face, et pria ainsi : Mon Père, s’il est possible, que cette coupe s’éloigne de moi ! Toutefois, non pas ce que je veux, mais ce que tu veux.
Et là, nous aurons des fruits…
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Charles Finney naquit en 1792 dans le Connecticut (États-Unis).
Son éducation religieuse fut négligée à tel point qu’il n’eut connaissance des vérités évangéliques qu’à l’âge de 26 ans, quand il commença ses études de droit. Et encore, ces vérités lui furent présentées par une église qui n’avait plus de vie !
Finney désirait passionnément connaître la Vérité. Il assistait aux réunions de prière, mais il ne tarda pas à constater avec surprise que les prières n’étaient pas exaucées, et que même, on ne s’attendait pas à ce qu’elles le soient ! Si bien que lorsqu’on lui demanda s’il désirait que l’on prie pour lui, il répondit : « Non, car je ne vois pas que vos prières soient exaucées ».
Dès cet instant, il ne voulut plus d’autre guide que la Parole de Dieu, qu’il étudiait avec ardeur.
L’intelligence de ce jeune avocat avait saisi la vérité, mais son cœur n’était point encore gagné, lorsqu’un dimanche d’automne 1821, il prit la ferme résolution de donner son cœur à Dieu.
Après une lutte intense, dans un bois où il s’était caché avec soin, son orgueil lui fut révélé ; il l’abandonna alors avec force et détermination. « Je ne quitterai pas ce lieu, se dit-il, quand même tous les hommes du monde et tous les diables de l’enfer s’assembleraient pour me regarder ! Eh quoi ? Un pécheur dégradé, comme je le suis, aurait-il honte d’être surpris par un autre pécheur, implorant à genoux la miséricorde de son Dieu ? Non, non ! Ce serait un trop grand péché ! »
Son cœur se brise, toutes ses résistances cèdent, et cette Parole de l’Écriture lui revient à l’esprit :
Vous me chercherez et vous me trouverez si vous me cherchez de tout votre cœur, je me laisserai trouver par vous dit l’Eternel,Jérémie 29 : 13.
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Un enfant terrible ne se calmait que le soir, au moment de faire sa prière. Un soir, un ami de ses malheureux parents, venu à la maison, l’interrogea :
— Sans doute pries-tu Dieu de te rendre plus sage ?
— Non, répondit l’enfant. Je lui demande de rendre maman plus patiente.
Au fond, ce n’était qu’un enfant. Mais nous, qui sommes adultes, sommes-nous vraiment plus raisonnables que lui lorsque nous demandons à Dieu de transformer ceux qui nous posent des problèmes au lieu de Le prier de changer notre cœur ? Nous voudrions que les autres nous supportent tels que nous sommes. Nous ne manifestons aucun signe de repentir ni de désir d’être transformés par la puissance de l’Esprit de Dieu. Notre prière ne peut pas être alors agréable à Dieu.
Nous devrions lui dire, avec sincérité, comme le fît David :
Les sacrifices qui sont agréables à Dieu, c’est un esprit brisé : O Dieu ! Tu ne dédaignes pas un cœur brisé et contrit, Psaumes 51 : 19.
D’où viennent les luttes, et d’où viennent les querelles parmi vous ? N’est-ce pas de vos passions qui combattent dans vos membres ?
Vous convoitez, et vous ne possédez pas ; vous êtes meurtriers et envieux, et vous ne pouvez pas obtenir ; vous avez des querelles et des luttes, et vous ne possédez pas, parce que vous ne demandez pas.
Vous demandez, et vous ne recevez pas, parce que vous demandez mal, dans le but de satisfaire vos passions, Jacques 4 : 1-3
Aujourd’hui, la mode est au téléphone portable. Tout le monde se balade avec son portable. Ainsi, on peut être en contact avec ses correspondants à tout instant. Privilège ? Chaîne ? Entrave à la liberté ? Les avis sont partagés !
Mon propos n’est pas d’apporter une réponse et de trancher dans le vif de cette importante question, mais simplement d’introduire un fait divers qui, d’après ce qu’on m’a raconté, se serait passé quelque part en Afrique.
Au volant de sa voiture, une femme se fait arrêter par la police pour un contrôle de routine. Elle sort de son véhicule, pose son téléphone portable sur le siège à côté du sien et se dirige vers le chef de poste, laissant le deuxième policier à côté de sa voiture. Les formalités accomplies, avant de reprendre sa place au volant, elle s’aperçoit que son portable a disparu.
—Monsieur le policier, j’ai laissé mon portable dans la voiture sur le siège et il a disparu. Avez-vous vu quelqu’un dans les parages ? L’avez-vous pris vous-même pour le mettre en lieu sûr et éviter qu’on ne me le vol ?
—Non, madame, répondit le policier. Je n’ai vu personne et je n’ai pas touché à votre téléphone.
—Mais enfin, il n’y avait que vous ici ! Les téléphones n’ont pas de jambes pour se sauver…
—Vous voulez m’accuser ! Vous me prenez pour un voleur, réplique le policier en commençant à s’échauffer.
Juste à ce moment-là arrive une autre voiture. Au volant, un homme qui connaît bien la dame.
Apprenant les détails de l’incident, il a une idée lumineuse : il sort son propre portable de sa poche avec lequel il fait le numéro du portable de la dame.
Surprise : la poche du policier se met à sonner !
Je ne connais pas la suite : je la laisse à votre imagination. Une chose est certaine : il est préférable d’avoir une existence droite, correcte et transparente pour éviter la honte, l’humiliation et le mépris. De quoi me souvenir de cette parole :
Il n’y a rien de caché qui ne se découvre un jour.
Et cette autre interpellation :
Ton péché te trouvera. Ce sont vos péchés qui vous cachent sa face, Esaïe 59
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Une jeune fille, accompagnée de sa mère âgée, passait quelques semaines de vacances en Autriche. Pour payer les frais de l’hôtel, elle devait donner des leçons de piano. Hélas, le petit nombre de ses élèves ne lui permettait plus de trouver les sommes nécessaires. Pour avoir plus de leçons, elle avait pensé donner un récital de piano. Un salon de l’hôtel étant mis à disposition, elle prépara une affiche sur laquelle elle inscrivit les morceaux qu’elle se proposait de jouer. Craignant que peu de personnes ne fussent attirées par le nom d’une modeste inconnue, elle le fit suivre de cette mention : « Elève de Liszt ». En fait ce n’était pas vrai. Elle avait écrit ces mots en espérant ainsi attirer plus de monde.
Or, le grand compositeur, à cette époque au sommet de sa renommée, descendit à l’hôtel le jour même où devait avoir lieu le récital. Il lut l’affiche.
Bouleversée à la pensée que son mensonge allait être découvert, la jeune fille, confuse et en larmes, avoua sa faute à l’artiste. Celui-ci sans s’émouvoir, répondit avec une grande bonté :
— J’aimerai beaucoup, mademoiselle, vous entendre jouer un des morceaux de votre programme.
Émue et tremblante, mais encouragée par le ton bienveillant du grand compositeur, la jeune fille se mit au piano. De temps en temps, Liszt lui donnait un conseil, corrigeait la position de ses mains, lui disait comment faire pour donner plus d’émotion à son morceau. Lorsqu’elle eut terminé :
— Eh bien, mademoiselle, vous pouvez, sans aucune hésitation, écrire que vous êtes élève de Liszt. Et vous pourrez ajouter sur votre affiche que le dernier morceau sera joué par Liszt lui-même.
Quelle leçon de délicatesse et d’humilité nous donne ce grand musicien ! La supériorité des maîtres écrase souvent ceux qui demandent, ils ne savent ni rassurer, ni consoler, ni encourager.
Mais un vrai maître est celui qui sait se mettre au niveau de son élève. C’est un acte d’amour que de se mettre au niveau des petits, de pardonner leurs erreurs. Ici le grand musicien nous a donné une vraie leçon.
Il a manifesté envers cette petite un vrai cœur de père, qui ne condamne pas, qui, non seulement, pardonne mais qui aide le plus faible à rester sur le chemin. Il a su s’humilier pour se mettre au niveau de cette petite jeune fille.
Dieu agit ainsi avec nous. Il se met à notre niveau, Il nous pardonne nos bêtises, et Il nous apprend à marcher droitement et l’erreur ou le péché devient un tremplin pour la victoire. Liszt a non seulement corrigé la petite jeune fille, mais l’a aussi aidée en jouant le dernier morceau.
Dieu, non seulement corrige nos bêtises, mais Il prend le relai et joue le dernier morceau ; celui de la victoire que nous chanterons avec lui pour l’éternité dans son ciel de gloire !
Et j’entendis la voix d’anges nombreux autour du trône, des animaux et des anciens. Leur nombre était myriades de myriades et milliers de milliers. Ils proclamaient d’une voix forte : Il est digne, l’agneau immolé, de recevoir puissance, richesse, sagesse, force, honneur, gloire et louange. Et toute créature au ciel, sur terre, sous terre et sur mer, tous les êtres qui s’y trouvent, je les entendis proclamer : A celui qui siège sur le trône et à l’agneau, louange, honneur, gloire et pouvoir pour les siècles des siècles, Apocalypse 5 : 11-13.
Le pardon se trouve auprès de Toi, afin qu’on te craigne, Psaumes 130.
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