On appréhende chaque année cette période de téchouva, et plus encore son point d’orgue, Yom Kippour. On se dit ‘Il faut bien passer par là, remettre les pendules à l’heure… Souccot qui approche me redonnera de la joie.
Pourtant, mieux comprendre la beauté de cette période nous permettrait, au contraire, de la languir. De désirer cette possibilité de retour à la proximité et à l’authenticité qui nous est offerte.