Alors que le XIXe siècle est le second âge d’or de la vigne en Corrèze, le phylloxéra vient y mettre fin, faisant disparaître en quelques années des milliers d’hectares de vigne, redessinant les paysages, mais aussi l’agriculture et l’économie corrézienne. Les ceps laissent place à des arbres fruitiers, aux primeurs, à la truffe et au tabac, qui, avec l’arrivée du chemin de fer, permettent un nouvel essor économique.