La responsabilité dérange bien souvent. Alors nous alimentons le triangle de Kapman en culpabilisant et donc en entrant dans la case de la victime.

Ce triangle dramatique, est nourri par deux protagonistes qui nourrissent un lien, une situation, contexte, où ils co-créent une dynamique toxique. A partir leur personnage blessé.

Ces schémas qui se répètent sont un signe, que des fréquences toxiques habitent chaque individu. Et nous en avons tous.

Depuis le début d'année, j'ai approndi grandement mes recherches sur ces fréquences vibratoires que l'on porte au niveau cellulaire, et surtout comment s'auto-libérer en prenant la pleine responsabilité de ce qui nous déclenche. J'ai expérimenté, et j'ai transformé ma façon d'être et ma réalité. J'en ai fait un Art de Vivre. Car ce piège est très insinueux, on y tombe très facilement dedans.

Car pour être victime, il y a toujours un "persécuteur".

C'est le sujet du jour. Belle écoute.

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