Le meilleur du polar au cinéma et en podcast.
Un film, un invité et un interrogatoire serré pour chaque épisode.
De quoi démêler le vrai du faux avec notre brigade cinéphile.
... moreBy Supergrave l'émission
Le meilleur du polar au cinéma et en podcast.
Un film, un invité et un interrogatoire serré pour chaque épisode.
De quoi démêler le vrai du faux avec notre brigade cinéphile.
... moreThe podcast currently has 15 episodes available.
Pour les besoins de cette nouvelle enquête direction La Courneuve et sa cité dortoir des 4000, sa grisaille et ses matins blêmes sans espoir pour mieux tenter de s'en échapper avec Le Choix des armes, diamant noir qui oppose les générations, les approches et les territoires réalisé en 1981 par un Alain Corneau alors en pleine possession de ses moyens.
Un épisode un plus long que d'habitude qui revient certes sur l'un de nos plus beaux polars hexagonaux mais aussi sur tout un tas d'autres films policiers de l'époque entre Tir Groupé, La Guerre des polices, Pile ou face etc...sous la forme de digressions passionnantes.
Et pour se prêter à l'exercice de l'interrogatoire c'est au tour de Jérôme Wybon (réalisateur de nombreux documentaires, concepteur de bonus et directeur de collection pour Studiocanal avec Nos Années 70 et plus récemment Nos Années 80) d'être notre invité.
Retrouvez la photo signalétique de l'invité en début d'émission ainsi que les complices (un film dans le même giron) en toute fin de podcast. Avec dans cet épisode un retour sur Amsterdamned le giallo hollandais de Dick Maas (1988) et deux titres présents sur la collection Nos Années 70 justement avec Défense de savoir de Nadine Trintignant (1973) et Le Secret de Robert Enrico (1974)
Un dossier mené par Rafael Lorenzo.
Dans ce nouvel épisode on part du côté du New-Jersey sur les terres fictives de Garrison, ville dortoir non loin de la tentaculaire New-York et véritable enclave peuplée de flics corrompus, pour évoquer l'un des tous meilleurs film de Sylvester Stallone, à savoir l'excellent Copland réalisé en 1997 par James Mangold artisan prodige venu du cinéma indépendant américain.
Où quand le polar devient western urbain quelque part entre Martin Scorsese et Anthony Mann, entre Sidney Lumet et John Ford. Le tout servi par le classicisme d'une mise en scène solide et intemporelle et un casting cinq étoiles.
Le pur film du dimanche soir au sens le plus noble du terme avec un duo de choc cette semaine avec les tauliers de l'excellent podcast Entourloupe dans l'azimut, Messieurs Stefan Michalski et Antoine Legrand. Les Martin Riggs et Roger Murtaugh de la critique !
Retrouvez la photo signalétique de l'invité en début d'émission ainsi que les complices (un film dans le même giron) en toute fin de podcast. Avec dans cet épisode un retour sur deux très grands films de Clint "Dieu" Eastwood: Mystic River (2003) et Le Cas Richard Jewell (2019).
Un dossier mené par Rafael Lorenzo.
Direction Yokohama, ville Japonaise située au sud de Tokyo, pour cette nouvelle enquête sous forme de dilemme moral et autour d'un enfant kidnappé avec Entre le ciel et l'enfer de Akira Kurosawa réalisé en 1963.
Une véritable tempête sous un crane pour l'immense Toshirō Mifune, sa quinzième et avant-dernière collaboration avec le cinéaste avant le magnifique Barberousse, et avant de basculée en enquête ultra-réaliste nous menant progressivement dans les bas-fond les plus sordides de la ville. Soit l'un des plus beaux polars jamais réalisés.
Et c'est Gérald Duchaussoy, responsable de la section Cannes Classics au Festival de Cannes, chargé de la programmation au Marché International du Film Classique au festival Lumière, à Lyon et co-auteur de Mario Bava, le magicien des couleurs paru Lobster Films en 2019, qui nous accompagne cette fois-ci.
Retrouvez la photo signalétique de l'invité en début d'émission ainsi que les complices (un film dans le même giron) en toute fin de podcast. Avec dans cet épisode un retour sur le tétanisant L'Homme qui voulait savoir de George Sluizer (1988) et le thriller d'action toujours très efficace L'Enjeu de Barbet Schroeder (1998)
Un dossier mené par Rafael Lorenzo.
Dans cette toute nouvelle enquête retour sur Le Coup de l'escalier de Robert Wise, chef-d'oeuvre crépusculaire que beaucoup considèrent comme l'un des tous derniers témoignages du film noir classique.
Un Caper Movie fondateur et adoré par bon nombre de réalisateurs au point d'être par exemple le film préféré de Jean-Pierre Melville, le maître incontesté du genre, qui prétendait l'avoir vu plus de 120 fois ! Une oeuvre d'une maîtrise totale à la fois noire, nihiliste et politique autour de la question raciale aux Etats-Unis. Une thématique qui divisera son équipe de braqueurs et qui ruinera un plan pourtant bien huilé et portée par l'engagement de Harry Belafonte et le charisme taciturne de Robert Ryan.
Et c'est au tour de l'expert Victor Norek, derrière l'excellente chaîne Youtube Le Cinématographeur et auteur du livre L'Oeuvre de Steven Spielberg. L'art du blockbuster - volume 1 paru chez Third Editions, de se prêter au jeu de l'interrogatoire concernant le film.
Retrouvez la photo signalétique de l'invité en début d'émission ainsi que les complices (un film dans le même giron) en toute fin de podcast. Avec dans cet épisode une mise en perspective avec le Munich de Steven Spielberg (2005) et le désespéré Génération Sacrifiée des frères Hughes (1995).
Un dossier mené par Rafael Lorenzo.
Nouvelle enquête consacrée cette fois-ci au mal-aimé (le mot est faible) et pourtant sidérant de justesse et de maîtrise Assassin(s) de Mathieu Kassovitz.
Une oeuvre noire et désespérée qui portraitise sans concession aucune une ultra-violence qui se transmet de génération en génération, un certain artisanat du mal et un sentiment d'abstraction total en lien avec la prolifération des images.
Un film qui fit scandale lors de son passage au 50ème festival de Cannes en 1997, toujours aussi pertinent dans sa dénonciation des maux de nos sociétés modernes et soutenu par un Michel Serrault impérial et renouvelé dans un registre qu'on ne lui connaissait pas encore à quasi 70 ans.
Et qui d'autre que le professionnel du podcast Mergrin, derrière les excellentes émissions Planète of the tapes, L'Auberge des darons et Le Journal Podcastique, pour venir défendre ce qui semble être l'indéfendable ?
Retrouvez la photo signalétique de l'invité en début d'émission ainsi que les complices (un film dans le même giron) en toute fin de podcast. Avec dans cet épisode une petite pépite avec le thriller coréen Monster Boy; Hwayi de Joon-Hwan Jang et le surprenant Max et Jérémie de Claire Devers.
Un dossier comme d'habitude mené par Rafael Lorenzo.
Nouveau dossier consacré cette fois ci au peu connu Freebie and the bean (Les Anges Gardiens par chez nous et à ne pas confondre avec le film de Jean-Marie Poiré) mais qui possède une réelle importance dans l'histoire du cinéma américain dans la mesure où il est considéré comme le tout premier buddy-movie !
Réalisé en 1974 par Richard Rush, cinéaste issu de la mythique écurie Roger Corman et s'ayant illustré avec des comédies contre-culturelles, bien avant 48 Heures de Walter Hill ou L'Arme Fatale de Richard Donner voici donc le prototype très Nouvel Hollywood de ce qui allait donner l'un des sous-genres policiers les plus populaires et spectaculaires des 80's. Porté par le duo de flics James Caan/Allan Arkin qui n'arrête jamais de jacter et de s'engueuler Freebie and the bean est un festival de destruction massive, des courses poursuites dantesque et de punchlines toutes plus drôles les unes que les autres quelque part entre French Connection et Un drôle de couple. Un genre est né !
Et pour vous donner envie de découvrir cette pépite bien trop méconnue Aurélien Gouriou-Valès, co-animateur du podcast La 36ème chambre du cinéphage et auteur pour la chaîne youtube Le Ciné-Club de Monsieur Bobine revient et prolonge ainsi sa garde-à-vue !
Retrouvez la photo signalétique de l'invité en début d'émission ainsi que les complices (un film dans le même giron) en toute fin de podcast. Avec dans cet épisode une déclaration d'amour au cinéma du grand Walter Hill et un retour sur La Relève de Clint Eastwood (1990) où quand Dieu lui-même décide d'offrir sa propre version du buddy-movie.
Un dossier rondement mené par Rafael Lorenzo.
Pour cette toute nouvelle enquête retour sur un polar atypique, peu cité et pourtant véritable pierre angulaire du cinéma policer de Jacques Deray avec le fascinant Symphonie pour un massacre réalisé en 1963.
Un engrenage fatal porté par une mise en scène élégante, discrète et maitrisée de bout en bout, un scénario astucieux signé du trio Jacques Deray-Claude Sautet-José Giovanni et un casting solide avec à sa tête un Jean Rochefort comme on l'a jamais vu ailleurs, déployant ici une facette de son jeu inédite, sombre et impassible. Et c'est cette fois-ci Baptiste Dorsaz, scénariste, professeur de cinéma et mélomane expert en musique de films français, qui se prête au jeu de l'interrogatoire pour défendre cette relecture du film noir à la française.
Retrouvez la photo signalétique de l'invité en début d'émission ainsi que les complices (un film dans le même giron) en toute fin de podcast. Avec dans cet épisode un retour sur l'incroyable et malheureusement méconnu Le Gang des otages de Edouard Molinaro (1973) et deux films de Guillaume Nicloux servis par de beaux contre-emplois avec Une Affaire Privée (2002) et Cette femme-là (2003)
Un dossier rondement mené par Rafael Lorenzo.
Dans ce tout nouveau dossier retour sur un véritable diamant noir à la fois brut, moderne et épuisant avec Uncut Gems des frères Safdie.
Quand Adam Sandler délaisse la comédie pour mieux se glisser dans la peau d'un joailler looser, criblé de dettes et qui ne cesse de prendre les mauvaises décisions, le tout devant la caméra de Benny et Josh Safdie (jeunes prodiges issus du cinéma indépendant new-yorkais) cela donne forcément un polar cinéphile, hors-normes et au rythme éreintant. Et qui de mieux que Bertrand Mougnaud de l'excellente chaîne Youtube Festi2films pour évoquer cette oeuvre d'une densité folle et sortie par chez nous sur la plateforme Netflix ?
"This Is How I Win."
Retrouvez la photo signalétique de l'invité en début d'émission ainsi que les complices (un film dans le même giron) en toute fin de podcast. Avec dans cet épisode un retour sur l'autodestructeur Bad Lieutenant le chef-d'oeuvre d'Abel Ferrara (1992) et le méconnu et pourtant totalement dévastateur Talk Radio d'Oliver Stone (1988).
Un dossier rondement mené par Rafael Lorenzo.
Dans cette nouvelle affaire on revient sur un véritable diamant noir enragé et incontrôlable porté par un Oliver Reed au sommet de son charisme avec La Cible Hurlante de Douglas Hickox.
Un polar carré, sec et à l'os qui ne s'embête pas du superflu à la lisière du fantastique par moment pour mieux retracer le parcours d'un lion en cage qui se transforme en bête blessée.
Et cette fois ci c'est au tour d'Aurélien Gouriou-Valès, auteur pour la chaîne youtube Le Ciné-Club de Monsieur Bobine et co-animateur du podcast La 36ème chambre du cinéphage, de se prêter au jeu de l'interrogatoire et de nous évoquer cette pépite malheureusement trop méconnue.
Retrouvez la photo signalétique de l'invité en début d'émission ainsi que les complices (un film dans le même giron) en toute fin de podcast. Avec dans cet épisode un retour sur La Poursuite Implacable (Revolver) de Sergio Sollima (1973) l'autre grand polar à la même époque mettant en vedette Oliver Reed.
Un dossier rondement mené par Rafael Lorenzo.
Dans ce nouvel épisode on traverse les Alpes direction Milan avec l'un des plus grands sommets du Poliziottesco, ce filon italien qui déferla avec violence sur les 70's avec des polars musclés et droitards, et pourtant à contre-courant du genre avec Milan Calibre 9 le film coup de poing signé par Fernando Di Leo en 1972.
Un cinéaste passionnant que certains appellent le Jean-Pierre Melville italien et qui signa une bonne poignée de films explosifs, réalistes et mélancoliques à commencer par Milan Calibre 9 premier volet de la Trilogie du milieu également composée des excellents Passeport pour deux tueurs et Le Boss. Le tout en compagnie de notre invité Gravlax, véritable Parrain des podcasts cinéma, venu avec son éloquence qu'on lui connait.
Retrouvez la photo signalétique de l'invité en début d'émission ainsi que les complices (un film dans le même giron) en toute fin de podcast. Avec dans cet épisode un retour sur un autre néo-polar italien mythique à savoir La Rançon de la peur d'Umberto Lenzi (1974) et le chef-d'oeuvre de Damiano Damiani Confession d'un commissaire de police au procureur de la république (1971)
Un dossier rondement mené par Rafael Lorenzo.
The podcast currently has 15 episodes available.
253 Listeners
7 Listeners
289 Listeners
87 Listeners
13 Listeners
66 Listeners
10 Listeners
5 Listeners
5 Listeners
1 Listeners
1 Listeners
4 Listeners
4 Listeners
59 Listeners