Et à mesure que les nuages se forment je cherche son visage avec encore plus d'ardeur parmi les particules suspendus au cœur de l'air dans l'expectative d'une nébulosité familière. Mais la quantité de gouttelette d'eau diminue, dégonflant progressivement la masse nuageuse, et je reste visage contre la pluie, les yeux aux regard vide se remplissant. Un grand vent s'engouffre dans ma poitrine mais je ne respire plus, priorité aux sanglots. Onde des flots aigri du ciel déchirant jusqu'au feuillet pariétal de la plèvre. Mes pleurs les gouttent dans les creux de mes lèvres qui goûtent les saveurs pleural de mon souffle.