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By La Food Locale
The podcast currently has 10 episodes available.
Pour le 3ème épisode de cette saison 2, j’ai l’immense plaisir d’accueillir Pierre Lambinon. À 35 ans, Pierre est avec Michel Sarran le seul chef 2 étoiles à Toulouse. Et parce que ses prises de parole sont rares, parce qu’il se tient loin des paillettes et des réseaux sociaux, cet épisode est pour moi très précieux.
La liberté donc, beaucoup, la folie aussi, mais aussi le travail, le sien, celui de ses équipes : c’est bien de tout cela dont il est question aujourd’hui.
Cet épisode sera donc brut et sincère : à son image en fait. Et j’espère que ses mots résonneront en vous, et qu’ils vous donneront envie de travailler d’arrache-pied pour la concrétisation de vos rêves.
Je vous souhaite la bienvenue sur le vol Coup de Food épisode 2 saison 2. Je vous prie de bien vouloir attacher vos ceintures, nous nous apprêtons à nous envoler en direction de l’Italie. Votre cheffe de cabine sera Mathilde Breseghello, la co-gérante de l’épicerie italienne La Nonna Lina qui s’est installée en mai 2020 sur une des places les plus emblématiques de Toulouse, j’ai nommé la place Victor Hugo.
Prêts pour le décollage ? C’est parti, je vous souhaite une belle écoute et un bon voyage.
Retrouvez Mathilde au 6 de la rue Victor Hugo à Toulouse et aussi sur son site https://www.lanonnalina.com !
Je suis très heureuse de vous retrouver pour cette saison 2, et mon invité du jour place la barre très haute. À Toulouse, rares sont les gens qui n’ont jamais entendu parler de la Fromagerie Xavier. Cette fromagerie historique de la place Victor Hugo est gérée depuis 20 ans par François Bourgon, fils du fondateur de l’enseigne, et c’est lui que j’ai l’honneur d’accueillir aujourd’hui.
Alors on a parlé d’entrepreneuriat et de son parcours, de reconversion, de transmission, de communication, de son titre de Meilleur Ouvrier de France. Et puis. Et puis on a parlé de fromages. Forcément. Quand je suis arrivée dans les locaux de la Fromagerie Xavier, j’ai été envahie par cette délicieuse odeur de fromages qui émanaient des caves, et j’espère que cette odeur parviendra jusqu’à vous, et vous mettra l’eau, ou plutôt le fromage à la bouche.. François est un homme engagé, vraiment passionné par ce qu’il fait alors il a été question de lait cru, de lait pasteurisé, de fromages fermiers… Et c’était fascinant.
J’espère que ces mots vous plairont autant qu’à moi. Alors Coup de Food, saison 2, c’est parti !
Vous pouvez retrouver François, mais surtout ses fromages, au 6 de la place Victor Hugo mais aussi dans plein d’autres endroits que vous retrouverez sur son site, www.xavier.fr ! D’ailleurs, hasard du calendrier, c’est aujourd’hui, le 11 octobre 2021, que la Fromagerie Xavier sort un nouveau fromage : il s’appelle le roc’ail, et si je n’ai pas encore eu la chance de le goûter, je peux d’ores-et-déjà vous dire qu’il s’annonce rock !
Aujourd'hui, pour ce sixième épisode, je vous propose pour la première fois d'avoir la tête... dans les étoiles. En effet, j'ai le plaisir d'accueillir un chef étoilé de renom, que les toulousaines et toulousains connaissent bien. Il s'agit de Stéphane Tournié, qui officie depuis 2006 aux Jardins de l'Opéra, un écrin gastronomique situé place du Capitole. Oui, oui, rien que ça.
Stéphane m'a accueillie dans son restaurant, un lundi matin, pour me parler de son parcours. Il est donc question de cuisine, évidemment, mais aussi d'entrepreneuriat. Parce qu'en plus de s'affairer derrière les casseroles de son restaurant, Stéphane en est aussi le co-gérant.
Avec beaucoup d'authenticité et de générosité, comme sa cuisine, d'ailleurs, que je vous invite vraiment à découvrir si ce n'est pas déjà fait, Stéphane raconte ici sa passion, intacte, les difficultés qu'il a rencontrées tout au long de son parcours, il raconte la ténacité, l'étoile, bien sûr, et il nous parle même de la rencontre avec son associé.
Chères auditrices et auditeurs, je sais combien vous êtes passionné.e.s par ce qui se mange. Alors j'espère que vous allez écouter cet épisode comme on déguste des ravioles au foie gras, ou un baba au rhum. Avec envie, avec appétit et avec l'espoir que ça ne se termine pas.
Je vous invite à découvrir la cuisine de Stéphane Tournié aux Jardins de l'Opéra à Toulouse et à le suivre sur ses réseaux sociaux (@stephane_tournie).
La première fois que j’ai vue Salomé Géraud, c’était à travers une vidéo publiée par Brut, sur Facebook. Elle venait à peine d’ouvrir avec Pierre, son mari et associé, la première épicerie zéro déchet en drive au monde. Oui, vous avez bien entendu, la première au monde.
À Toulouse, forcément, l’ouverture du Drive Tout Nu avait fait beaucoup, beaucoup de bruit. Je me souviens que l’énergie débordante de Salomé transparaissait à travers la vidéo. Deux ans et demi après, avec cet épisode, j’ai l’immense plaisir d’accueillir Salomé, de retrouver cette même énergie et de la partager avec vous.
En parlant de partage, d’ailleurs, on peut dire que Salomé se livre ici avec beaucoup d’authenticité. Elle raconte les étapes de la création, depuis l’idée jusqu’à l’ouverture, elle nous parle de sa vision de la communication, du buzz immense qu’il y a eu autour du Drive Tout Nu, de l’évolution de l’entreprise en franchise et même de Joseph, son fils de un an.
Quel bonheur pour moi d’écouter la voix enjouée de Salomé et d’entendre l’histoire de cette entreprise au succès fou. Je suis certaine que le parcours et les mots de Salomé vont vous motiver plus que jamais. Allez, je vous laisse avec elle, et je vous souhaite une très belle écoute.
Je dois l’admettre : jusque’à l’âge de 20 ans, pour moi les pizzas, c’était celles du rayon surgelés ou celles faites plus ou moins maison avec la pâte comme du carton et les couches d’emmenthal à foison.
Et puis, au début de mes études, j’ai rencontré une fille qui s’appelle Camilla. Je ne le savais pas encore mais elle avait devenir rapidement l’une de mes amies les plus proches. En cours, elle parlait souvent de son père, Pinin Mongelli, triple champion du monde de pizza, et de la pizzeria familiale dans laquelle elle travaillait le week-end.
Alors j’ai fini par y aller. C’était à Tournefeuille, à côté du cinéma Utopia, c’était un vendredi soir, et je m’en souviens comme si c’était hier. C’est Pinin qui m’a accueillie, avec son accent chantant, c’est lui qui m’a proposé en rigolant la table avec la vue sur la mer.
À compter de ce jour-là, les pizzas surgelées et les couches d’emmenthal à foison sont sorties immédiatement des mes habitudes alimentaires et de mon vocabulaire. À Toulouse, il faut le dire, les pizzerias Mongelli ont largement contribué à redorer le blason de la pizza, à lui redonner ses lettres de noblesse.
Bref, vous l’avez compris, mon invité du jour est Pinin Mongelli, qui a donc fondé avec Eva Mongelli, sa femme, la célèbre enseigne de pizzerias qui porte leur nom. Dans cet épisode, Pinin revient avec moi sur l’histoire de la toute première pizzeria, sur les galères de la création et sur les nuits sans sommeil, sur le lancement de leur concept en franchise ou encore sur l’importance de ne jamais oublier qu’avant toute chose, c’est l’expérience du client qui compte.
Je suis vraiment très heureuse de vous partager cet épisode. Parce que j'ai eu la chance de voir l'évolution de cette enseigne familiale depuis les coulisses. Parce que je suis sûre que le témoignage de Pinin aura quelque chose de définitivement rassurant pour les personnes qui entreprennent. Parce que je suis une inconditionnelle de leurs pizzas, evidemment. Et puis parce que, il faut le dire, c'est dans une pizzeria Mongelli que j'ai rencontré celui qui allait devenir le père de mon fils.
Je vous souhaite une très belle écoute.
Vous pouvez retrouver les pizzerias Mongelli sur leur site Internet www.pizza-mongelli.com, notre partenaire Zelty sur www.zelty.fr et retrouvez-nous sur www.lafoodlocale.fr !
Il y a des personnes qui, lorsqu’elles entrent dans une pièce, l’illuminent instantanément de par leur énergie solaire, leur sourire, leur sensibilité. Définitivement, mon invitée d’aujourd’hui est de ces personnes-là.
Elle s’appelle Sylvie Albrand et elle est productrice de fleurs comestibles bio, près de Montauban. Des fleurs qu’elle cultive avec amour et qui viennent enjoliver délicatement les assiettes de nombreux chefs de cuisine, souvent étoilés.
Mais dire de Sylvie qu’elle est productrice de fleurs comestibles bio ne suffit pas pour la décrire. Oh non. Sylvie est bien plus que ça. Sylvie est passionnante, passionnée, sensible, forte, oui, tout ça à la fois.
Dans cet épisode, elle nous embarque à travers ses mots, à travers sa voix, dans une balade bucolique et sensorielle au cœur de son parcours, de son jardin, au cœur de ce destin fleuri qu’elle s’est créé à force de passion et de détermination. Elle a semé dans cet épisode des conseils précieux, des souvenirs gourmands et des instants de vie avec beaucoup de fraicheur et de sincérité.
En clôturant l’enregistrement, j’ai vraiment eu l’impression d’avoir entre les mains un épisode puissant, et je suis persuadée qu’en écoutant Sylvie, vous aurez la même sensation.
Vous pouvez retrouver Sylvie sur Instagram à @la_ferme_de_quyvie ! Dans l'épisode, elle parle du livre Le Guide du Jardinage Biologique que vous pouvez retrouver ici !
Retrouvez-nous sur La Food Locale :) À très vite !
Pour ce deuxième épisode, j’ai le plaisir d’accueillir Bruno Caparros, fondateur et gérant de l’épicerie Le Local, à Tournefeuille, juste à côté de Toulouse.
Avant toute chose, il faut que je vous dise : cet épisode a failli ne jamais sortir. J’ai beaucoup hésité car le bruit du frigo de l’épicerie, en fond, me dérangeait énormément. Vous savez, les erreurs de débutante. Mais finalement, en réécoutant l’épisode, je me suis rendue compte qu’on l’oubliait vite, ce frigo, notamment grâce à l’authenticité et à la fraicheur de Bruno.
J’ai trouvé important de vous partager ses mots et son parcours.
Il était une fois un chef cuisinier prenant conscience de l’impact de l’alimentation sur le monde et de la nécessité de faire évoluer les choses, et les mentalités.
C’est ainsi qu’à 23 ans seulement, il ouvrait Le Local, une épicerie locale définitivement engagée ou, bien sûr, il continua de cuisiner.
Cette histoire, c’est celle de Bruno, qu’il raconte dans cet épisode, en évoquant tour à tour son parcours, le financement de son projet ou encore l’importance d’adapter son offre aux besoins & aux demandes de ses clients.
Bruno nous parle ici avec une spontanéité joyeuse, presque déconcertante, et avec la candeur de ceux qui, sans même s’en rendre compte, sont en train de changer le monde.
Je vous souhaite une très belle écoute.
Pour ce premier épisode, je l’avoue, je ne suis pas allée chercher bien loin ma première invitée. Il s’agit d’Estelle Élias, ma formidable associée.
Même si ça a été un peu compliqué de la convaincre, pour moi ça faisait sens, de commencer par elle. Tout d’abord parce que je suis persuadée que ses conseils, son parcours et sa ténacité vont vraiment vous inspirer. Ensuite, parce que c’était aussi une façon de raconter pourquoi on a créé La Food Locale.
Je suis souvent allée manger au Mijoté. Le restaurant se trouvait dans une zone industrielle, pas très sexy, et dans un bâtiment préfabriqué, lui non plus pas très sexy.
Elle a ouvert Le Mijoté alors qu’elle avait à peine 26 ans, et ce qu’elle évoque à demi-mots dans cet épisode, c’est la perte de son papa seulement quelques jours après l’ouverture du restaurant. Pour moi comme pour tous les gens qui l’entourent, Estelle est un exemple de force, de courage et de détermination, et j’espère qu’elle vous inspirera et qu’elle vous marquera comme elle a marqué tous ceux qui l’ont croisée, pendant 6 ans, derrière la caisse ou derrière les fourneaux du Mijoté.
Musique : Angello - Hicham Chahidi
Voici la bande annonce du podcast Coup de Food, dédié à l'entrepreneuriat dans le secteur de l'alimentation.
Ce podcast vous est proposé par La Food Locale, l'agence food qui écrit & qui raconte votre histoire.
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