Encore aujourd’hui, Caroline, quadragénaire lausannoise, redoute les repas, tous les repas. Ses troubles alimentaires ont commencé très tôt. Au micro de Brise Glace, elle raconte le regard de caissière qui soupçonne la boulimie, la solitude des paquets de nourriture ouverts à la suite et en cachette, les indices qu’on laisse à ses proches pour appeler à l’aide. L’espoir, tenace, de s’en sortir malgré tout.

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