You & the Night & the Music !
Vous, la Nuit et la Musique !
C’est le titre d’un fameux standard composé en 1934 par Arthur
Schwartz et Howard Dietz pour une comédie musicale de Broadway. Et
depuis 2003,
depuis 20 ans donc, c’est aussi de cette manière qu’on a baptisé notre grande fête annuelle.
Au-delà du simple clin d’œil, ce nom résume parfaitement l’ambition
qui est la nôtre depuis le début de cette aventure : faire communier
dans un même endroit, nos auditeurs et nos groupes coups de cœur du
moment...Vous remercier de votre fidélité en vous dédiant tout une
soirée...Faire défiler dans un même endroit, les artistes qui nous ont
Après une première édition au New Morning, c’est l’Opéra-Comique,
puis l’Olympia qui nous ont accueilli pendant plusieurs années.
Et quelle joie d’écrire depuis six ans, la suite de cette histoire, Salle Pleyel !
Nous voici donc de retour au 252 rue du Faubourg Saint-Honoré, au Salon Bellamy pour vous faire vivre cette nouvelle You !
Ça y est, c’est la dernière ligne droite !
Dès 20h, plusieurs dizaines de musiciens vont se succéder sur scène, de Kareen Guiock-Thuram à Ibrahim Maalouf, en passant par Gabi Hartman, Kyle Eastwood, Léon Phal ou Biréli Lagrène.
Sans oublier, notre orchestre de cérémonie : The Amazing Keystone Big Band, El Comité, Jeanne Michard, le projet les Egarés, et j’en passe.
On a hâte ! Tellement qu’on ouvre d’ores et déjà les festivités ce
midi, en recevant deux pianistes qui seront eux aussi à l’honneur, ce
Dans 30 minutes, nous serons en compagnie de Gael Rakotondrabe.
La liste de ses collaborations donne le tournis, tellement il y a de
monde : ça va d’Aurélie Saada à Alain Chamfort, en passant par Ayo, Hugh
Coltman, Yamsine Hamdan ou le groupe CocoRosie.Cette année, il a enfin
sorti un album sous son nom : « Shadow ». Une
élégante balade en trio, à travers une série de standards, de reprises
des Beatles et d’une compo de sa plume. Il va venir nous en parler et de
nous en jouer deux titres en solo.
Mais pour commencer, on accueille donc, un autre pianiste.
Il est né et il a grandi à La Havane. Son premier professeur de piano
au Conservatoire l’a exclu de son cours, prétendant qu’il n’avait aucun
talent. Loin de se laisser démonter, Alfredo Rodriguez
a peint les 88 touches du clavier sur la table de ses parents pour
faire ses gammes. Le reste appartient à l’histoire. A 19 ans, il était
invité à représenter Cuba au Montreux Jazz Festival. C’est là qu’il a
été repéré par Quincy Jones qui l’a immédiatement pris sous son aile,
l’a aidé à trouver un label et à produire ses premiers albums. Le
sixième de ses disques vient de paraître, sous le titre de
« Coral Way », du nom de la rue où il réside désormais à Miami.
Ce soir, il montera sur la mythique scène de la Salle Pleyel, en compagnie d’Alana Sinkëy au chant, Carlos Sarduy à la trompette, Yarel Hernandez à la basse et Michael Olivera à la batterie… C’est aussi l’équipe avec laquelle il nous rend visite ce midi au Salon Bellamy.
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