La première fois que je l'ai vu, j'avais cinq ans. C'était devant ma télévision et je ne mesurais pas la portée de l'exploit qui s'écrivait sous mes yeux. Je suis juste content, on a gagné... la Coupe Davis, à Lyon face aux Etats-Unis d'Andre Agassi et Pete Sampras. C'était en 1991.
C'est par la suite que je me suis rendu compte que c'était l'un des plus grands exploits du sport français. Et au milieu de cette folie pure, un homme : Henri Leconte.
Il y a le résultat bien sûr, mais il y a aussi la manière, le plus important étant ce qu'il se passe autour. Son retour de l'enfer, sa folle trajectoire, ses coups de gueule, ses regrets, il n'a pas eu une carrière comme les autres. Entre ses souvenirs 30 ans après cette victoire et sa vision sur le tennis actuel, il nous raconte tout.
Voici donc Henri Leconte, le génial gaucher, Riton, pour les intimes. Comme on l'aime, sans filtre, entier. Merci pour sa générosité du moment.
Je m'appelle Antoine Benneteau, bienvenue dans Echange.
Et bonne écoute.
Enregistré en collaboration avec le @studioload.
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