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"L'abus d'alcool est dangereux pour la santé, à consommer avec modération"

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Yohann Diniz n'est pas seulement une légende de l'athlétisme français, un marcheur hors norme qui a repoussé les limites de l'endurance sur 50 kilomètres. Détenteur de records du monde et d'Europe qui tiennent encore bon, triple champion d'Europe et champion du monde, Yohann est aussi un homme de passion, un épicurien qui cultive un amour sincère pour le vin. Dans une interview exclusive pour Formavin sur 20, il partage son parcours post-carrière, sa vision du sport et sa relation intime avec le monde viticole.

Après avoir raccroché les pointes suite aux Jeux Olympiques de Tokyo 2021, une décision mûrement réfléchie, Yohann n'a pas quitté le monde du sport. Il s'est investi pendant près de quatre ans aux côtés d'un partenaire officiel de Paris 2024. Cette expérience lui a permis de vivre l'aventure olympique et paralympique "de l'autre côté de la barrière", une perspective différente, axée sur l'organisation, le partenariat et l'héritage laissé par l'événement. Il souligne l'importance de poursuivre le travail engagé par Paris 2024 sur l'accessibilité au sport et la promotion de la pratique sur tout le territoire. Loin des regrets, il a savouré cette nouvelle facette de l'olympisme, profitant pleinement des Jeux à Paris, tant olympiques que paralympiques.

Même s'il n'est plus soumis aux exigences de l'entraînement de haut niveau, Yohann conserve un lien fort avec l'activité physique. Il continue de courir, bien que de manière plus irrégulière, "en dents de scie", comme il le décrit lui-même. Cette pratique est désormais guidée par le plaisir et le bien-être, essentiels pour cet athlète dans l'âme. Il apprécie notamment participer à des courses intégrant une dimension conviviale ou traversant des paysages viticoles, alliant ainsi ses deux passions.

Se définissant comme un "épicurien", Yohann n'a jamais caché son goût pour les bonnes choses, et le vin en fait partie intégrante. Même durant sa carrière sportive, il s'autorisait, avec modération, le plaisir de partager une bonne bouteille. Pour lui, le vin est avant tout synonyme de convivialité, de partage et d'ouverture.

Son palais, éduqué dès son plus jeune âge aux subtilités du Pinot Noir grâce à son grand-père travaillant dans les vignes en Champagne, a évolué. Après une période où il appréciait les vins plus charpentés du Rhône ou du Languedoc, il revient aujourd'hui vers la finesse et l'élégance, notamment celles des Pinots Noirs de Bourgogne.

L'histoire de Yohann est ponctuée d'anecdotes où le vin joue un rôle clé. Il se souvient avec amusement des Championnats du Monde 2005 à Helsinki, où le Club France était sponsorisé par Châteauneuf-du-Pape. La soirée de clôture s'est prolongée jusqu'à l'aube autour d'un carton de Château de Beaucastel, partagé avec notamment Jean Galfione et Renaud Longuèvre. C'est d'ailleurs suite à une discussion "vinicole" avec un responsable Adidas ce soir-là qu'il a décroché son premier contrat de sponsoring ! Un souvenir gravé qui a refait surface en 2014, lorsqu'après son troisième titre européen et son record du monde à Zurich, la directrice de la FFA lui a offert un carton de ce même Beaucastel pour célébrer l'exploit.

Aujourd'hui, Yohann rêve de découvrir de nouveaux horizons viticoles, notamment l'Argentine et le Chili, attiré par leurs vignobles en altitude et le dépaysement qu'ils offrent.

Yohann incarne cet équilibre entre l'exigence du sport de haut niveau et l'art de vivre, où la passion pour le vin vient enrichir une vie déjà bien remplie d'exploits et de records. Un champion sur les pistes et un fin connaisseur dans le verre.

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Acteur de théâtre accompli, voix française emblématique de stars hollywoodiennes, Gabriel Le Doze est une figure incontournable du paysage culturel français.

La voix de Gabriel résonne familièrement aux oreilles de millions de cinéphiles. Il est l'interprète français attitré d'acteurs de renom tels que Gary Oldman, Kevin Spacey, Alfred Molina ou encore Gabriel Byrne. Son travail de doublage s'étend sur des centaines de films, séries télévisées et même jeux vidéo. Mais réduire Gabriel à sa seule voix serait une erreur. Comédien avant tout, il a débuté sa carrière de doublage très jeune, prêtant notamment sa voix à Michael Landon dans la série culte "Bonanza", avant que celui-ci ne devienne le célèbre Charles Ingalls. Son parcours d'acteur l'a également mené sur les plateaux de cinéma et de télévision.

Le théâtre occupe une place centrale dans la vie de Gabriel. Avec plus d'une centaine de pièces à son actif, son engagement pour la scène est indéfectible. Récemment, on a pu l'applaudir dans "Les Diaboliques" d'après Barbey d'Aurevilly, adapté par Christophe Barbier, au Théâtre de Poche. Il mène également un travail de fond autour de l'œuvre de Nathalie Sarraute, avec un cycle dédié qui rencontre un franc succès, notamment la pièce "Pour un oui ou pour un non", jouée plusieurs années consécutives à Avignon. Son interprétation dans "Le Neveu de Rameau" de Diderot, jouée plus de 700 fois, témoigne aussi de cette passion pour les grands textes et la performance scénique.

Interrogé sur sa technique, Gabriel explique qu'il utilise sa voix naturelle, tout en ayant la capacité de la moduler pour s'adapter au mieux au personnage et au physique de l'acteur original. "J'ai la chance d'avoir une voix qui peut bouger," confie-t-il, lui permettant de naviguer entre un registre médium haut et un registre plus grave. Il évoque aussi les défis du métier, comme la nécessité de s'adapter lorsque les acteurs qu'il double habituellement se font plus rares, citant les cas de Kevin Spacey ou Chris Noth. Son actualité inclut le doublage d'une mini-série espagnole pour Arte, explorant les thèmes du divorce et du patriarcat.

Au-delà des planches et des studios, Gabriel cultive une véritable passion pour le vin. Il parle avec humour de la "troisième mi-temps", ce moment de partage et de dégustation après le travail. Son approche du vin est similaire à celle de son métier d'acteur : il recherche l'authenticité, la personnalité, le terroir. "Il faut que ce qu'on boit se ressemble," dit-il, soulignant son attachement aux vins qui expriment leur origine. S'il apprécie tous les types de vins, ses préférences vont vers les Côte-Rôtie, le mythique Clos Rougeard de Saumur-Champigny, et les grands Bourgogne. Il raconte avec amusement comment la découverte d'une magnifique cave voûtée dans sa maison de Bagnolet (datant de 1830) a été un argument décisif lors de son acquisition.

Quant à sa tablée idéale pour partager une bonne bouteille, il convoquerait volontiers Balzac et Jean Carmet.

Toujours actif, Gabriel continue de jongler entre le théâtre, avec notamment un projet autour de François Villon, et le doublage. Sa curiosité le pousse également à vouloir explorer davantage les vignobles étrangers, en particulier ceux d'Italie et d'Espagne.

Artiste complet, homme de lettres et de scène, Gabriel incarne une certaine idée de l'excellence et de la passion. Sa voix a marqué des générations, et son amour pour les grands textes, qu'ils soient dramatiques ou œnologiques, continue de l'animer. Une rencontre riche qui lève le voile sur un homme aussi talentueux que passionné.

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Artiste aux multiples facettes, Christelle Chollet illumine la scène française par son énergie communicative, son humour décapant et sa voix puissante. Chanteuse, humoriste, comédienne, elle ne laisse personne indifférent. Mais derrière la personnalité publique se cache une femme authentique, attachée à ses racines et épicurienne dans l'âme.

Dès le début de l'échange, Christelle  met les points sur les "i" avec humour : on dit Michaël, pas Mike ! Une entrée en matière qui donne le ton. Originaire de Toulouse mais élevée dans le Tarn, près de Gaillac, elle insiste sur cette double appartenance. Son lien avec le vin n'est pas nouveau : son père travaillait à la cave coopérative de Rabastens. "J'ai baigné dedans," confie-t-elle, évoquant les paysages de vignobles de son enfance sur les coteaux du Tarn, près de Tauriac. Ces racines sudistes imprègnent sa personnalité chaleureuse et son amour des bonnes choses.

Connue pour ses spectacles comme "L'Empiafée" ou le plus récent "Reconditionnée", Christelle  mène une carrière riche et variée. Elle jongle avec les rôles, passant du théâtre au cinéma ("La méthode Claire" tourné à Toulouse, "Meurtre à Honfleur"), tout en préparant son septième spectacle pour célébrer ses 20 ans de carrière à la rentrée prochaine. Une artiste complète qui ne cesse de se réinventer. Ses prochaines dates la mèneront d'ailleurs à Toulouse le 3 avril pour le Printemps du Rire, puis à Bordeaux le 4 avril.

Interrogée sur ses goûts en matière de vin, Christelle révèle une approche très personnelle, loin des dogmes techniques. Pour elle, le vin est avant tout une affaire d'émotions, de sensations et de découvertes. Elle raconte avec amusement une expérience fondatrice avec le célèbre sommelier Dominique Laporte. Lors d'une dégustation à l'aveugle, alors qu'elle "n'y connaissait rien", elle identifie spontanément une odeur de menthe et d'eucalyptus dans un vin. Laporte révèle alors qu'il s'agit d'un vin australien dont les vignes poussent près d'eucalyptus ! Cette anecdote a confirmé sa conviction : il faut se laisser guider par ses sens et ses émotions. "Je retiens les noms des vins qui me plaisent parce que j'aime le goût, j'aime l'émotion," explique-t-elle. Pour elle, le contexte du partage et de la convivialité est essentiel : un vin n'aura jamais le même goût seul devant sa télé qu'entouré d'amis.

Si elle n'était pas une grande amatrice de rosé au départ, son mari, Varois d'origine, l'a initiée aux pépites de cette région. Elle avoue cependant une nette préférence pour les vins blancs, notamment les appellations bourguignonnes comme Pouilly-Loché et Pouilly-Fuissé, ou encore le Condrieu et le Sancerre. Curieuse, elle apprécie de découvrir de nouvelles choses et porte un intérêt particulier aux vins issus de l'agriculture biologique ou biodynamique, par conviction éthique et pour l'avenir. Elle aime explorer, notamment les vins rouges de Bourgogne, mais se dit "plutôt blanc" ces dernières années.

Pas question pour Christelle de se laisser enfermer dans des règles strictes d'accords mets et vins. "Quand tu as envie de manger quelque chose avec un vin, tu le fais," affirme-t-elle. À la maison, la liberté prime. Elle peut ainsi déguster des oursins avec un Bourgogne ou savourer son association favorite : le fromage (de brebis ou de chèvre) avec du vin blanc. Elle connaît cependant les goûts de ses amis et s'adapte pour faire plaisir à chacun, sortant la bière, le champagne ou le vin qui conviendra le mieux.

Une artiste à suivre sur scène et, pourquoi pas, autour d'une bonne bouteille !

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Brice Guyart, un nom qui résonne dans le monde de l'escrime. Champion olympique à Sydney et Athènes, il incarne l'excellence et la détermination. Mais derrière le sportif de haut niveau se cache un passionné de vin, un explorateur de saveurs qui aime autant manier le fleuret que déguster un grand cru. Formé à l'arme du fleuret, Brice Guyart a su construire une carrière exceptionnelle, marquée par des titres prestigieux et un engagement sans faille. Mais qu'en est-il de sa passion pour le vin ? C'est ce que nous allons découvrir.

Pour Brice, le fleuret n'est pas seulement une arme, c'est une école de la vie. Cette discipline exige une précision, une technique et une maîtrise de soi hors du commun. C'est pourquoi il est vice-président de la Fédération française. Il révèle avoir commencé l'escrime avec le fleuret et que cet arme demande beaucoup de précision et de technique. Au-delà des compétitions, l'escrime est aussi une source de rencontres et de partage. Brice évoque avec émotion les liens tissés avec ses coéquipiers et ses entraîneurs.

On pourrait penser que sport de haut niveau et dégustation de vin sont incompatibles. Et pourtant, Brice prouve le contraire. Pour lui, le vin est une source d'inspiration, un moyen de se ressourcer et de partager des moments privilégiés avec ses proches. "Contrairement à ce qu'on peut penser, le vin n'est pas forcément antinomique avec la performance et le haut niveau", confie-t-il. C'est un juste milieu qui lui permet de s'épanouir pleinement.

Lorsqu'on lui demande son vin préféré, Brice hésite. Tant de saveurs à explorer, tant de découvertes à faire ! Mais s'il devait choisir une région, ce serait sans doute la Loire. Il affectionne particulièrement les vins blancs issus du cépage Chenin, pour leur fraîcheur, leur complexité et leur capacité à accompagner les plats les plus variés. Son amour pour les vins de Loire vient de nombreuses rencontres dont une importante avec Antoine Fouca au domaine du Collier.

Toujours en quête de nouvelles expériences gustatives, Brice rêve de partir à la découverte des vins de l'Est de l'Europe, notamment ceux de la Géorgie. Ces régions méconnues regorgent de trésors viticoles, de cépages oubliés et de traditions ancestrales. Une invitation au voyage et à l'émerveillement.

Et si l'on combinait l'escrime et le vin ? C'est l'idée originale que propose Brice. Un team building d'un nouveau genre, où l'on apprend à manier le fleuret tout en dégustant des grands crus. Une expérience unique, propice à la convivialité, au dépassement de soi et à la découverte de nouvelles saveurs.

Lorsqu'il s'agit d'accorder un vin avec un plat, Brice privilégie la simplicité et l'authenticité. Une volaille rôtie, cuite à basse température, suffit à sublimer les arômes d'un grand cru. L'objectif est de ne pas masquer le vin, mais au contraire de le mettre en valeur.

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Nicolas Ulmann, un nom qui résonne dans le monde du cinéma, de la musique et de l'art. Acteur talentueux, DJ reconnu et créateur d'événements, il nous ouvre les portes de son univers éclectique et partage sa passion pour les vins natures dans une interview exclusive pour Formavin sur 20.

Un parcours artistique riche et varié

Avec une vingtaine de films à son actif, Nicolas Ulmann a su marquer le cinéma français. De ses débuts en 1997 à des rôles marquants dans des films tels que "Dans un verre d'eau", "Qui perd gagne" et "Comme un chef", il a exploré différents univers et a collaboré avec des réalisateurs de renom. Mais Nicolas ne s'arrête pas là : il est également un DJ passionné et un organisateur de fêtes talentueux, notamment connu pour son rôle de mascotte du Bus Palladium, un lieu mythique de la nuit parisienne.

C'est grâce à une rencontre fortuite avec son voisin Yannig Samot, propriétaire de restaurants, que Nicolas découvre les vins natures. Une révélation qui le passionne et le pousse à explorer de nouvelles saveurs et à apprécier l'authenticité de ces vins. Il partage avec nous ses coups de cœur, comme le vin "Cayenne" produit par ses amis comédiens François Vincentelli et Clément Siboni, et son admiration pour les vignerons qui travaillent avec passion et respect de la nature.

Pour Nicolas, le vin est avant tout une affaire de partage et de convivialité. Il aime faire découvrir ses trouvailles à ses amis et les initier aux vins natures. Il évoque avec enthousiasme sa participation à l'événement "Le vin des amis", organisé par la famille Senat, où il a pu rencontrer de nombreux vignerons et déguster des vins exceptionnels. Il souligne l'importance de l'étiquette dans le choix d'un vin, un clin d'œil à son enfance où il collectionnait les images Panini.

Nicolas se confie sur ses préférences en matière de vin : s'il apprécie une bonne coupe de champagne en référence au film "The Deer Hunter", il avoue avoir un faible pour les vins rouges. Il partage également ses souvenirs d'enfance liés au sauterne, un vin sucré que son père conservait précieusement dans sa cave. Enfin, il nous dévoile son envie de découvrir la région viticole de Sena et de partager une bouteille avec des personnalités telles que Nicolas Cage, Will Ferrell ou Philippe Katerine.

Nicolas ne manque pas de projets : il nous annonce ses prochaines soirées au Point Éphémère à Paris, où il combinera musique, DJ sets et ambiance festive. Une occasion de le retrouver et de partager sa passion pour la musique et les bons vins.

Nicolas est un artiste passionné et curieux, qui aime explorer différents univers et partager ses découvertes. Son amour pour les vins natures est une invitation à la découverte et au partage, une expérience à vivre et à savourer sans modération.

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Malia Metella, ancienne nageuse de renom et médaillée olympique, s'est reconvertie avec passion dans le monde du tourisme vert et du vin. Formavin sur 20 a eu l'opportunité de s'entretenir avec cette athlète inspirante pour découvrir son parcours, ses projets actuels et sa vision de l'accord parfait entre le sport, la nature et le plaisir gustatif.

Malia Metella a marqué le monde de la natation par ses performances exceptionnelles. Médaillée d'argent aux Jeux Olympiques d'Athènes en 2004 sur 50 mètres nage libre, elle a également brillé aux championnats du monde avec une médaille d'argent sur 100 mètres nage libre en 2005. Sans oublier ses nombreux titres européens et nationaux. Son passage au TOEC à Toulouse reste un moment clé de sa carrière, comme elle le souligne avec fierté.

Aujourd'hui, Malia se consacre à un projet qui lui tient particulièrement à cœur : la création d'une entreprise de tourisme vert. Son idée est de proposer un lieu de ressourcement et de déconnexion dans la région PACA, avec des hébergements de luxe de type "Tiny Houses". L'objectif est simple : offrir un espace où les gens peuvent prendre du temps pour eux, se reconnecter à la nature et échapper au stress quotidien.

Au cœur de ce projet, il y a une volonté forte de lutter contre l'omniprésence du digital. Malia souhaite créer un environnement où les téléphones portables et les ordinateurs sont mis de côté pour favoriser les échanges humains et la communication authentique. Elle est convaincue que ce type d'expérience est essentiel pour se ressourcer et retrouver un équilibre.

Son intérêt pour le vin s'est développé après sa carrière sportive. Bien qu'elle apprécie le vin blanc, elle a appris à aimer le vin rouge, en particulier le Pinot noir. Ce qu'elle préfère, c'est la découverte et les accords mets et vins. Pour elle, chaque dégustation est une occasion d'apprendre et de partager des moments conviviaux.

Malia a été influencée par d'autres sportifs qui se sont découverts une passion pour le vin après leur carrière. Des figures comme Boris Diaw, avec qui elle a partagé une dégustation mémorable, ont contribué à éveiller son intérêt pour cet univers riche et complexe.

Malia essaie de constituer sa propre cave, mais elle avoue avoir du mal à garder les bouteilles. Son plaisir est de les partager avec ses amis et ses proches, ce qui explique pourquoi sa cave a tendance à se vider rapidement. Elle souhaite avant tout privilégier les vins français et explorer les différentes régions viticoles de son pays.

Elle garde un souvenir ému d'une dégustation dans la cave de Boris Diaw, où elle a eu l'occasion de savourer un Château Pape Clément de 1982. Une expérience inoubliable qui a marqué son parcours de

Accord Fromage et Vin : Une Question de Goût

En matière d'accord fromage et vin, Malia a une préférence pour le vin blanc. Pour elle, le vin rouge est davantage associé à la viande, mais elle reste ouverte aux découvertes et aux suggestions.

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Pierre Dorian, journaliste reconnu et figure emblématique de RMC, se confie sur sa relation avec le vin, ses rituels, ses découvertes et ses préférences. De ses débuts dans la presse locale à son émission Super Moscato Show sur RMC Story, découvrez un Pierre Dorian passionné, amateur de bons vins et de moments conviviaux.

Un Parcours Journalistique Riche et Varié

Pierre a fait ses premières armes à la Dépêche du Midi à Castres, avant de rejoindre RMC où il anime depuis de nombreuses années le Super Moscato Show. Désormais diffusée sur RMC Story, l'émission permet à Pierre de partager sa passion pour le sport et le débat avec un public toujours plus large.

Le Vin : un Rituel et un Plaisir Simple

Pour Pierre Dorian, le vin est avant tout une affaire de plaisir et de partage. Son rituel ? Une bonne bouteille le vendredi soir, dégustée en famille, et des découvertes régulières au gré des rencontres et des voyages. S'il apprécie les bons vins de tous les jours, il n'hésite pas à sortir une belle bouteille pour célébrer un moment spécial, à condition d'être entouré de personnes qui savent l'apprécier.

Entre Découvertes et Préférences

Pierre avoue avoir un faible pour les vins blancs et rouges, sans préférence particulière, et se dit moins attiré par les rosés. Il rêve de découvrir le Bordeaux, une région qu'il connaît encore trop peu, et se passionne pour les vins d'Europe Centrale, notamment ceux de Slovénie. Son souvenir le plus marquant ? Une dégustation chez Marcel Deiss en Alsace, où il a découvert une approche unique du vin et des arômes.

Accords Mets et Vins : l'Art de Sublimer les Saveurs

S'il aime déguster un Sancerre rouge avec une bonne viande, Pierre Dorian est de plus en plus sélectif avec les fromages. Les pâtes molles trop puissantes ont tendance à anesthésier son palais, tandis qu'il apprécie toujours autant un vin blanc avec un chèvre frais.

La Cave de Pierre : un Espace Optimisé pour le Plaisir

Malgré un espace limité dans son appartement parisien, Pierre a aménagé une petite cave où il conserve entre 200 et 250 bouteilles. Un espace qu'il gère avec soin, en privilégiant le vieillissement de certains vins et en adaptant ses choix aux occasions et aux convives.

Une Tablée de Rêve pour Partager une Bonne Bouteille

Si Pierre pouvait choisir ses compagnons de table pour une dégustation mémorable, il opterait pour un mélange de générations et de personnalités : Mick Jagger, Michel Platini, Serge Blanco et Florence Foresti. Un casting éclectique, garanti de bonne humeur et d'échanges passionnants.

Les Terrasses du Larzac : un Coup de Cœur Récent

Parmi ses découvertes récentes, Pierre Dorian cite avec enthousiasme les Terrasses du Larzac, une région viticole du Languedoc qu'il apprécie pour ses vins élégants et expressifs. Une belle illustration de sa curiosité et de son ouverture d'esprit en matière de vin.

Un super échange à écouter sans modération

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Pour ce 80ème podcast, c'est Laurent Gounelle qui nous fait l'honneur de discuter vins.

Laurent Gounelle, écrivain et psychologue de renom, est connu pour ses romans initiatiques qui invitent à la réflexion et à l'épanouissement personnel. Mais derrière l'auteur à succès se cache également un amateur de vin éclairé. Dans cette interview exclusive accordée à Michael , Laurent nous dévoile ses préférences œnologiques, ses souvenirs liés au vin et sa vision de la dégustation comme moment de partage et de pleine conscience.

Un auteur en quête de sens.

Depuis son premier roman, "L'homme qui voulait être heureux", Laurent Gounelle explore les méandres de l'âme humaine et les chemins de la réalisation de soi. Ses ouvrages, tels que "Les dieux voyagent toujours incognito" ou "Le philosophe qui n'était pas sage", sont autant d'invitations à questionner notre rapport au monde, aux autres et à nous-mêmes. Son dernier roman, "Un monde presque parfait", ne déroge pas à la règle, puisqu'il aborde le thème crucial de la prise de décision et de la réappropriation de notre pouvoir dans un monde de plus en plus normé.

L'écriture, une immersion totale

Pour Laurent, l'écriture est un processus qui demande du temps et de l'investissement. Il lui faut en moyenne deux ans pour donner naissance à un roman, deux années durant lesquelles il se laisse entièrement habiter par son sujet. L'inspiration est primordiale, et il ne force jamais le trait. L'histoire doit venir à lui, naturellement. Une fois le thème trouvé, le plus grand défi est de construire une intrigue qui permette aux lecteurs de s'identifier aux personnages et de s'approprier les idées véhiculées.

Si l'écriture occupe une place centrale dans sa vie, Laurent Gounelle n'en apprécie pas moins les plaisirs de la table et du vin. Ses préférences vont aux vins du sud de la Bourgogne, tels que les Saint-Véran ou les Viré-Clessé. Il affectionne également certains crémants de Bourgogne, qu'il n'hésite pas à comparer aux meilleurs champagnes. En matière d'accords mets et vins, il privilégie la légèreté, avec une prédilection pour les plats à base de poisson ou de légumes. Un plat qu'il affectionne particulièrement ? La volaille au vin jaune, un clin d'œil à une autre région viticole française, le Jura.

Mais au-delà des préférences gustatives, c'est la dimension conviviale et humaine du vin qui touche particulièrement Laurent. Pour lui, déguster un bon vin est avant tout un moment de partage avec les proches, une occasion de suspendre le temps et de se reconnecter à l'instant présent. Le vin, par sa complexité aromatique, par le travail qu'il représente, invite à une dégustation consciente, loin de la consommation effrénée du quotidien. C'est une expérience sensorielle et émotionnelle, qui se savoure d'autant plus lorsqu'elle est partagée avec des êtres chers.

Si Laurent a ses régions de prédilection, il n'en reste pas moins curieux et ouvert à la découverte. Il aimerait notamment approfondir sa connaissance des vins des Cévennes, région dont sa famille est originaire. Une manière de renouer avec ses racines et d'explorer de nouveaux horizons gustatifs. Car le vin, comme la littérature, est une invitation au voyage et à l'émerveillement.

Cette rencontre avec Laurent nous aura permis de découvrir une autre facette de l'écrivain, celle d'un homme attaché aux plaisirs simples de la vie et à la convivialité. Son approche du vin, à la fois épicurienne et philosophique, résonne avec son œuvre littéraire, où la quête de sens et l'épanouissement personnel sont au cœur de chaque récit. Une belle leçon de vie et d'art de vivre à la française.

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Thomas Boudat, un nom qui résonne dans le monde du cyclisme, a opéré une transition remarquable vers l'univers de la viticulture. De ses titres de champion du monde à sa vie de vigneron passionné à Mourens, découvrez l'itinéraire fascinant de cet athlète devenu ambassadeur du terroir français.

Thomas Boudat a marqué le monde du cyclisme par son talent et sa détermination. Champion du monde Omnium en 2014, champion d'Europe de la poursuite par équipe en 2022, et quintuple champion d'Europe au total, son palmarès est impressionnant. Ses participations aux Jeux Olympiques de Rio et de Paris, ainsi que ses deux Tours de France, témoignent de son engagement et de son amour pour le sport. Avec 21 titres de champion de France, Thomas Boudat a su se hisser au sommet de sa discipline.

Après une carrière sportive intense, Thomas a choisi de se consacrer à une autre passion : la viticulture. Propriétaire d'un domaine familial viticole à Mourens, il s'investit pleinement dans la production de vins de qualité. Cet ancien cycliste de haut niveau a trouvé un nouveau défi, où la rigueur, la patience et le respect du terroir sont essentiels.

Depuis quatre ans, Thomas organise une randonnée VTT trail qui porte son nom. Cet événement, qui se déroule au cœur de ses vignes, propose des parcours de 9 et 18 kilomètres. C'est une occasion unique pour les participants de découvrir le domaine, de profiter de la nature et de partager un moment convivial autour du vin. Cette manifestation reflète la volonté de Thomas Boudat de mêler le sport, le terroir et les rencontres humaines.

Pour Thomas, le vin est avant tout une affaire de partage et de convivialité. Il privilégie des vins accessibles, sans prise de tête, qui invitent à la découverte et à la discussion. Cette vision se traduit dans son travail au domaine, où il cherche à produire des vins qui reflètent l'authenticité et la richesse de son terroir.

Si Thomas apprécie de plus en plus les vins blancs, il reste un fervent amateur de vins rouges. Son domaine propose une gamme variée, allant des vins rouges aux vins blancs secs, en passant par les liquoreux. Pour accompagner un bon repas, il privilégie les accords mets et vins qui mettent en valeur les saveurs et les arômes de chaque plat.

Au cours de l'interview, Thomas partage des anecdotes savoureuses, notamment celle de la bouteille de Cheval Blanc 2003 offerte lors du Tour de France. Il évoque également ses projets d'avenir, comme l'envie d'approfondir sa connaissance de la région bordelaise et de découvrir la Champagne. Son parcours témoigne d'une passion inébranlable pour le vin et le terroir français.

Thomas incarne la réussite d'une reconversion professionnelle réussie. Son parcours, du cyclisme de haut niveau à la viticulture, est une source d'inspiration. En privilégiant le partage, la convivialité et le respect du terroir, il contribue à valoriser l'image du vin français et à promouvoir un art de vivre authentique.

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