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lors qu’une succession d’accidents spectaculaires de puissantes voitures servait de bouquet final au feu d’artifice du film de Paul Thomas Anderson, c’est « un simple accident » pour en reprendre le titre, qui sert d’embrayeur au nouveau film du cinéaste iranien Jafar Panahi.
Sur les hauteurs de Téhéran, une famille est contrainte, après avoir écrasé un chien, d’amener sa voiture au garagiste du coin. C’est alors que l’un des employés du garage, Vahid, croit reconnaître, grâce à la démarche et à la voix du père de famille, le tortionnaire qui l’a torturé maintes fois lorsqu’il se trouvait en prison : celui-ci était en effet surnommé « guibole » à cause d’une jambe de bois ayant remplacé la véritable perdue sur le terrain syrien.
Après l’avoir enlevé et trimbalé dans un coin désert pour l’enterrer vivant, il est pris d’un doute lié aux dénégations de l’homme. Il se lance alors à la recherche d’autres victimes de la dictature iranienne et d’autres témoins capables d’identifier formellement leur bourreau : une mariée en robe blanche, une photographe ou un homme paraissant à moitié-fou…
Le film de Jafar Panahi a obtenu la Palme d’or au dernier festival de Cannes et la France, où il est-coproduit, a en fait son choix pour la course aux oscars. Il est sur les écrans depuis le 1er mars dernier.
Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
By Mediapartlors qu’une succession d’accidents spectaculaires de puissantes voitures servait de bouquet final au feu d’artifice du film de Paul Thomas Anderson, c’est « un simple accident » pour en reprendre le titre, qui sert d’embrayeur au nouveau film du cinéaste iranien Jafar Panahi.
Sur les hauteurs de Téhéran, une famille est contrainte, après avoir écrasé un chien, d’amener sa voiture au garagiste du coin. C’est alors que l’un des employés du garage, Vahid, croit reconnaître, grâce à la démarche et à la voix du père de famille, le tortionnaire qui l’a torturé maintes fois lorsqu’il se trouvait en prison : celui-ci était en effet surnommé « guibole » à cause d’une jambe de bois ayant remplacé la véritable perdue sur le terrain syrien.
Après l’avoir enlevé et trimbalé dans un coin désert pour l’enterrer vivant, il est pris d’un doute lié aux dénégations de l’homme. Il se lance alors à la recherche d’autres victimes de la dictature iranienne et d’autres témoins capables d’identifier formellement leur bourreau : une mariée en robe blanche, une photographe ou un homme paraissant à moitié-fou…
Le film de Jafar Panahi a obtenu la Palme d’or au dernier festival de Cannes et la France, où il est-coproduit, a en fait son choix pour la course aux oscars. Il est sur les écrans depuis le 1er mars dernier.
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