Un texte critique d'Emilien Gür sur le film de Mariusz Wilczynski «Kill It and Leave This Town», lu par Luna Schmid et montée par Annatina Stalder. «[...] Ces fragments de reconstitution fantasmés se déploient suivant une logique à la fois surréaliste et organique : d’une part, parce que le film abolit toute frontière entre le réel et l’imaginaire et que son rythme épouse celui du rêve ; d’autre part, parce que l’œuvre fait corps, ou peut-être plus exactement, est corps.»