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By La nuit porte Conseil • Fréquence Terre
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The podcast currently has 161 episodes available.
Je comprends mieux L’Étranger d’Albert Camus et son incomparable ambiance algéroise, après avoir lu Le premier homme du même auteur, quand il y décrit par le détail sa jeunesse.
Une enfance dont il n’a jamais guéri, un secret de lumière, la pauvreté lumineuse qui l’aida à vivre et à tout vaincre.
Il y décrit sa mère : « …une vie qui, à force d’être privée d’espoir, devenait aussi une vie sans ressentiment d’aucune sorte, ignorante, obstinée, résignée enfin à toutes les souffrances, les siennes comme celles des autres… »
Il dit qu’elle avait la mémoire « enténébrée » et il précisa que « la mémoire des pauvres est moins nourrie que celle des riches, elle a moins de repères dans l’espace… »
Mais, il ajouta que : « Bien sûr, il y a la mémoire du cœur dont on dit qu’elle est la plus sûre, mais le cœur s’use à la peine et au travail… »
Albert Camus jeune, ce fut une place de gardien de but dans l’équipe de l’école, des travaux d’été dans une chaleur écrasante en lieu et place de vacances car il fallait subvenir aux frais ménagers, une brillante scolarité et l’amour de la littérature découverte à la lueur de la chandelle, un père inconnu, car tué lors de la Première Guerre mondiale, une grand-mère despote et frappeuse, des vêtements rapiécés, Belcourt, un quartier populaire sans commodités, des potes français, des potes arabes,…
Tout cela forgea le caractère du futur Prix Nobel de Littérature et dans ce livre touchant, j’ai relevé quelques phrases qui font davantage comprendre son engagement humaniste :
« La prodigalité est toujours plus facile dans le dénuement. Rares sont ceux qui continuent d’être prodigues après en avoir acquis les moyens. Ceux-là sont les rois de la vie, qu’il faut saluer bas. »
« La misère est une forteresse sans pont-levis. »
« La règle constante du cœur humain veut que la punition des uns est ressentie comme une jouissance par les autres. »
« Ce qui punit les uns fait jouir les autres. »
« On est fait pour s’entendre. Aussi bêtes et brutes que nous, mais le même sang d’homme. On va encore un peu se tuer, se couper les couilles et se torturer un brin. Et puis on recommencera à vivre entre hommes… »
« Le berger Kabyle qui, sur sa montagne pelée et rongée par le soleil, regarde passer les cigognes en rêvant à ce Nord d’où elles arrivent après un long voyage peut rêver tout le jour, il revient le soir au plateau de lentisques, à la famille à longues robes, et au gourbi de la misère où il a poussé ses racines. »
« On honore les hommes qui ont fait de grandes choses. Mais on devrait faire plus encore pour certains qui, malgré ce qu’ils étaient, ont su se retenir de commettre les plus grands forfaits. »
« Finalement, il n’y a que le mystère de la pauvreté qui fait les êtres sans nom et sans passé. »
Musique : Michaël Mathy
Photo : Larbi Adouane
« La liberté d’expression, c’est fini ?! », cette phrase ponctuée d’un point d’interrogation et d’un point d’exclamation est lancée par des laïcs engagés qui se penchent avec acuité sur cette approche aussi urgente que délicate, tant les susceptibilités sont exacerbées. Sans parler des menaces qui se font de plus en plus pressantes sur les humanistes.
Ainsi, le Centre d’Action Laïque de la Capitale de l’Europe l’a saisie par des articles, conférences et une exposition (jusqu’au 14/2/2020) que Fréquence Terre, en partenariat avec POUR, ne pouvait ignorer afin d’informer un maximum de citoyens sur cette problématique d’une actualité plus que sensible, donc.
Depuis un mois, on rappelle l’affaire des caricatures, du procès et des attentats contre Charlie Hebdo qui, le 7 janvier 2015, firent douze victimes, dont huit membres de la rédaction. On rappelle aussi qu’une semaine plus tard on lisait en couverture de l’hebdo « Tout est pardonné » et le slogan « Je suis Charlie ».
À l’expo, sous cette couverture mythique, on lit que cet attentat fut une « véritable déflagration dans l’opinion publique ».
Certes, mais depuis lors, qu’est devenue la liberté d’expression pour laquelle trop de gens périssent ou subissent des représailles insoutenables ?
À cette même exposition, une explication à une couverture de Charlie Hebdo attire l’attention : « Le débat a toujours été un exercice périlleux. Mais de plus en plus, on tend à vouloir freiner toute possibilité de discussion en censurant plutôt qu’en argumentant », selon le chroniqueur Guillaume Erner, qui rallia la rédaction de Charlie Hebdo après l’attentat.
N’empêche, sous mes yeux défilent le portrait des victimes de 2015 et trente-cinq couvertures emblématiques de l’esprit Charlie et, force est de constater que la liberté d’expression, si elle est plus que jamais en grand danger, n’est pas tout à fait morte.
Ainsi, au sujet de Greta Thunberg, sous les titre « Ces autistes qui dirigent le monde » et sous-titre « Leurs réseaux, leur financement, leurs tutos beauté », il est bien expliqué qu’il s’agit d’une satire des attaques violentes proférées à l’encontre de la jeune activiste suédoise et que Charlie Hebdo « exploita le lexique complotiste » en rappelant que le magazine avait toujours été un journal écolo.
D’autres numéros de Charlie Hebdo, de notre partenaire POUR dont, rappelons-le, le slogan immuable depuis les années 80 est « Écrire la liberté », d’Espace de libertés, le mensuel du Centre d’Action Laïque, de Fakir, du Canard Enchaîné, du magazine ML (Morale Laïque), de Fréquence Terre, bien entendu,… prouvent que la liberté d’expression est un inestimable trésor à chérir sur le principe majeur que « la laïcité est la liberté d’esprit », selon Marika Bret, membre de l’équipe de Charlie Hebdo qui, à Espace de libertés, déclare encore que « la laïcité est notre pivot commun, notre pilier de vivre ensemble ».
Il reste à ces médias libres et indépendants à essaimer davantage et inlassablement face à l’inertie et à l’indifférence de trop de politiciens et, par corollaire, de citoyens.
Musique : Michaël Mathy.
Les plus anciens auditeurs se souviennent peut-être d’une chanson assez rigolote d’Alain Souchon, dont le refrain était « On est foutu, on mange trop ». C’était en 1978. Quarante-deux ans plus tard, on rigole nettement moins face aux dégâts de la malbouffe ajoutés à ceux d’un changement climatique dévastateur, face, aussi, à une montée de plus en plus inquiétante de l’intolérance, à une menace accentuée de conflit mondial au nom du pétrodollar, du rouble, du yuan…
Alors, la lecture de Ce que les peuples racines ont à nous dire avec en sous-titre De la santé des hommes et de la santé du monde de Frederika Van Ingen aux Éditions Les Liens qui Libèrent, est plus qu’une bouffée d’oxygène dans une Société qui étouffe de son indécence, de sa suffisance et de son mépris à l’égard de la Nature et à tous ceux qui la défendent et la respectent, c’est un réquisitoire à partir de l’exemple que nous donnent les peuples racines pour qui « la santé est d’abord synonyme d’équilibre ».
L’auteure, dont il avait été amplement question sur nos antennes avec son remarquable essai Sagesses d’ailleurs pour vivre aujourd’hui, dit : « Nos corps sont les cellules du monde, nos groupes et sociétés sont ses organes, et nos maux physiques et psychiques les signes d’une maladie du vivant qui nous habite. »
L’anthropologue Jean Malaurie disait déjà en 1999 : « Les ‘‘peuples racines’’ sont à la source même – et donc partie intégrante – de la vie de l’humanité qui se construit sur notre planète ; et ils sont susceptibles d’apporter aux nations ‘‘avancées’’ le second souffle indispensable pour affronter le nouveau siècle et ses formidables défis… ».
Pour évoquer Ce que les peuples racines ont à nous dire, un essai fort de 360 pages, j’ai choisi de vous citer quelques-uns de ses passages qui m’ont plus particulièrement éclairés et, comme tout choix est subjectif, je laisse au lecteur le soin d’en sélectionner d’autres, car l’alternative ne manque pas.
En conclusion, l’auteure nous rappelle que « les savoirs des peuples racines sont une source d’inspiration essentielle pour restaurer nos équilibres, ceux de nos corps et de notre pensée comme ceux de nos sociétés. »
Musiques : extrait de Papa Mambo d’Alain Souchon et Michaël Mathy.
« Il y a plus malin que la censure. Organiser le mensonge, empêcher que la vérité apparaisse s’approche du crime parfait. On assassine sur la place publique, mais en distribuant des bonbons à l’assistance, qui prend cela pour une communion solennelle. Mentir est parfois du grand art. » s’exclame Fabrice Nicolino dans Charlie Hebdo Spécial « 5 ans après ».
Eh bien, je pense qu’il y a pire que la censure et le mensonge : il y a ce qu’a vécu Vanessa Springora, victime à 13 ans d’un prédateur sexuel qu’elle nomme G.M. dans son ouvrage Le Consentement (Grasset) et appelé Gabriel Matzneff par François Busnel qui l’avait invitée à « La Grande Librairie » sur France 5.
En effet, parce que ce G.M. était un écrivain notoire, côtoyant l’intelligentsia, chouchou de chroniqueurs littéraires, star grâce à ses ouvrages où il décrivait méticuleusement sa pédophilie depuis des décennies, paraît-il, Prix Renaudot en 2013…, eh bien, la presse, le monde de l’édition, la magistrature, les autorités policières, la Justice, les ministres de la Culture, la présidence française…, à de rares exceptions, laissèrent faire ce personnage.
Ils le laissèrent faire jusqu’il y a quelques semaines avec la publication du Consentement, d’ailleurs.
Aux yeux de la loi française, il s’agissait pourtant de crimes et, même, juridiquement d’aveux dans les livres, mais le dandysme et l’entre-soi mondain lui ouvraient toutes les portes.
Vers la fin de l’émission, il y eut comme un moment de vérité historique enfin exprimée quand François Busnel cita quelques noms prestigieux (Sartre, de Beauvoir, Foucault, Mitterrand…) et que se posa la question de savoir si tout était autorisé au nom de la liberté d’expression.
Pire que la censure et le mensonge, il y a également le droit de salir des enfants attribué au nom d’un copinage s’apparentant à un soutien intellectuel, voire à de la collaboration.
Et, comme le souligna François Busnel, ce n’est pas du complotisme que de dire cela.
Musique : Robot de Michaël Mathy.
Touchante et instructive saga familiale avec le roman La Promesse au Bois-Joli de Lyliam Mosca aux Presses de la Cité. Tous les ingrédients sont réunis pour apporter cette envie d’aller de chapitre en chapitre grâce à un style fluide et l’art d’un certain suspense.
Certes, d’aucuns pourraient trouver la trame de cette histoire un peu convenue (accident de voiture) et se lasser des dizaines de fois où un amoureux transi susurre « ma princesse » à sa dulcinée, les personnages principaux, Lara et Julien, sont tellement attachants et « profonds » que, bien vite, on leur souhaite de vivre le bonheur qui leur fut rapidement refusé par le destin, étant orphelins de père et de mère très jeunes.
Lara, enseignante et mélomane, et Julien, écolier, vivent à la boulangerie de village tenue par leur acariâtre grand-mère. Aux fourneaux, oncle Richard, follement amoureux d’une Camerounaise. Ce qui, au village, fait jaser, comme la relation de Lara et d’Audran, un verrier plus âgé qu’elle.
Sur trame de conflit de générations, de mort de l’artisanat et du petit commerce, de l’amour de la musique et du vitrail, du souvenir tragique de la Seconde Guerre mondiale, d’un racisme rampant alimenté par les rumeurs, ce livre ne devrait pas laisser indifférents la jeunesse et leurs aïeux.
À défaut de politiciens pour tenter de résoudre de multiples problèmes sociétaux, la littérature y arrive, elle, en démontrant que l’Amour est le plus puissant des remèdes.
Musique : Michaël Mathy
L’ASPA, Association pour la protection des animaux sauvages, a fini par réunir 2,3 millions d’euros avec l’aide précieuse de 20 000 donateurs et a, de la sorte, sauvé quelque 500 hectares dans le Vercors, là, où les chasseurs s’y donnaient à fusil joie en y abattant même le cerf sika importé et emprisonné dans des clôtures comme tant de renards, sangliers, loups…
Désormais, ces 500 hectares ne seront plus le terrain d’abattage privilégié des prétendus défenseurs de l’environnement, tout comme les dix hectares qui, grâce aux 22 500 euros récoltés par l’Association Forêt vivante en Haute-Savoie, devraient également échapper aux chasseurs.
Actions à suivre, donc.
Source : Charlie Hebdo.
Musique : Michaël Mathy.
Photo : Fréquence Terre.
La Nature est sacrée. Parmi elle, le chêne, arbre sacré par excellence. Symbole de puissance et de générosité dans toutes les civilisations, il est généralement chéri, exception faite par ceux qui méprisent l’environnement au nom du mercantilisme.
Victor Hugo fut un ardent défenseur de la Nature, un écologiste avant l’heure, et l’un de ses descendants, Jean Baptiste, photographe, fils de Jean (1894-1984), vient de le rappeler dans le deuxième numéro de La Lettre de Jean Hugo, une publication en ligne ([email protected]) des Amis de Jean Hugo, celui-ci étant l’arrière-petit-fils du célèbre écrivain.
Et, comme bon sang ne saurait mentir, il fut un artiste de renom très connu pour ses vitraux exceptionnels, tels ceux de Notre-Dame de la Sarte, une église perchée sur les hauteurs de Huy, « une des plus belles filles de Meuse », selon l’Immortel, de la Maison de saint Dominique à Fanjeaux, là où vécut, de 1206 à 1215, le sous-prieur Dominique, véritable idéologue de l’Inquisition.
Si André Malraux emprunta des vers de Victor Hugo le titre de son ouvrage dévolu au général de Gaulle, Les chênes qu’on abat…, le chêne de Victor Hugo d’Hauteville sur l’île de Guernesey, lui, paraît indestructible. On n’abat pas ce chêne-là !
La famille Hugo est très attachée à Hauteville, la maison où son prestigieux aïeul s’exila durant quatorze années et, illustré par des photos de Jean Baptiste, un reportage dans La Lettre de Jean Hugo évoque ce chêne dont il est question dans la présente chronique.
« Victor Hugo s’était réfugié à Bruxelles en 1851 suite à son opposition au coup d’État de Napoléon III. Il gagna ensuite Jersey avec un groupe de proscrits mais leur activité journalistique leur valut au bout de trois ans une mesure d’expulsion par le gouverneur de l’île. Ils avaient notamment publié une lettre jugée injurieuse pour la reine Victoria.
De Jersey, Victor Hugo se rendit à Guernesey car il voulait rester proche de la France, persuadé que le règne de l’Empereur ne durerait pas longtemps. Il y loua pendant environ un an une maison sur les hauteurs de Saint Pierre Port puis, à la suite du succès exceptionnel des ‘‘Contemplations’’, il devint propriétaire à 54 ans d’une grande bâtisse construite vers 1800 par un corsaire anglais. Il avait initialement l’intention de la baptiser ‘‘Liberty House’’, mais il choisit ‘‘Hauteville House’’, en référence au nom de la rue où elle se situait. »
Le 13 septembre 1870, de Paris où il était rentré, Victor Hugo écrivit : « Julie m’écrit de Guernesey que le gland planté par moi le 14 juillet a germé. Le chêne des États-Unis d’Europe est sorti de terre le 5 septembre, jour de ma rentrée à Paris. »
Près de cent cinquante années plus tard, son descendant Jean Baptiste le photographiait, visiblement fidèle au symbole de puissance qu’il véhicule comme la pensée hugolienne, tellement utile à rappeler en ces temps troublés, plus particulièrement au plan environnemental : « Il faut aussi civiliser l’homme du côté de la Nature, là tout est à faire. » écrit-il dans le deuxième tome d’En voyage.
Musique : Michaël Mathy
Remerciements à Jean Baptiste Hugo pour l’autorisation de publier des extraits de La Lettre de Jean Hugo.
Le magazine POUR, dont la devise est « Pour écrire la Liberté », partenaire de Fréquence Terre depuis plusieurs années, a publié – au prix plus que démocratique de 3 euros – un numéro spécial consacré à la prison : « Abolir l’école du crime, c’est croire en l’humain ».
Plutôt que de longs discours, j’en ai extrait quelques passages et vous les livre sans autres commentaires car ils parlent d’eux-mêmes, la parole ayant été donnée à des acteurs de terrains : à trois prisonniers, à des membres du personnel de prisons, d’une directrice à un aumônier, à une membre et avocate de l’Observatoire International des Prisons ou d’un Collectif de luttes anti-carcérales, à un ancien détenu, à un juge honoraire, à un enseignant en prison…
Jean-Claude Garot, rédacteur en chef de POUR et deux chroniqueurs de son équipe expliquent d’emblée : « Qui peut croire que la vengeance, l’humiliation vont rendre des êtres meilleurs ? Les conditions de détention, en elles-mêmes, sont des sources de potentielles récidives. Changeons de modèle ! Investissons dans l’humain plutôt que dans le béton ! Il est urgent de remettre l’humain au centre des débats, par une justice restauratrice et réparatrice. C’est une autre manière de rendre la justice, dans le plus grand respect des victimes, avec le souci d’envisager un futur positif tant pour la victime, que pour l’auteur, et pour la société. »
Voici, à présent, quelques propos des témoins :
• Un détenu : « L’absence d’aide. L’absence d’information. On vous a mis en prison parce que vous avez commis une faute. C’est tout à fait normal. Après, on vous a mis dans une pièce où il y a des murs et où il y a plein de portes sans vous dire quelle porte il faut ouvrir. Certains psychologues et certains directeurs s’amusent même à vous mettre des embûches derrière certaines portes pour vous freiner dans votre avancement vers la réinsertion, qui n’existe de toute façon pas en prison !»
La conclusion est tirée par un professeur à une école de criminologie en milieu universitaire : « Observons le sort réservé au personnel politique corrompu, aux capitaines d’entreprises fraudeurs, aux marchands de poisons en tous genres, aux experts en blanchiment d’argent et aux marchands d’armes. La prison ne semble pas faite pour eux, malgré les dégâts considérables qu’ils occasionnent, malgré les humains qu’ils tuent volontairement, mais proprement, à distance respectueuse. Les crimes qu’ils commettent n’ont pas besoin d’une réponse pénitentiaire ? Ce qui compte est que leurs torts soient réparés ? Parfait, au nom de l’égalité, prenons exemple sur leur sort pour le généraliser aux délinquants ‘‘traditionnels’’ ».
Pour : www.pour.press
Musique : Michaël Mathy
C’est dans le site protégé du « Perroquet » à Bray-Dunes, que se dresse un impressionnant mausolée en hommage aux marins. Pierre Guelff s’y est rendu.
Podcast ci-dessous.
Photos : Pierre Guelff.
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