Share Lactosphère, le podcast de la Fédération Nationale de l'Industrie Laitière
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By FNIL
The podcast currently has 21 episodes available.
Nous ouvrons la 2e saison de Lactosphère, le podcast de la Fnil, Fédération nationale de l'industrie laitière, en posant nos micros à Saint-Malo, chez la Maison Bordier.
Julie Sugliani, responsable produit & communication, ainsi que Vincent Philippe, expert fromage et ambassadeur des savoir-faire, nous accueillent au Bistro Autour du Beurre, au cœur de la cité malouine. Tous deux travaillent pour la Maison Bordier, adhérent de la Fnil.
Grâce à nos invités, vous allez voyager au pays du beurre de baratte, sublimé par la Maison Bordier.
Julie vous conte l'histoire de la Maison Bordier, créée en 1985 par Jean-Yves Bordier. L'entreprise a redonné ses lettres de noblesse au beurre grâce à la redécouverte de la technique traditionnelle du remalaxage.
Aujourd'hui, cette institution, qui compte une centaine de salariés, œuvre comme artisan beurrier, mais également comme fromager affineur. Sans oublier la crèmerie et l'épicerie au beurre...
Vincent partage quant à lui son parcours atypique qui l'a mené, en 2023, au titre de Champion du monde fromager. Vous l'entendrez, sa passion pour le beurre et le fromage est particulièrement communicative.
Connue et reconnue pour son beurre, la Maison Bordier propose une gamme variée de parfums exceptionnelle. Julie et Vincent vous détaillent les créations emblématiques comme les beurres aux algues, au piment d'Espelette ou encore au chocolat. Chaque beurre est conçu avec une précision d'orfèvre, soulignant des relations de confiance et de longue date avec les producteurs locaux.
L'épisode met également en lumière le processus de personnalisation unique de la Maison Bordier. De la forme au poids, en passant par des recettes spécifiques pour les plus grands chefs, chaque détail est traité avec une attention rare, rendant chaque beurre unique.
A l'instar de Julie et Vincent, les équipes de la Maison Bordier sont passionnées par leurs produits, comme en témoigne la "brigade" de beurrerie, dont le travail, au sein de l'atelier, oscille entre orfèvrerie et ballet des plus grands opéras.
Comme le disent nos invités, le goût du vrai est au cœur de chaque produit. L'attention aux détails, combinée à une passion sans cesse renouvelée, fait de cette Maison un pilier de la gastronomie en Bretagne, mais aussi à travers le monde.
L'épisode se conclut sur une note de délicieuse anticipation pour un prochain épisode, toujours en compagnie de nos deux invités.
Il explorera l'affinage des fromages proposés par la Maison Bordier.
Si vous êtes amateur de gastronomie, curieux du savoir-faire artisanal ou simplement à la recherche d'histoires inspirantes sur des produits d'exception, cet épisode de Lactosphère est fait pour vous.
Très bonne écoute et, s'il vous plaît, abonnez-vous au podcast avant de noter 5 étoiles sur Apple et Spotify !
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans ce nouvel épisode de Lactosphère, le podcast de la Fédération Nationale de l'Industrie Laitière, Jérémie Wainstain, directeur scientifique de Carbon Maps, startup Milk tech, vous explique comment sa plateforme révolutionne l'évaluation de l'empreinte environnementale de l'industrie laitière.
Concrètement, Carbon Maps comptabilise l'empreinte carbone des produits, de l'agriculture au consommateur. La solution inclut tous les processus intermédiaires comme la production industrielle, le packaging, et plus encore.
Utilisant l'analyse de cycle de vie, cette approche permet de visualiser l'empreinte carbone globale d'un produit et d'identifier les domaines nécessitant des améliorations.
L'impact environnemental de l'industrie laitière ne s'arrête pas là ; il englobe également l'élevage qui joue un rôle central dans la préservation de la biodiversité et des paysages ruraux. En promouvant des pratiques d'élevage durables, Carbon Maps contribue à un avenir plus vert et sain.
Carbon Maps : une interface utilisateur simple
Pour Jérémie Wainstain, il est essentiel que la plateforme soit accessible à tous, non seulement aux professionnels de la RSE et des achats mais aussi aux producteurs laitiers et aux consommateurs.
L'objectif est de permettre à chacun de comprendre et d'agir sur son propre impact environnemental sans que cela nécessite un doctorat en sciences de l'environnement. Cette accessibilité se traduit par des tableaux de bord intuitifs et une démarche pédagogique forte incluant des modules de formation et des fiches filières.
Un pont entre les mondes agricole et Industriel
Un aspect crucial du travail de Carbon Maps réside dans sa capacité à créer un dialogue entre les différents maillons de la chaîne de production laitière. La plateforme facilite une compréhension commune des enjeux environnementaux et encourage une collaboration effective pour réduire l'impact carbone de l'ensemble du secteur.
C'est ce que souligne l'expérience de collaboration avec l'association de producteurs et la direction des achats Bel, adhérant Fnil, mettant en évidence le rôle de Carbon Maps comme tiers de confiance et traducteur entre univers techniques différents.
Le futur de l'Industrie Laitière : transparence et décarbonation
L'engagement de Carbon Maps à fournir des "green claims" vérifiables et fiables, opposés au "greenwashing", illustre une tendance plus large vers la transparence et la durabilité dans l'industrie laitière.
A titre d'exemples, Carbon Maps permet aux industriels du lait de monitorer la consommation d'énergie ou d'eau des usines.
Cette démarche scientifique et transparente est essentielle pour maintenir la confiance des consommateurs et guider le secteur vers un avenir plus durable.
Pour plus d'informations et une expérience approfondie, écoutez l'épisode complet de Lactosphère. Vous découvrirez comment l'équipe de Carbon Maps, start-up Milk tech, réduit l'empreinte carbone de l'industrie laitière.
En outre, Carbon Maps réussit le tour de force de faire collaborer l'ensemble de la filière laitière, qu'il s'agisse des industriels ou des éleveurs. Le tout avec pédagogie car la décarbonation de l'industrie laitière est un enjeu majeur des années à venir.
Très bonne écoute et, s'il vous plait, abonnez-vous au podcast Lactosphère !
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pour ouvrir la nouvelle saison de Lactosphère, le podcast de la Fédération nationale de l'industrie laitière, nous recevons François-Xavier Huard, son PDG.
L'année 2024 débute comme s'est terminée 2023 : sous le signe de l'innovation !
En effet, le 13 décembre dernier, le premier prix Milk Tech, qui célèbre l'innovation au sein de l'industrie laitière, a récompensé les start-ups Thrasos et Coldep.
Le 28 février prochain, à l'occasion du 60e salon international de l'agriculture, ces 2 jeunes pousses lauréates seront présentes, avec d'autres start-ups à l'occasion de l'organisation d'un atelier de pitch inversé.
Contrairement à l'habitude, ce sont les adhérents de la FNIL qui présenteront leurs projets et leurs besoins en matière de transition agroécologique à une dizaine de start-ups !
Parmi les adhérents de la Fnil il y aura des grands groupes internationaux au même titre que des ETI et PME.
Côté start-ups, de nouvelles entreprises rejoindront les 2 lauréats du prix Milk Tech, Certaines sont incubées par Microsoft, qui est désormais le partenaire de Milk Tech, l'écosystème tech le plus lait de France.
C'est donc dans une ambiance conviviale, malgré les tensions qui précèdent ce 60e salon de l'agriculture, que les start-ups et les adhérents de la Fnil pourront échanger sur les sujets de l'agroécologie.
Très bonne écoute et, s'il vous plait, abonnez-vous au podcast Lactosphère et notez 5 étoiles sur Apple et Spotify !
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Aujourd'hui, découvrez Thrasos, quatrième start-up concourant au prix Milk Tech, remis le 13 décembre prochain.
Mahieddine Chergui, CEOqui connaît parfaitement l'industrie laitière, vous présente l'entreprise, fondée en 2020 et qui compte déjà une vingtaine de collaborateurs.
Thrasos, c'est l'intelligence artificielle de la sécurité alimentaire. Son logiciel NEPSYS est une plateforme « On-Premise » permettant aux industriels de générer, pour chaque type de circuit, un programme de nettoyage adapté, optimisé, compensé et efficace.
Après une phase d’audit selon les standards de l’EHEDG et de récupération des différentes données sur les circuits et la station NEP, la plateforme est paramétrée.
Elle génère ainsi un programme de nettoyage optimisé et compensé pour chaque circuit sur la base de deux niveaux d’optimisation.
Niveau 1 : exécution d’un algorithme se basant sur les meilleures pratiques et techniques disponibles et issues de l’expérience Thrasos pour optimiser les nettoyages.
De façon concomitante à l’optimisation, l’algorithme NEPSYS analyse le précédent lavage réalisé du même circuit et identifie des anomalies. En cas d’anomalies et d’écart par rapport aux consignes, le lavage optimisé est compensé et donc potentiellement rallongé. Cette fonctionnalité corrige les dérives immédiatement et évite l’installation d’un encrassement potentiel à l’origine de contaminations.
Niveau 2 : modélisation des encrassements et des nettoyages sur des installations sensibles tels que les échangeurs thermiques.
Le procédé que Thrasos développe correspond au niveau 2 et consiste en un module de simulation des encrassements et des nettoyages notamment des installations thermiques (pasteurisateurs, stérilisateurs, échangeurs à surface raclée…).
Ce service et procédé consiste à :
- Générer un dessin 3D de l’objet sur lequel modéliser ;
- Modéliser les encrassements notamment sur les échangeurs thermiques, éléments critiques dans une industrie laitière avec une forte capacité à s’encrasser et à générer des contaminations ;
- Modéliser les nettoyages en faisant varier les paramètres principaux des nettoyages et visualiser la capacité du programme à éliminer tout l’encrassement.
En conclusion, Thrasos, c'est un changement de paradigme dans le nettoyages. Grâce à l'IA et au savoir-faire de l'équipe, les industriels du lait peuvent enfin nettoyer leurs équipements de manière fiable en se reposant sur des données concrètes.
En outre, c'est une économie d'eau, d'énergie, de temps et... d'argent !
Pour contacter Thrasos : https://thrasos.ai/
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Aujourd'hui, Alexis von Tschammer vous présente Lactips, entreprise basée dans les environs de St-Etienne.
Concourant au prix Milk Tech, qui sera remis le 13 décembre prochain à Paris, Lactips est une start-up visionnaire dans le développement, la fabrication et la commercialisation d’un biomatériau, 100% naturel à base de caséinate de sodium.
Sa technologie CareTips® repose sur la transformation de cette protéine en une alternative écologique et durable aux plastiques traditionnels.
CareTips® est la seule technologie au monde 100% naturel commercialisée sous forme d’un granulé thermoplastique et donc transformable sur tous les équipements traditionnels de la plasturgie.
CareTips® est un biomatériau hydrosoluble et biodégradable dans tous les environnements (sol, eau douce, eau saline) dont la fin de vie est sans impact sur l’environnement et la santé humaine puisqu’il ne laisse aucune trace de microplastique.
Il se biodégrade à la même vitesse que les déchets organiques et soluble dans l’eau en quelques minutes, ce qui rend cette innovation unique au monde.
CareTips® apporte les mêmes bénéfices que le plastique sans ses inconvénients. Il est thermoscellable, barrière aux graisses et huiles minérales et barrière à l’oxygène - caractéristiques nécessaires pour les emballages agro-alimentaires.
Les applications visées par Lactips sont les films hydrosolubles, comme les étiquettes pour le réemploi de bouteilles de verre, les papiers d’emballages et l’agriculture.
Le projet Lactips consiste à améliorer 2 facteurs de notre technologie dans le cadre des emballages agro-alimentaire :
1. La maîtrise de la résistance à l’humidité sans perdre ses propriétés hydrosolubles pour préserver l’intégrité et les caractéristiques de l’emballage en milieu hautement humide.
2. La barrière à l’oxygène : cette propriété est importante pour la conservation des aliments. Les emballages utilisés aujourd’hui sont des films plastiques multicouches.
Pour contacter Alexis, DG de Lactips : https://www.lactips.com
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Sébastien Latz, DG de Coldep, est le nouvel épisode de Lactosphère, le podcast de la Fédération Nationale de l'Industrie Laitière. Il vous présente son entreprise, basée dans l'Hérault, qui concoure au prix Milk Tech.
Coldep est une startup de la clean tech. Elle révolutionne la purification des eaux usées grâce à une technologie novatrice. Initialement développée et testée pour répondre aux besoins pointus de l'aquaculture, cette innovation brevetée trouve maintenant sa place dans des domaines de l'agroalimentaire.
La solution de traitement d’eau de Coldep, appelée VAL, affiche une consommation énergétique très réduite, une perte d'eau minimale et une utilisation très limitée de produits chimiques, tout en offrant une efficacité jusqu'à cinq fois supérieure aux méthodes existantes.
La société a levé en septembre 1 millions d’euros. L'équipe connait une nouvelle phase d'accélération et compte aujourd’hui une dizaine d’ingénieurs hydrauliciens, automaticiens & chimistes.
Pour démontrer concrètement la puissance de sa solution, Coldep travaille sur la réalisation d’un « démonstrateur ».
Ce dernier sera mobile et comprendra l’ensemble de sa solution de manière mobile afin de se rendre sur chaque site d’entreprise laitière. Il permettra de démontrer la puissance de la solution et son efficacité adaptée aux enjeux de réutilisation de l’eau traitée et à une consommation énergétique optimisée.
Coldep est donc une solution très innovante qui pourrait vite s'avérer très utile pour les adhérents de la Fédération Nationale de l'iIndustrie Laitière (FNIL).
Dès lors, nous ne saurions trop vous conseiller de contacter Coldep via son site : https://coldep.com
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Première start-up à concourir au prix Milk Tech, Airthium propose aux industriels du lait une solution innovante de fourniture de chaleur sûre, fiable, économique et efficace.
L'offre clé en main d'Airthium, représentée par Julien Artur et Bertrand Montagne, permet de décarboner la production de vapeur et d’air chaud en remplaçant les brûleurs à gaz ou au fioul de leurs chaudières par des pompes à chaleur haute température.
L’intérêt d’une telle pompe à chaleur est la forte réduction de la consommation d’énergie par rapport à du chauffage résistif. Cela présente un intérêt écologique, mais aussi économique, rendant donc financièrement possible la décarbonation de la chaufferie d’une usine : le client est gagnant sur les deux tableaux.
Aujourd’hui, la plupart des processus industriels utilisent de la chaleur, qui est généralement produite en brûlant du gaz. C’est une technique polluante, et qui coûte cher quand l’approvisionnement en gaz est contraint, ou que les quotas de CO2 voient leur prix augmenter.
Le seul moyen efficace et compétitif de se passer du gaz, aujourd’hui, est d’utiliser des pompes à chaleur. Cependant, celles-ci sont limitées à ~150°C : au-delà, il n’existe pas d’alternative efficace au gaz pour l’instant. Airthium fabrique une pompe à chaleur qui monte jusqu’à ~550°C.
Par exemple, le séchage du lait par atomisation requiert de l’air chaud, entre 200°C et 300°C. Aucune pompe à chaleur ne permet pour l’instant d’atteindre de telles température. Aujourd’hui, un industriel doit donc recourir au gaz, polluant, ou au chauffage résistif, très coûteux.
Airthium est donc une solution très innovante qui pourrait vite s'avérer très utile pour les adhérents de la Fédération Nationale de l'iIndustrie Laitière (FNIL).
Dès lors, nous ne saurions trop vous conseiller de contacter Airthium via son site : https://airthium.com
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Connaissez-vous Milk Tech, le nouvel écosytème qui réunit les start-up et les adhérents de la Fédération Nationale de l'Industrie Laitière ?
C'est en juin 2023, lors de l'assemblée générale de la FNIL qu'est née l'idée de Milk Tech. L'objectif : permettre aux entreprises de l'industrie laitière d'échanger avec des start-up de la décarbonation et des green tech. Deux mondes qui se côtoyaient déjà, mais sans vraiment se parler.
Milk Tech donnera naissance, à n'en pas douter, à des projets d'envergure qui permettront aux adhérents de la FNIL d'appréhender le futur avec confiance. En effet, des rendez-vous réguliers favoriseront tout au long de l'année les collaborations.
Afin de marquer le coup, ule premier Grand prix Milk Tech sera remis le 13 décembre prochain à une start-up.
D'ailleurs, si vous êtes une start-up et que vous souhaitez concourir l'année prochaine ou tout simplement rencontrer des acteurs de la filière industrielle laitière, contactez-nous sans plus attendre : [email protected]
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Dans le premier épisode Lactosphère, le podcast de la Fédération nationale de l'industrie laitière (FNIL), François-Xavier Huard, son P-DG, aborde les 4 axes stratégiques de sa feuille de route.
Regroupant une centaine d'adhérents, qui sont des grands groupes internationaux, des ETI et des PME, la FNIL fait rayonner les produits laitiers en France et partout à travers le monde.
Le premier axe stratégique est la transition agro-écologique, un enjeu majeur qui rime avec décarbonation, innovations et actions concrètes à mettre en place dans toute la filière industrielle laitière.
Second axe de la FNIL : la place du lait dans le modèle alimentaire de demain.
Valoriser les éléments nutritionnels des produits laitiers dans une alimentation équilibrée est indispensable afin qu'ils gardent une place essentielle dans la consommation des Français.
En troisième lieu, la FNIL défend la compétitivité des entreprises privées dans la transformation du lait. Les enjeux : agir sur l'export et préserver la capacité d'innovation des adhérents de la fédération.
Enfin, le quatrième stratégique a pour objet la valorisation du patrimoine immatériel de l'industrie laitière. La France détient un savoir-faire mondialement reconnu ainsi qu'un ancrage local très fort dont il faut d'avantage faire la promotion.
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Connaissez-vous le statut étudiant-entrepreneur?
Ce statut officiel, créé par le ministère de l'enseignement supérieur et de la recherche, permet d'élaborer un projet entrepreneurial dans un « Pépite ».
Justine Ba, CEO de Public Studio, en a bénéficié et vous donne ses nombreux avantages.
Commençons par définir le terme « Pépite ».
Cerise sur le gâteau : ce statut peut être renouvelé 2 fois. Vous pouvez cumuler avec une bourse puisque vous êtes rattaché à une université.
Le diplôme d'établissement "étudiant-entrepreneur" (D2E) permet de mener à bien votre projet avec un maximum de sécurité et de visibilité. En d'autres termes : c'est tout bénef' !
Revenons à Justine. A la fois étudiante et entrepreneuse, elle a poursuivi sa découverte du monde professionnel en alternance au sein d'une banque.
Son employeur, compréhensif, lui a dégagé du temps afin qu'elle puisse faire un véritable entre le salariat en l'entrepreneuriat. Inutile de vous dire que Justine était, à cette époque, particulièrement occupée, ce qui lui a appris à bien s'entourer et à déléguer.
Comme vous l'imaginez, Justine a choisi l'entrepreneuriat. Mais en connaissance de cause.
A très vite pour un nouvel épisode de Rencontres en Terres RSE B2B d'Orange.
D'ici là, n'oubliez pas de noter 5 étoiles sur Apple Podcasts et Spotify.
N'hésitez pas à partager cet épisode si vous souhaitez vous lancer dans le monde de l'entrepreneuriat.
Musique : Zeno Temkine
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